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Recit porno : Fellation gourmande en triolisme avec 2 jolies salopes

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit porno : Fellation gourmande en triolisme avec 2 jolies salopes

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Fellation gourmande en triolisme avec 2 jolies salopes

    Fellations entre femmes !
    Nous étions allongés dans le lit, entièrement nues. Clémence se serra doucement contre moi. Je mis ma main autour d'elle. Du bout de mes doigts je pouvais sentir la douceur de sa peau, la forme de ces petits seins et la fente intime de son sexe rasé. Soudain, elle plaqua ses fesses contre ma queue. Elle la prit par la main et me guida. Son antre secret et interdit s’ouvrit pour accueillir d'abord mon gland. Puis ma bite très raide pénétra entièrement son anus. Elle se mit à gémir. Je me mis à faire des va-et-vient. D'abord doucement pour ne pas lui faire de mal. Mais à chaque coup, Clémence émit un petit cri de plaisir. C'était une sensation très excitante de sentir son anus serré autour de ma queue. Mon mouvement de va-et-vient devint alors de plus en plus rapide. Les claquements de ma chair contre ces fesses décuplèrent notre plaisir.
    - Humm, c'est bon ! cria-t-elle.
    Mon sexe était entièrement happé par son anus ouvert. Je la sodomisais avec une force presque sauvage. Au bout de quelques minutes n'en pouvant plus, je me déchargeai en elle !
    Je restais quelques instants contre son cul, ma bite bien au fond de son trou. Puis je me retirai d'elle, observant quelques secondes son anus dilaté. Je découvris à cet instant que cette jeune femme aimait la sodomie.
    - C'était la première fois ?
    Elle me répondit avec un petit sourire :
    - Non !
    J'avais débandé, épuisé par ce que nous venions de faire. Mais sa réponse me provoqua une érection. Je me mis à l'imaginer sur le lit à quatre pattes, ces fesses ouvertes et une autre queue labourant son anus.
    - Tu aimes le savoir ? Me demanda-t-elle.
    - Oui !
    Elle me regarda avec ces yeux grands ouverts :
    - tu veux savoir d'autre choses ?
    - Dis-moi ce que tu as envie !
    - J'ai fait des choses avec Myriam !
    Myriam était sa meilleure amie. Les deux femmes étaient très proches. Mais jamais je n'avais osé imaginer ce qu'elle s’apprêtait à me dire.
    - Raconte-moi !
    - Tu es certains de vouloir l'entendre, c'est chaud !
    - Qu'est-ce que tu as fait avec elle ?
    Elle me regarda droit dans les yeux, se blottit contre moi et me murmura doucement au creux de l'oreille :
    - On s’est occuper d'un mec !
    - Occuper ? C'est-à-dire, explique-moi.
    Je savais très bien ce qu'elle allait me dire.
    - On l’a sucer toutes les deux !
    Pendant un instant mon imagination se perdit dans un mélange d'images toutes plus érotiques les unes que les autres. Clémence allait me raconter ce qu'elle avait de plus secret dans sa vie de femme. Avais-je le droit d'aller au-delà de cette dernière déclaration ? Peut-être pas car il s'agissait d'elle et de Myriam. Mais ces images se bousculaient dans ma tête et j'étais curieux.
    Quelques instants passèrent et elle se mit à me raconter tout dans les moindres détails.
    Je la voyais sucer cet homme avec sa meilleure amie, le pénis passant de bouche en bouche. Leurs coups de langues mélangés laissant leur salive sur le phallus en érection. Mais la réalité était plus crue, plus hard et plus excitante. Elles le goûtèrent avec délectation et se découvrirent elles-mêmes. L'envie et l'excitation de se partager une queue leur donnèrent un plaisir immense qu'elles ne surent canaliser qu’en mélangeant leurs corps de femmes. Elles n'étaient plus des amies, mais des amantes. Instant charnel interdit avec ce pénis pour agrément et sucrerie qu'elles continuèrent à sucer l'une après l'autre...

