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Histoire sexe : Elle trompe son mari avec un ami libanais
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15Histoire sexe : Elle trompe son mari avec un ami libanais
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/07/2014
Publié le 17/07/2014
Il y a des choses qu’on fait dans la vie et dans des circonstances données qu’en prenant un peu de recul après on se sent si coupable ou dégoûtée de soit même. Des fois on est comme entre le remord et un sentiment de je l’ai quand même fait …
En tout cas, moi c’est ainsi que je me sens maintenant après avoir trompée mon mari.
C’était il y a trois ans au mois de décembre et cela faisait plus de huit ans déjà que nous vivions ensemble. En ce qui concerne notre vie sexuelle, c’était l’hiver total. En tout cas de mon côté car lui me relançait toujours. C’est un bel homme de haute taille bien membré qui ne demande qu’à faire l’amour et il est toujours prêt à réaliser le moindre de mes fantasmes malgré qu’il y a au moins vingt ans d’écart entre lui et moi. En ce décembre là comme je disais, il y a eu une dispute entre moi et mon homme et j’ai décidée de quitter pour de bon le foyer conjugal. Mais je n’avais pas de maison ni d’appartement à moi et il était hors de question que je retourne chez mes parents. Entre deux réflexions, j’ai appelé un ami libanais de trente ans mon aîné qui vivait seul avec sa domestique.
Après une brève explication sur ma situation conjugale, il accepta de m’héberger le temps que les choses entre dans l’ordre avec mon mari.
Le premier soir dans sa garçonnière était féerique. Sa femme de ménage fît la cuisine et mangea seule dans la cuisine tandis-que moi et mon ami mangeâmes dans sa chambre-salon. Il était si avenant et si prévenant.
Au coucher, j’ai remarquée qu’il se couchait sur un même matelas que sa femme de ménage et j’ai dû me contenter du canapé pour ne pas m’imposer à cette dernière. A un moment donné en pleine nuit, je ne saurais dire si ce fût réel ou un rêve, mais mon libanais est venu me prendre dans ses bras en s’agenouillant devant moi, me passa les mains sur les cuisses, la poitrine et taquiné ma vulve. Ce fut si bon et vraiment agréable.
Au réveil il me conseilla tout de suite d’aller faire ma toilette si je le désirais avant eux pour profiter de l’eau chaude. Il avait le regard fuyard donc j’ai compris que ce qui avait pu se passer la nuit n’était pas un rêve érotique mais une réalité.
Dans la journée qui a suivie, nous avons tous vaqué à nos divers activités et quelques deux fois dans la journée, il m’appela pour savoir si tout allait bien, si je n’avais pas d’ennuies avec mon mari et si je comptais revenir le soir dormir chez lui. Mon mari aussi ne cessait de m’appeler de son côté me demandant de rentrer pour faire la paix et que je lui manquais ; mais malgré que le confort de mon grand lit me manquait, je ne savais vraiment pas pourquoi je ne voulais pas rentrer. Ainsi donc ce soir là encore je retournai plutôt me coucher chez mon ami.
Il fut enchanté de me revoir mais sa femme de ménage par contre boudait un peu. Elle était plus lente à faire la cuisine et moins chaleureuse que le jour précédant. Mon ami a donc choisi de me faire du poulet grillé à la montagnarde comme au Liban avec du raisin et du fromage fondu : humm c’était vraiment délicieux accompagné de jus d’orange et du pain libanais. Entre temps, pendant qu’on mangeait encore lui et moi, sa femme de ménage alla se laver et s’enduisit tout le corps avec une lotion sortie de je ne sais où très très odorante qui a attisée mon appétit sexuel. J’imagine que mon ami devrait être dans tous ses états et je me dis que c’est ainsi qu’elle attire dans ses bras son patron pour en faire son amant.
Au coucher cette fois-ci, il me proposa de me coucher sur le matelas que partageait sa femme de ménage et lui-même.Quelle étrange situation.
Pourtant, je n’hésitai pas un seul instant et me voila entre lui et sa femme de ménage une jeune fille aux apparences candides mais diaboliquement experte dans l’art d’emballer un homme.
Ce fut vers 23h que nous nous couchâmes; quelques trente minutes passées à se tourner et retourner, il commença à redresser la tête pour vérifier que sa maîtresse était bien endormie. L’autre comprit son manège et commençait par grogner et se retourner aussi dans tous les sens. Le voila prît entre le marteau et l’enclume. Il ne pouvait me faire des avances sans encourir la colère de l’autre ni sauter l’autre de qui émanait une senteur irrésistible sans me choquer, de plus, il ne pouvait savoir si je céderais à ses avances ou pas.
