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Histoire X : sens et sensualité
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3Histoire X : sens et sensualité
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 05/11/2017
Publié le 05/11/2017
Bonsoir les amis coquins,
Une petite histoire pour terminer la semaine en beauté, et une fois n’est pas coutume, elle ne traitera que de pure sensualité. Je vais vous raconter ce que m’a fait vivre une relation que j’ai eu il y a des années, qui m’a bouleversé dans mes rapports avec les femmes dans de nombreux points.
Flora. Une jeune étudiante en arts dramatique. 25 ans. Une cascade de cheveux noir de jais. Longs, très longs. Qu’elle n’attachait jamais. Les yeux, d’un vert de Jade, semblaient étinceler quand on s’enhardissait à plonger dans leur pupille. De quoi se perdre. Des mains délicates, des courbes gracieuses. Tout portait à croire qu’elle était l’union d’une elfe et d’un ange. Notre rencontre, notre coup de foudre, tout semblait aller de soi. Et une fois conquise, elle était devenue comme une drogue évidente. Je ne pouvais plus me passer d’elle, j’étais redevenu l’ado con et insouciant que j’avais jamais été auparavant.
Nous passions des heures entières à nous séduire, à nous re séduire en fait. Bien souvent, une fois les premières instants, les premiers ébats ; on a découvert qui était son compagnon ou sa compagne. Là je peux dire que j’ai été avec une personne que je redécouvrai chaque fois. Chaque étreinte était différente de la précédente. Elle m’a donc fait redécouvrir ce qu’était la pureté du sexe, cette sensualité qu’on a tous un peu perdu à force de regarder la sexualité comme un super marché et de traiter l’autre comme un produit jetable et surtout un produit qu’on peut maltraité. Oui, comme dans beaucoup d’histoires que je lis ici j’avais déjà traité les femmes comme des objets, me disant qu’elles aimaient ça et là je re découvert ce qu’était la beauté et la simplicité de l’échange lors de cette passion-là. Elle savait poser ses mains et les passer sur mon corps d’une manière inouïe et jamais de la même manière, un peu à la façon tantrique elle révélait chez moi des zones que je n’avais jamais explorées, des zones fortement érogènes qui me plongeaient direct dans le plus doux des extases. Le genou, le pied, la nuque, le bas du dos. Elle m’enseignait comment éveiller, ou plutôt réveiller le corps de l’autre. Ne restait plus qu’à appliquer.
Après les caresses, voilà un autre point que je voulais aborder avec vous. L’Art du baiser. On oublie aussi trop souvent ce qu’est le baiser, à force de rouler des pelles sans y songer. Une préparation. De subtils baisers dans le cou, au creux de l’oreille, sur le front. Elle arrivait peu à peu vers ma bouche sans se presser, ne jamais se presser. Puis ses lèvres venaient frôler les miennes, lentement, très lentement. Elle passait juste dessus et j’avais déjà un frisson qui me parcourait l’échine. Puis doucement, elle déposait un vrai baiser sur mes lèvres, simple et doux, qui se prolongeait de longues minutes pendant qu’elle posait ses mains sur mon visage, pour contenir ma fougue. Il n’y avait pas besoin de davantage pour m’exciter ; et elle entrouvrait ses lèvres rarement pour me faire goûter sa langue, pour ne la rendre que plus précieuse et rare.
Une fois nos corps préparés, ces étreintes nous avaient déjà enivrées et il lui restait un accessoire essentiel à nos ébats, la musique. Elle étudiait également la musique, et, en fine mélomane, elle savait utiliser les sons pour transmettre l’émotion, pour me calmer ou au contraire me galvaniser. Il n’était pas rare que nous bougions au rythme de la musique, l’un dans l’autre, ne nous lâchant pas du regard. La pénétration était un acte délicat, où Flora se donnait réellement à moi, profitant de chaque instant de plaisir que je pouvais lui procurer. Plus que du sexe bestial, ou de la performance pure et dure ; le sexe n’était que le théâtre du ravissement et de l’expression de notre passion ; et peu importait les positions que nous décidions d’adopter, l’essentiel était vraiment de donner du sens à nos gestes, et de l’émotion dans le plaisir que nous procurions l’un à l’autre.
J’en vois donc ici qui doivent penser que je m’ennuyais, loin des sodomies, des éjacs faciales en tout genre. Mais pas du tout. Je n’ai jamais connu aucune frustration avec Flora, et il nous arrivait aussi de dévier et de tenter des sentiers plus délicats, plus sauvages. Elle n’a jamais dit non à de nouvelles explorations, et moi de même. Par exemple, c’est la seule qui soit parvenu à me faire aimer le plaisir prostatique. Elle m’a demandé un jour de juste me laisser aller, et je me suis laissé faire quand elle a préparé mon anus avec des onguents, des huiles avant de faire pénétrer un doigt à l’intérieur. D’abord un peu sur la défensive, j’ai rapidement pris un plaisir fou à me faire doigter ainsi par elle, pendant qu’elle caressait mon sexe activement. La jouissance par ce biais est décuplée, et je lui demandais souvent de recommencer cette pratique.
Nous avons donc expérimenté l’amour de diverses manières, à deux, trois, quatre. Mais toujours dans le souci de l’autre. Il faudra que je vous raconte les quelques soirées orgiaques que nous avons mené ensemble, avec des amis à elle dans le même esprit.
Reste à traiter du délicat aspect de notre séparation ; car cet amour si singulier et si particulier lui imposait de rester centré sur peu de choses et elle a toujours refusé d’avoir un enfant. Ce fut donc un sujet de discorde qui nous propulsa jusqu’à la croisée des chemins, puisqu’il lui était impossible de se projeter même dans un avenir lointain avec un être dans son ventre, elle ne pouvait l’admettre. Et voyant ma souffrance à cette idée, elle fit le choix de partir dans une autre ville, ne me laissant en souvenirs que les moments que je vous ai fait partager et les morceaux de musique qui me rappellent ces doux moments. Voilà cette belle histoire finie, sans trop de sexe et de mots crus, mais c’est ça aussi le sexe.
Merci.
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Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
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Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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