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Recit porno : Elle se fait sauter par le chauffeur de taxi
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21Recit porno : Elle se fait sauter par le chauffeur de taxi
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/12/2013
Publié le 17/12/2013
Coucou tout le monde,
Je reviens vers vous pour vous raconter ce que j’ai fait pour le weekend dernier.
Je deviens de plus en plus audacieuse au fil du temps, je crois que je suis devenue une de ces filles que l'on qualifie de salopes, vous allez comprendre pourquoi.
Avec mon mari, nous avions décidé de nous dépayser un peu et de passer un moment en amoureux pour décompresser du boulot. Nous avons voulu aller faire du ski en Savoie dans une des rares stations dont les pistes étaient déjà ouvertes. Nous avons pris un petit hôtel sympa dans la vallée. Le séjour s’annonçait des plus agréables. Train+ taxi pour nous y rendre et surtout pour ne pas s’embêter avec la voiture.
Mais malheureusement, dès le premier jour, mon mari fait une mauvaise chute. Il est rapatrié à l’hôpital, diagnostic : entorse du genou. Pfff bonjour le super weekend ! Enfin bon le tout c’est que cela ne soit pas trop grave. On appelle un taxi pour rejoindre notre hôtel.
Charmant le chauffeur de taxi d’ailleurs ! Et je ne dois pas lui déplaire non plus car il me lance des œillades dans le rétroviseur qui ne trompent pas. Je dois vraiment être à son goût car il n’arrête pas de me regarder. Pourtant je ne suis pas vraiment à mon avantage, à peine maquillée, encore en tenue de ski, y a plus sexy comme tenue. On papote, on lui raconte notre mésaventure, il est sympathique, jovial,plein d'humour et surtout beaucoup de charme, pas vraiment comme les taxis parisien hyper stressés (désolé pour eux) . Je lui jette quelques coups d’œil dans le rétro, ouais vraiment pas mal. La quarantaine, sportif, bien bâti, les yeux verts, les cheveux blonds, le style surfeur des neiges buriné, très séducteur et sûr de lui. Ça fait un peu cliché ce que je dis mais c’est tout à fait ça.
A moment donné nos regards s’accrochent vraiment dans le rétro et je sais à cet instant qu’il a envie de moi comme moi j’ai envie de lui. Je suis toute excitée. Je n’ai jamais vraiment fait le premier pas quand un homme me plait mais là je ne sais pas quel diable s’est emparé de mon corps. J’ai vraiment envie de cet homme. Je me dis qu’il faut que je tente un truc pour le revoir. Je demeure silencieuse pour réfléchir à 100 à l’heure car on va arriver à l’hôtel.
« - Y a des endroits sympas le soir ici pour aller boire un verre ?
- Euh... bien sûr oui. Moi j’aime bien « Le T…… » À côté de la gare. J’y vais régulièrement. Le soir ils font pub et y a toujours beaucoup de monde et l’ambiance est vraiment sympa. » Répond-il.
Je me tourne vers mon mari :
« - Chéri, ça te dit d’y aller faire un tour ce soir, pas trop longtemps à cause de ton genou. Ça peut être sympa ? (mais dans ma tête je me dis qu’il va dire non, je le connais bien). J’ai un peu honte d’être aussi facilement calculatrice et de vouloir le planter alors qu'il s'est blessé, mais bon, on a qu'une vie...
- Oh mon dieu non, mon cœur, pas ce soir ! Ça m’a épuisé tout ça et puis j’ai quand même mal et ça risque d’être pire ce soir. On va manger un petit bout et puis télé pour moi. On verra demain. Mais ça t’empêche pas d’y aller faire un tour toi, si tu veux. On est là, donc qu’au moins toi tu profites du séjour. »
Je jette un coup d’œil au chauffeur avec un charmant sourire.
« - Et bien ça m’agace un peu d’y aller sans toi. Et ça m’embête de te laisser seul à l’hôtel même si c’est juste histoire de boire un verre… »
Je prends ma petite moue boudeuse empreinte de fausse culpabilité.
« - Mais non vas-y ! C’est pas parce-que j’ai fait le con que tu n’as pas le droit de t’amuser ! »
Mon beau chauffeur ne perd pas une miette de notre discussion.
