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Recit de sexe : baise chez mickey
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4Recit de sexe : baise chez mickey
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 25/01/2018
Publié le 25/01/2018
Bonsoir les amis !
Je suis un lecteur assidu de ce site, plein d’anecdotes croustillantes et de délires sexuels appétissants ; et depuis que je vous lis, je me dis qu’il va falloir que je dépose moi aussi une expérience sympa que j’ai vécue. Souci majeur, j’ai plus de la quarantaine, en couple et marié depuis plus de 15 ans donc côté innovations, je suis un peu à la ramasse je veux bien l’avouer. Alors j’attendais une belle opportunité pour avoir quelque chose à vous raconter, et enfin c’est arrivé !
La semaine dernière nous sommes donc partis ma femme Dominique et moi en weekend de couple, et pour lui faire plaisir, bien que ça ne soit pas super romantique, nous sommes montés à la capitale pour saluer la souris aux grandes oreilles. Nous avons fait la totale, deux jours de parc et une nuit dans l’hôtel situé à l’intérieur : bouffer, dormir, chier du Disney. Dominique était ravie et je lui avais dit en plaisantant qu’elle devrait me remercier comme elle savait le faire…. Car malgré tout c’est une sacrée petite coquine. Elle avait acquiescé.
Nous montons donc dans le fameux hyperdrive, ancien space mountain, après une heure au moins de queue… dans le premier wagon. Dominique portait une jolie jupe courte et avait mis des bas comme souvent, elle ne supporte pas les collants. Et voilà ma surprise, une fois dans le wagon de tête, contre toute attente, elle prend ma main et la met directement entre ses cuisses ! Je la regarde, l’œil amusé et je glisse ma main plus à l’intérieur. Elle ne porte pas de culotte. Le train démarre. La petite salope a bien manigancé son coup tout à l’heure en allant aux toilettes durant la pause repas.
Je commence alors à tâter le terrain et je tombe sur sa toison pubienne (j’aime pas les sexe épilés, ça fait trop petite fille), et je la caresse en douceur alors que le train monte tranquillement et s’apprête à démarrer. Dominique a de son côté sa main sur mon pantalon et me masse le pénis. Je descends ma main et je sens ses lèvres que je caresse, elles sont déjà un peu moites et je glisse lentement mon doigt à l’intérieur. Le train est propulsé à une vitesse folle, et j’enfonce deux doigts dans sa chatte. Wahou.
On est balancé de gauche à droite, droite à gauche, mais moi, n’ayant pas de propension au mal au cœur je me concentre sur la chatte de Dom, je la doigte de plus en plus fort, et j’essaye de la faire mouiller de plus en plus. Dominique crie, difficile de savoir si c’est à cause du manège ou de mes longs doigts qui lui doigtent le minou sans m’arrêter. Finalement l’attraction s’arrête et je retire rapidement mes doigts de sa chatte avant que les nouveaux passagers puissent voir notre coquinerie. Je sens mes doigts et les lèche, ça sent bon la cyprine et je sens mon sexe qui bande dur.
L’histoire n’est pas finie, car Dominique devait me rendre la pareille ! Et elle le fit dans une autre attraction, dont je vous avoue j’ai oublié le nom ! Mais nous étions cette fois seulement deux dans un wagonnet, beaucoup moins attachés, et suffisamment plongés dans le noir pour finir notre histoire. Une fois installés, elle s’est penchée vers moi, a ouvert ma braguette et en a extrait ma queue, qui bandait encore un peu. Elle la mit en bouche et commença à me pomper. Elle devait faire vite car l’attraction ne durait qu’une dizaine de minutes. Autour de moi il y avait tous ces extraits de dessin animés, ces personnages de gosses haut en couleur et EN MEME TEMPS, cette cochonne de Dom qui me suçait la queue, la branlant en même temps à vive allure. Si les caméras du parc tournent dans les attractions, les gars ont du se régaler… Je me baissais et la voyais prendre tout mon sexe en bouche, l’avalant entièrement en gorge profonde avant de remonter et d’y mettre suffisamment de salive pour coulisser avec sa main après et me branler. Elle agita sa main, découvrant mon gland, elle voulait me faire juter dans l’attraction. Impossible. Trop rapide, elle dut me rhabiller car on devait sortir du wagon.
La fin de l’histoire fut beaucoup plus conventionnelle, puisque nous filions à l’hôtel rapidement, et une fois dans la chambre, je la poussais contre la banquette de la chambre, je relevais sa jupe, découvrant son petit cul bien ouvert, je sortais ma bite, toujours dure et pleine de salive de Dom. Je crachais sur mon gland pour l’humidifier et je le présentai devant son anus. Ouais, j’allais l’enculer dans l’hôtel Disney. Je la pénétrais sans trop la lubrifier et elle se laissait faire, elle avait l’habitude de se faire sodomiser. J’entrai mon gland dans son cul lentement, puis ma queue entrait en entier dans son cul, pendant qu’elle gémissait de plaisir ; elle aimait jouir par le cul. Donc je commençais à la bourrer ainsi, contre le canapé ; je lui retirai ses habits, et elle se retrouvait rapidement nue, que je puisse palper ses jolis seins et lui faire cambrer son cul. J’écartai ses fesses, pour bien voir ma bite entrer, et je la poussai au maximum, je voulais qu’elle prenne son pied ainsi. Elle se mit alors à crier, surtout quand je me relevais légèrement pour appuyer plus fort sur son cul ; elle gueulait d’aller plus fort, plus loin, de la prendre comme une pute. J’aimais qu’elle crie ainsi et qu’elle me parle aussi crûment ; ça me faisait venir encore plus vite et je sentis la purée monter, elle me demandait de jouir dans son cul et on jouit ensemble, je balançais mon foutre dans son cul et quand je ressortis, le foutre coula et tomba sur la moquette.
C’est ainsi que finit cette histoire, le lieu de baise était original, donc je vous le raconte, en espérant que ça vous plaise !
Merci ! a plus !
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