    ...Cette histoire commença simplement. La seule chose qui dénotait était la tenue sexy que portaient les deux femmes. C'est d’ailleurs ce qui intrigua cet homme chanceux lorsque Myriam lui ouvrit la porte de chez elle. Lorsqu'il pénétra dans l'appartement il ne put s’empêcher de les regarder toutes les deux, très étonner de les voir ainsi vêtus. Ils prirent d'abord un apéro assez arrosé suivi d'un bon repas. À cet instant tout semblait soft et banal en apparence.
    C'est durant le dessert que commença à glisser l'ambiance vers une atmosphère plus tendancieuse. Myriam avait prévu un fondant au chocolat, et ce n'était pas un hasard. Le chocolat dégoulinant servit de prétexte dans des gestes qui n'avaient d'autre but que l'érotisme et l'excitation. Elle plongea un doigt dans le chocolat puis le donna à sucer à Clémence. La jeune femme le regarda quelques secondes avec délice puis le lécha avant de le sucer doucement, simulant une fellation. Elles le firent chacune à plusieurs reprises, suçant le doigt dégoulinant de l'autre. Ce geste était complètement assumé pour provoquer un désir chez lui. Et lui commença à se rendre compte que cela n'avait rien d'anodin. Ils les connaissaient toutes les deux depuis longtemps et senti chez elles à ce moment-là un désir profond de vouloir se déchaîner. Le petit jeu des filles devint plus explicite lorsque Myriam se mit à lécher les lèvres de Clémence pour la débarrasser du peu de chocolat qu'elle y avait volontairement laissé. Sa langue entrouvrit la bouche chocolatée et y pénétra profondément. Leurs deux langues s’entremêlèrent et elles s’embrasèrent avec force et rage. Soudain, Myriam glissa une main sous la table et releva légèrement la jupe de son amie. Clémence la laissa faire et écarta même un peu les jambes pour mieux l’accueillir. À travers son string au tissu très fin, Clémence pouvait sentir les doigts explorer chaque parcelle de son sexe. Humide d’excitation elle devenait de plus en plus ouverte à ces caresses. L'oubliant lui et n'en pouvant plus, elle gémit de plaisir !
    Enfin tout revient normal. Elles se ressaisirent, encore toute émoustiller par ce jeu de doigt chocolaté, de baiser et de caresses secrètes. Lui, les avait regardé sans rien dire. Mais son érection était totale.
    - Vous jouer à quoi là les filles ! Demanda-t-il, chauffé par leur comportant bouillant.
    - On s'amuse juste un peu ! Lui répondit Myriam en donnant un léger regard à sa complice encore toute tremblante.
    - Ne me dit pas que tu n'as pas aimé ces petits jeux de chocolat et de langue.
    - Heu si ! Répondit-il.
    Myriam lui demanda de la suivre dans la cuisine pour chercher une bouteille d'eau de vie et des verres. Lorsqu'il se leva de sa chaise la bosse gonfler de son pantalon était très visible. C'est exactement ce qu'elles cherchaient. Il était fin prêt pour la suite. Ils disparurent tous les deux derrière la porte de la cuisine.

