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Histoire de sexe : histoire d'un entretien qui dégénère
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13Histoire de sexe : histoire d'un entretien qui dégénère
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 25/10/2017
Publié le 25/10/2017
Salut lecteurs et lectrices,
Je suis ici pour vous raconter une petite histoire croustillante qui m’est arrivé il y a quelques semaines, ou plutôt qu’a subi ma compagne Eléonore. Nous sommes en couple depuis une vingtaine d’années, depuis la faculté en fait et notre vie à deux se passe super bien, pas de routine et ceci en partie grâce aux piments que nous ajoutons à notre vie sexuelle bien entendu.
Donc tout part d’une mauvaise nouvelle. Eléonore perd son travail ; restructuration de personnel, donc licenciement à l’amiable et en bonne et due forme. Galère donc car factures, crédit immobilier à payer, mais ma copine est une battante, et, passé quelques jours d’abattement, là voilà reparti en quête d’annonces pour un job dans ses qualifications diverses et variées. Je rentrais chaque soir et je la trouvais affairé avec des tas de papiers, de mails, d’offres et autres. J’essayais de la motiver autant que faire se peut, et elle gardait le moral. Un matin je pars bosser et pour une fois, mon patron me demande de prendre ma journée en RTT, car apparemment j’en ai largement d’avance. Pas de souci pour moi, n’habitant pas loin, je retourne chez moi retrouver ma copine, encore endormie après une nuit de baise assez conséquente. Pour m’amuser, je décide alors de lui faire une petite blague ; je cherche dans notre trousse à malice notre paire de menotte, et, sans la réveiller, je l’attache du poignet gauche au montant du lit. Elle ne se réveille pas, et du coup, je peux passer en phase deux !
Je descends donc les draps et je dévoile son petit minou, qui attend paisiblement un réveil en douceur. Je me mets à poil, et doucement je viens entre ses jambes et je commence à la lécher lentement. Son sexe n’est pas encore mouillé, c’est donc agréable de le voir s’humidifier au fur et à mesure au contact de ma langue. Un petit coup sur les lèvres, un large coup sur le clitoris, que je dévoile en écartant légèrement ses chairs rosées. Celui-ci se met à grossir sous mes coups de langue et lentement Eléonore s’éveille, à mesure que son sexe commence à mouiller. Je la regarde ouvrir les yeux et se rendre compte de ce que je fais, elle me sourit et quand elle va pour caresser ma main, elle se rend compte qu’elle est attachée.
« tu veux que je fasse quoi, t’avais peur que je me barre alors que tu me lèches comme ça ? » me dit elle en souriant. Elle appuie ma tête avec son autre main pour que je poursuive ce réveil. Soudain.
Le téléphone sonne. Le sien.
« ne décroche pas, tu rappelleras après »
« arrête, t’es dingue, c’est le numéro d’une boîte super importante que j’ai contacté, je réponds ! »
Elle répond au téléphone et prend donc sa voix « pro de société ». J’adore. Je ne me lasse pas de la regarder. Sauf que l’entretien s’éternise. Je me remets donc au boulot et je commence à mettre mon doigt dans sa chatte également. Elle me regarde et du regard, me somme d’arrêter ! Mais bien entendu, je ne lui donne pas ce choix et j’enfonce un deuxième doigt dans sa chatte pour lui exprimer mon mécontentement. Elle ne peut pas s’échapper, puisqu’elle est attachée, et je lui tiens fermement les cuisses ouvertes pour avoir accès à sa chatte pleinement ; elle est maintenant tout à fait dégoulinante de mouille, et Eléonore a bien du mal à garder sa voix pro quand mes doigts tapent au fond de sa chatte et la fouille. Je la vois bien prendre sa respiration avant de débuter une phrase, et se mordiller les lèvres quand son interlocuteur prend la parole. Ca me fait grave bander. Du coup, je me relève et je décide de la baiser, plus ou moins contre son gré. Je lui écarte alors les cuisses, tenant fermement d’un bras son bras valide, et de l’autre je présente ma queue devant sa chatte, et, malgré son regard implorant, je la pénètre d’un seul coup, et elle ne peut réprimer un cri ! Rouge de honte, elle s’excuse auprès du patron, disant qu’elle a un chat, et qu’il l’a griffé. Quelle imagination !
Voilà donc que je la baise, sans ménagement, sortant ma queue presque en entier, et la renfournant comme une baguette dans le four du boulanger, elle a du mal à garder son sang froid, et je vois rapidement sa respiration changer de fréquence, elle commence à haleter et je ne l’aide pas à la masturbant en même temps, son clito est érigé, et ma queue coulisse dans sa vulve tant elle mouille comme une chienne, d’ailleurs elle ne cherche même plus à me repousser, et seulement à répondre aux questions du gars en gardant son calme. Elle cherche ses mots. Elle bredouille, elle me regarde entre supplication d’arrêter et regard de salope de continuer. Puis c’est le blanc, elle ferme les yeux, et elle s’excuse encore, disant qu’elle a mal à la tête. Mon sexe s’enfonce de plus en plus loin et vite, j’ai les mains autour de ses hanches et je la besogne comme une bête de foire, de plus en plus violemment. Entre deux réponses, sa voix se perd et elle lâche un ou deux gémissements de plaisir, tant cela est irrépressible pour elle. Je prends mon pied.
Finalement, au bout de quelques minutes, elle sent qu’elle est en train de venir, elle sent l’orgasme arriver, je me retire alors et elle me remercie doucement, disant à voix basse qu’elle a bientôt finie.
Mais c’était qu’une pause, je remonte vers son visage et je commence à me branler, à lui mettre le sexe dans la bouche quand elle ne parle pas et cette petite pute prend plaisir à en prendre une bouchée entre deux réponses : j’imagine que le gars doit entendre les bruits de succion tellement c’est fort, et moi pendant ce temps je la doigte encore et de plus en plus fort. Finalement ce qui devait arriver arriva ; j’éjacule dans sa bouche et elle crache tout avant de répondre ; tout en jouissant et elle lâche un râle de plaisir au téléphone. Le genre de râle qu’on ne peut pas prendre pour autre chose. Je la vois s’excuser, puis dire
« écoutez là je suis occupée, si vous pouviez me rappeler… »
Elle raccroche, avant de reprendre ma queue dans la bouche et de la sucer.
Le patron n’a jamais rappelé.
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L'hiver, sortez couvert! Benoît va nous en parler, pas bien du tout ce qu'il a fait!
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire de sexe en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