- Bon ok je n’y resterai pas trop longtemps de toute façon vu. On va manger un bout et puis j’irai vers 9h, comme ça je ne rentrerai pas trop tard pour pouvoir aller skier tôt demain. »
En disant ça, je fixe le chauffeur dans le rétro pour lui faire comprendre que c’est à lui que je parle.
Mine de rien c’est la première fois que je fais un truc pareil et en plus à la barbe de mon mari. Mes incartades au boulot c’est un autre contexte, mon mari n’est pas dans les parages et puis d’habitude, je laisse les hommes venir à moi. Mais là je fais fort quand même ! Mais c’est divinement excitant. Je me surprends à n’éprouver qu’un léger soupçon de culpabilité. Ce que j’espère surtout c’est que le chauffeur ait vraiment compris et qu’il soit au rendez-vous…
Pour ne pas aiguiser la jalousie de mon mari j’ai juste enfilé un jean, un petit pull léger en angora rose, mon manteau et hop, je descends à la gare. Sur le chemin je fais mes calculs. J’avais remarqué dans la voiture qu’il n’avait pas d’alliance, donc j’avais éludé l’hypothèse qu’il soit marié. Mais c’était sur le moment d’excitation et maintenant je me disais que cela ne l’empêchait pas de peut-être vivre avec quelqu’un. Ce qui pourrait être compliqué pour lui de s’absenter. Et puis chauffeur de taxi, ça bosse la nuit aussi ! Et puis il pouvait avoir autre chose de prévue. Enfin bon, quand je suis arrivée devant le pub, je n’étais plus sûre de rien. Je me suis emballée sans doute trop vite! Bah au pire je boirais mon verre et puis je repartirais.
J’entre, il n’y a pas trop de monde encore et je fouille du regard la salle. Je vois soudain une main se lever et je le reconnais. C’est lui qui me fait signe du coin du bar. Je soupire de soulagement sans m’en rendre compte ! Je suis émoustillée comme une gamine et je vais rejoindre cet homme que je ne connais pas. J’adore et je sens déjà les fameux picotements dans le bas-ventre, mon string doit être humide. Je n’en reviens toujours pas de mon audace.
« - Bonsoir, je commençais à douter de votre venue. J’étais en train de me dire que je m’étais fait un film. » Me dit-il un sourire carnassier aux lèvres.
Il est un peu trop sûr de lui à mon goût et cela m’agace légèrement. Batifoler oui mais avoir le sentiment d’être trop facile, non ! Alors pour le déstabiliser :
« - Comment ça ? Vous m’attendiez ?
Son beau sourire se fige un peu, il ne sait pas si c’est du lard ou du cochon et il se décompose petit à petit. J’ai eu mon petit effet alors finalement je décide de le mettre enfin à l’aise. Je lui glisse à l’oreille :
« - Oui moi aussi j’ai eu peur de me faire un film… »
Son visage reprend de la couleur sous son bronzage et il se détend. Hihi ! Il m‘offre finalement un verre et on se séduit, nos mains se touchent, en discutant de tout et de rien. Mais l’heure tourne et j’ai dit à mon mari que je ne rentrerai pas tard.
« - Vous habitez loin d’ici ?
- Non je suis descendu à pied, j’habite à 5 mn.
- Vous habité seul ?
- Oui. Ça vous tente un dernier verre chez moi ?
- Oui, pourquoi pas! »
Il m’amène chez lui et à peine la porte de son appart passée on se jette littéralement l’un sur l’autre. Sa bouche s’empare de la mienne goulument et lui a déjà passé ses mains sous mon pull pour pétrir sauvagement mes seins. Ses mains sont froides et mes tétons se dressent sous la fraîcheur et la pression que ses doigts exercent. On se déshabille à la va vite, toujours bouche à bouche. J’ai un peu plus de mal à enlever mon jeans et je manque de tomber. Je me rattrape à lui, on en rigole et il me plaque contre le meuble d’entrée. Il me malaxe les seins, les fesses, les hanches. Ses gestes sont vifs, insidieux, pressés ! Ses mains meurtrissent mes chairs tellement il a envie de moi. Il me pelote bestialement et j’adore ça. Je mouille terriblement. Je sens sa queue dure contre mon bas ventre. La pièce est emplie de nos gémissements, de nos respirations fortes. Il me retourne brutalement contre le meuble. Sa queue glisse contre ma vulve. Elle fait des va et vient sur mes lèvres et mon clito. Mais je mouille tellement que quand il essaie de me pénétrer, sa verge glisse sur mon vagin et ne trouve pas l’entrée. Alors sa main repère mon antre et d’un coup sec il me pénètre. Il bande terriblement et sentir cette queue bien raide dans ma chatte me porte au bord de l’orgasme.