Mon téléphone sonnai, c’était mon mari à l’appareil, il insistait pour que je rentre, j’étais toute confondue ne sachant plus quoi faire, en colère et en larme. Je jetai sèchement le téléphone sur le canapé et mon ami sauta d’un bon sur ses pieds pour venir me cueillir dans ses bras. Il me blotti contre sa poitrine et commençai à me caresser les cheveux, je soupire et ronronne toute secouée par des sanglots. Il me ramena sur le matelas où ses doigts commencèrent à effleurer mes lèvres, mon cou, ma poitrine et mes seins. Je ne pouvais plus contenir mon envie, je commençai à lui mordiller les doigts, le regard droit dans ses yeux qu’il avait bruns. Il tremblait d’envie et craignait à la fois sa domestique. La domestique alors se releva sur le coude et sans savoir pourquoi je lui demandai de me prendre les seins entre les mains et de me les malaxer. Ce qui est fou c’est qu’elle s’exécuta et mieux encore, tout en me malaxant les seins, elle me caressait en même temps les cuisses de sorte que mes gémissements remplissaient la pièce et montèrent en flèche. J’entrouvris alors mes cuisses et mon ami s’accapara de mon ventre, mon nombril de mon ventre et de ma vulve. Pendant que sa femme de ménage me caressait un peu partout en s’ondulant contre moi, lui me mangeait goulûment la chatte et buvait à pleine gorgée mon miel qui coulait comme un torrent. Pendant qu’il me bouffait la chatte, la fille se retournai aussi à califourchon sur moi et commençait à me sucer les tétons … j’étais entre le feu et la glace j’ondulais, je grognais, je ronronnais, je me débattais. A un moment donné, la femme de ménage commençait à me lécher et sans que je ne sache comment, les deux commencèrent par s’embrasser pendant que mon ami m’enfonçait deux doigts dans la chatte. Je n’en pouvais plus, il fallait qu’il s’enfonce en moi. Mais sa femme de ménage a déjà commencer à lui faire une pipe sans pareil et je me relevais alors pour venir couvrir de ma chatte sa bouche d’où la langue faisait des léchouilles électrisantes dans mon bas ventre. J’étais alors devenue folle de désir et de plaisir, avec ma sève toujours abondante, je glissai sans difficulté sur son ventre pour son pieu d’où j’éjectai sa maîtresse pour venir m’y empaler. Oooh comme c’est fougueux et libérateur. La fille alla alors prendre ma place sur sa bouche mais en lui faisant dos de sorte qu’elle continuait à me téter les seins et me caresser pendant que je tressautais sur le pieu de mon ami. La chambre était remplie de râles de cries de grognements et d’un mélange terrible d’odeur de fesses enivrantes. Alors pendant que mes yeux se révulsaient et que les soubresauts annonciateurs d’un puissant orgasme me secouèrent, la fille jouissait dans la bouche de mon ami et pendant que son cri explosa alors en milles paillettes sensorielles mon orgasme à moi, mon ami prit son pied dans un râle d’enfer !
Aussitôt toutes les lumières des pièces voisines s’allumèrent d’un commun accord pour s’éteindre un à un dans des : «mais c’est pas possibles ?! ».
Quant-à nous projeté qui sur le dos, qui sur le ventre ou qui encore les membres étirés par nos divers orgasmes, nous étions éparpillés entrelacés et assoupis sur le matelas et ce jusqu’au petit matin.
Le lendemain, il y avait une vraie gêne qui s’était installée ; plus tard dans la journée, mon ami demandai que nous déjeunâmes ensemble ; déjeuner pendant lequel il m’exposa que mon mari devait se faire un sang d’encre pour moi et que franchement en tant qu’homme marié aussi même si son épouse était au Liban, il me conseil de retourner auprès de mon mari ! Bien sûr, monsieur est devenu subitement consciencieux après avoir eu ce qu’il convoitait …
Cette nuit là, j’ai dormi dans mon lit conjugal dans les bras d’un mari ravi de retrouver sa femme mais qui ne saura jamais quelle garce cette dernière pouvait être.
Aujourd’hui, je ne sais pas si je regrette cette aventure mais il faut croire qu’un certain goût de culpabilité indicible serait quand même resté en considérant mon adultère vis-à-vis de mon mari mais pas pour la séance de baise.
Si l’occasion se représentait, vais-je recommencer ? Je n’en sais fichtre rien… c’était du tonnerre !
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