    Les minutes passèrent. Il n'y avait plus aucun bruit dans l'appartement. Clémence se retrouvait seule, assise sur le canapé. Sa bouche avait encore le goût du baiser chaud de Myriam. Elle aimait cette ambiguïté avec elle. Elle aimait ces caresses chaudes, ces doigts, sa bouche !
    Myriam réapparut soudainement au bout de dix minutes. Bouteille et verres à la main, elle alla là rejoindre et lui servir une bonne rasade d'eau de vie.
    Elles trinquèrent toutes les deux et vidèrent leurs verres d'un coup. Waouh, cela fit tousser Clémence.
    Myriam la regarda, les yeux pétillants. Elle se rapprocha d'elle et lui dit doucement à l'oreille :
    - Je l'ai sucé !
    Clémence se tourna vers elle :
    - Ah oui ? Tu es vraiment une coquine. J'adore ça ! C'est pour le sucer que tu l’emmène dans la cuisine ?
    - Oui ! Et il voudrait que tu participes.
    - Euh ! C'est chaud là ! Lui répondit Clémence.
    - Ce n'est pas le premier mec que tu vas sucer !
    - Oh non ! Mais avec toi oui !
    Et ce fut à son tour de passer la porte de la cuisine. Le jeune homme était encore tout perturbé par la caresse buccale, mais ces yeux brillaient du plaisir qu'il venait de recevoir. Les plis de son pantalon déboutonner laissaient voir la forme de sa queue toujours très bandante. Sa gêne allait bientôt disparaître quand Myriam d'un simple geste lui demanda de venir les rejoindre. Il comprit tout de suite ce que cela signifiait. Cela fit sourire Clémence.
    Il s'approcha d'elles. Myriam se pencha et se mit à genoux devant lui. D'un geste, elle fit glisser le pantalon le long de ces jambes pour sortir le pénis gros tendu et dur. Elle prit la queue d'une main et commença par lécher le gland. Après l'avoir bien humecté de salive, elle ouvrit la bouche et fit glisser le membre entre ses lèvres humides. Elle l'avala presque entièrement. Cela le fit gémir. Puis elle se mit à faire des vas et viens lent et précis.
    Clémence les regardait tous les deux. Son désir et son excitation grandissaient à chaque fois que la bite apparaissait puis disparaissait dans la bouche de Myriam. Elle se sentit très excitée à l'idée de partager cette queue avec elle.
    Myriam s’arrêta et, tenant le sexe d'une main la regarda. Ce geste fut une invitation pour elle. Avec un peu d'hésitation, Clémence se mit à genoux.
    Elle toucha à son tour la verge du bout de la langue. Elle ouvrit la bouche et avala le pénis aussi doucement que Myriam. Son plaisir se trouvait dans le délice de cette queue qu'elle suçait avec une douceur raffinée. Elle s'appliqua. Ces lèvres serrées le masturbèrent avec délectation et précision. La verge humide frétillait dans la bouche de Clémence. Sa fellation était précise et douce. Puis elles le sucèrent chacune à plusieurs reprises, se passant la queue d'une bouche à l'autre. Leurs deux langues s’entremêlèrent autour du phallus bandant. Cette bite était devenue leur jouer et leurs plaisirs.
    Lui était un peu perturber, mais très excité d’être le joueur de ces deux jeunes femmes. C'est Myriam qui lui demanda de venir s’asseoir entre elles. Il était entièrement nu et complètement vulnérable à leurs désirs. Myriam se serra contre lui et l'embrassa violemment à pleine bouche. Clémence le caressa et se mit à regarder ce phallus rougissant et si désirable à ces caresses buccales. Elle se glissa entre ces jambes et rapprocha sa bouche fine de sa queue offerte. Elle goûta une nouvelle fois le bout du gland rouge et humide et se mit à le lécher de bas en haut. Elle finit par le prendre totalement en bouche et le suça avec délicatesse.
    Myriam se retourna vers lui pour lui dire à l'oreille :
    - Elle suce bien !
    Un véritable plaisir l'envahit lorsque Myriam se pencha sur son bas-ventre pour partager une nouvelle fois son membre viril et bandant avec Clémence. Elles le léchèrent sur toute sa longueur et s’attardèrent sur le gland gonflé. Leurs langues se rencontrèrent pour se mélanger au-dessus de sa bite. Puis ce petit jeu pris de l'intensité lorsqu'elles se mirent à le sucer tour à tour pendant de longues minutes. Il ne pouvait rien faire d'autre que de subir ce jeu buccal. Il était totalement soumis à la chaleur des lèvres suceuses de l'une et la bouche humide et très gourmande de l'autre. Sa queue et ces couilles étaient recouvertes de leurs salives. Sa jouissance montait à chaque coup de langue et prise en bouche.
    Les deux femmes le sentaient au bord de l'explosion. Alors Clémence frotta sa langue sur le gland et le branla activement entre ces lèvres. Elle le pompa avec vigueur en faisant de long va et vient rapide, engouffrant entièrement le membre raide jusqu’au fond de sa gorge. Elle ne voulait rien perdre de cette virilité masculine qu’elle tenait en bouche. Elle voulait que le sperme jaillisse. Et soudain avec un gémissement de pur plaisir, il éjacula. Clémence n'en perdit aucune goûte. Lui avait atteint l'orgasme absolu.

    J'étais ébahi par le récit de cette « fellation entre femmes », qu'elle venait de me faire. Clémence m’avait compté cette histoire simplement et sans aucune hésitation, employant le plus souvent des mots crus. Le plaisir de raconter ce qui est resté caché, de livrer un secret. Une soirée, une nuit... Mais les actes, les gestes et les caresses on fait de ce moment un instant particulier pour elle. Des désirs plus érotiques et orgasmiques les uns que les autres. Deux bouches qui se mélangent autour d'un phallus, le délice d'un plaisir poussé à l’extrême...
    Je fermais un instant les yeux. Mes pensées étaient remplies d'images de cette femme allongée à mes côtés suçant, gouttant et partageant avec sa meilleure amie le sexe d'un homme chanceux !
    Elle se serra contre moi et me dit à l'oreille :
    - Je voulais savoir jusqu’où j'irai ! Et j'ai aimé ça !
    J'ouvris les yeux. Elle prit dans sa main ma queue toute raide et dure. Elle se glissa à hauteur de mon sexe. Elle me branla fort et soudain elle fit disparaître ma queue dans sa bouche. Elle me pompa serrant ces lèvres autour de ma bite. Et d'un seul coup, gagné par une excitation intense, je me vidais. Là aussi, Clémence n'en perdit aucune goûte, léchant goulûment le sperme qui dégoulinait sur ma queue...

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