« - Putain t’as un cul ! Tu sens comme tu me fais bander ? »
Tout mon corps frémit sous ces mots. Je n’ai qu’une envie, qu’il me baise comme une chienne et qu’il me crache tout son bon jus dans ma petite chatte avide. Je ne suis pas vraiment du genre farouche mais son langage qui aurait pu me paraître grossier me met dans tous mes états. Mais j’ai un instant de lucidité.
« - Mince, faut que tu mettes un capote !
- Attend, je veux te défoncer un peu sans capote ! C’est trop bon ! Tu mouilles bien petite salope !»
Je suis en transe et ses coups de reins sont puissants. Je fais un effort surhumain pour me défaire de son emprise.
« - Non, tu mets une capote maintenant ! Sinon on arrête tout ! » (Je ne sais pas si j’aurais vraiment pu tout stopper mais il a abdiqué et tant mieux).
A regret, il se décolle de moi et s’empresse de prendre un préservatif dans son blouson qui est à terre. Il l’enfile à la vitesse de l’éclair sur sa bite bien raide.
« - Je vais te la mettre dans ton petit cul pour la peine ! »
Je suis vraiment au bord de l’orgasme. Sans ménagement il viole mon cul mais mon petit trou est déjà tellement dilaté par l’excitation, qu’il y entre sans difficulté. Je contracte mes sphincters pour bien enserrer cette bite et avoir encore plus de sensations.
« Tu aimes hein que je te démonte le cul ? Et ton mari, tu y penses à ton mari ? Il t’attend sagement à l’hôtel pendant que tu te fais baiser ! T’es une vraie cochonne ! Je vais te baiser pour lui aussi ! »
Ces mots auraient dû me refroidir mais bien au contraire l’idée de me faire sauter alors que mon mari me croit en train de boire juste un verre, me rend dingue de désir. On n’est plus soi-même quand l’excitation vous submerge.
Ses coups de reins sont de plus en plus violents et rapides. Tellement violents qu’accoudée sur le meuble, ce dernier cogne bruyamment contre le mur à chaque secousse.
Il râle de plaisir et me défonce le cul comme un forcené. C’est moi qui jouis la 1ère en criant fort. Il me rejoint 5 mn après et éjacule dans mon petit cul. Je sens les spasmes de sa belle queue, c’est un délice. Il reste dans mon cul quelques secondes encore, sans bouger, le temps de bien tout cracher dans la capote.
On a baisé comme des sauvages et j’ai vraiment beaucoup aimé.
Je ne me suis pas attardée et je suis vite rentrée à l’hôtel car au final il était quand même un peu tard et puis les pulsions dissipées, j’étais tout à coup honteuse.
Mon mari dormait déjà profondément et j’ai vite filé dans la salle de bain pour faire un peu de toilette et enfiler une nuisette.
Je me suis glissée sous les draps et me suis collée contre son corps tout chaud dans un élan de tendresse.
Je lui ai murmuré » je t’aime mon chéri » même s’il ne m’entendait pas.
Oui, on peut me traiter de salope mais je suis une salope qui aime profondément son mari !
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Commentaires
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Corrigé et résumé par Dialogue69 le 25/01/2014
Publié le 25/01/2014
Tout est dit dans le titre, notre coquine remet le couvert et baise de nouveau avec son ex-collègue de travail. Et elle fera comme si de rien était avec son mari :)
Attention à votre femme les mecs, car peux-être qu'elle aussi aime autant la queue que notre coquine et aime en avoir d'autres que la votre en elle :) oups, j'ai rien dit. - 323 38
Allez hop le mari encore cocu
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 20/10/2013
Publié le 20/10/2013
Et oui c'est comme ça, il y a des femmes qui ont chaud aux fesses et que ne savent pas se contenter d'un seul mec...Notre coquine en fait parti...
Merci à toi de nous faire partager tes aventures.
PS : Si tu es aussi délicieuse que ta manière d'écrire, je pense que tes amants doivent bien s'amuser ;) 
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Elle trompe son mari au travail
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 07/10/2013
Publié le 07/10/2013
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