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Histoire erotique : Elle mate un couple baiser

Dialogue chaud :
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    Histoire erotique : Elle mate un couple baiser

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Coucou à tous

    C’est Aurore, l’’étudiante de 21 ans en école d’infirmière. Je précise car j’ai cru voir que nous étions plusieurs Aurore sur le site. Faut que je vous raconte le dernier truc en date.

    Déjà pour que vous compreniez bien, il faut que je vous explique comment est situé mon appart. J’ai un studio au dernier étage dans une maison de ville. Il faut passer sous un porche qui donne sur une petite cour intérieure. L’escalier se trouve au bout de cette cour, desservant les 3 étages en extérieur. J’ai un bout de terrasse balcon, arrivé en haut de l’escalier, sur lequel je vais souvent pour fumer une clope. Juste de quoi y mettre un fauteuil bas en osier et une grande plante verte que j’arrose quand j’y pense. Une idée de ma mère, la plante, c’est d’ailleurs surtout elle qui s’en occupe quand elle vient. Mais grâce à cette plante, c’est vrai que cela me cache un peu et que cela me donne un peu d’intimité. Le soir quand il fait nuit, il y a juste le réverbère de l’autre côté de la rue qui éclaire un peu le porche. Il suffit que tous les locataires aient fermé leurs volets pour que la cour soit plongée dans la l’obscurité.

    Donc il était 22h et j’étais assise sur mon fauteuil pour fumer une clope. Au moment où je l’écrase, j’entends des rires dans la rue. Machinalement je ne bouge pas et j’attends pour regarder qui allait passer devant le porche. Je vois un couple enlacés, en train de rire et qui s’immobilise devant l’entrée. Le mec pousse sa copine à l’intérieur du porche et ils commencent à s’embrasser, croyant être à l’abri des regards. La fille, les cheveux longs attachés, avait l’air très bien faite. Elle portait une veste cintrée en cuir noire, une jupe courte foncée et des bottes très montantes à la limite d’être des cuissardes. Je me suis dit qu’elle était super sexy. Lui, plus basique, était en jean et pull.

    Et vas-y que ça se pelotait dans tous les sens. Il passait maintenant ses mains sous sa veste pour lui caresser les seins. Je n’osais plus bouger de peur de les déranger. Je ne voulais surtout pas faire de bruit et j’avoue que de les voir se tripoter et s’embrasser comme ça, ça m’excitait grave. Instinctivement j’ai resserré un peu mes cuisses car je sentais une vague de chaleur me monter dans le bas du ventre.
    Et puis le mec lui a dit :

    « - Viens viens ! » en entrainant sa copine à l’intérieur de la cour.

    Ils s’étaient maintenant planqués dans l’angle de la cour et le réverbère de la rue les éclairait à peine. Sa copine contre le mur, il a commencé à lui pétrir les fesses à travers le tissu puis il a passé sa main entre ses cuisses. Je ne voyais pas vraiment bien, mais je devinais, surtout aux mouvements, ce qui se passait. Il devait être en train de la doigter car je voyais le corps de la fille onduler et elle a commencé à gémir. Devant ce spectacle et ces soupirs que j’entendais, j’ai commencé à me caresser les seins sous mon teeshirt. Mes tétons étaient déjà bien tendus par ce spectacle en live et je les excitais d’une main, à tour de rôle pendant que mon autre main se glissait tout naturellement dans mon pantalon. Je trouvais ma chatte humide et je frottais mon clito qui était déjà tout gonflé.

    Le mec avait maintenant entrepris de la baiser, là, devant moi sans le savoir. J’ai entendu le bruit d’une ceinture que l’on défait et une fermeture éclair que l’on descend à la va vite. Il avait dû sortir sa queue et j’ai vu qu’il la soulevait pour qu’elle enserre sa taille de ses cuisses. Il était en train de la prendre là, contre le mur. Un pur régal. La fille gémissait toujours autant et il m’a semblait entendre le mec lui dire de se taire. Moi j’étais aux anges. Je le voyais bouger son cul et j’imaginais bien sa queue bien raide s’enfoncer dans la chatte humide de cette fille aux cuissardes. J’avais moi-même du mal à retenir mes gémissements tandis que maintenant je me masturbais avec frénésie. J’avais enfoncé deux doigts dans mon minou trempé et l’orgasme n’était pas loin. Je le voyais donner des coups de reins à sa copine et lui aussi commençait à émettre des grognements. Son cul allait et venait de plus en plus vite, cela devenait bestial ! Qu’est-ce qu’il devait bien lui enfoncer sa bite ! J’aurais osé, je me serais jointe à eux ! Ils continuaient de s’embrasser à pleine bouche tandis qu’il la pilonnait sauvagement.

    J’ai joui en silence mais j’ai dû m’en mordre les lèvres pour ne pas faire de bruit. Remarque, ils avaient l’air tellement en transe tous les deux qu’ils ne m’auraient peut-être pas entendu. Finalement je les ai entendu jouir tous les deux, tout doucement par obligation mais j’ai senti la violence de l’orgasme contenu. Quel bonheur d’assister à un tel spectacle! Ils se sont finalement rhabillés et sont repartis comme ils étaient arrivés.

    Sacrée fin de soirée ! C’est quand même mieux qu’un plateau télé non ?

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