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Recit erotique : Histoire d'une couguar partie 1

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Télephone rose récits érotiques
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    Recit erotique : Histoire d'une couguar partie 1

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    jeune baiser pipe

    Bonsoir à tous et toutes !

    Je m’appelle Angelina, je suis âgée d’une quarantaine d’années et je vis avec Brad, un jeune garçon de vingt ans, qui m’arrive des Etats Unis et que j’ai rencontré à la faculté. J’étais son enseignante. Je précise qu’il ne s’est jamais passé quand je lui donnais des cours, mais nous avons accroché tout deux dès nos premiers échanges ; il avait à la fois une maturité phénoménale pour son âge ; et je l’avoue un visage et un corps tout à fait splendide.
    Donc dès que le semestre fut terminé, et son UV validée brillamment, je me débrouillais pour entrer en contact avec lui via son email, prétextant une histoire de devoir perdu qu’il me fallait retrouver pour archivage. Faux bien entendu. Nous échangions donc rapidement et je lui proposais de boire un café en centre-ville pour me le remettre, et ainsi faire un point sur son travail du semestre.
    Je me préparai à ce rendez-vous, je me maquillais et je mettais mes formes en valeur avec un décolleté assez pigeonnant (je fais du 90 C) et une jupe assez courte, car malgré mon âge, je suis toujours super bien foutue.
    J’arrive donc à ce café et il m’attendait déjà, vêtu simplement d’un tee shirt et d’un pantalon en jean tout à fait classique, mais il me faisait tout de même craquer, et je ne pus m’empêcher, à sa grande surprise, de l’embrasser sur les deux joues pour lui dire bonjour. Curieux pour une enseignante bien entendu. Nous commencions à discuter de ses études, mais rapidement je décidai d’orienter mes questions sur sa situation. Et là, j’appris avec un certain drame qu’il était en couple avec une jeune fille de son âge, mais qu’il avait laissé aux Etats Unis. Ils communiquaient donc très régulièrement via skype, et vu leur jeune âge, ils pensaient encore pouvoir se retrouver et passer leur vie ensemble. Pourquoi pas après tout. De toute manière ça ne me regardait pas et ça ne refreinait pas mes bas instincts. Je lui proposai donc tout naturellement de me raccompagner chez moi, prétextant que j’avais une pile de bouquins à lui montrer pour son futur mémoire qu’il allait devoir attaquer bientôt. Le tout enrobé de compliments à la fois sur son physique et son intelligence, auquel il répondait lui aussi, ce qui était bon signe. Il acceptait de me suivre.
    Nous arrivions chez moi, je lui proposai à boire, chaque fois en effleurant son corps, et je lui montrai donc mes ouvrages. Puis je le regardai dans les yeux lui disant, dans un mode de plaisanterie, que j’aurais tout fait pour attirer sa personne chez moi, et qu’il était pris au piège désormais, de sa cougar.
    « ça ne me dérange pas, je suis plutôt bien avec vous… » ma lança-t-il…
    Je pris ça pour un signal et je m’approchai très près de lui, le regardant dans les yeux. Puis, mordillant mes lèvres, je saisis son bras et je l’embrassai sur les lèvres… je m’étais tout bonnement lancé. Advienne que pourra. Et le résultat fut satisfaisant puisqu’il ne me repoussa pas, et accepta mon baiser, et me donna sa langue à sucer. Je me pressai alors contre lui, appuyant mes seins contre son torse et notre baiser devenait de plus en plus fougueux. Je pris alors sa main et la posait sur ma poitrine, et il commença à me malaxer un sein, puis le deuxième, tout en m’embrassant. Mon envie de lui augmentait de minute en minute, je l’aurais déshabillé et baisé là, tout de suite. Je le poussai sur mon canapé et j’ôtais mon tee shirt, dévoilant ma poitrine, puis je faisais tomber ma jupe et je me retrouvai en sous vêtement devant lui. Je m’approchais de lui, à moitié nue donc, et je retirai son tee shirt également, avant de caresser son torse avec ma main, puis lécher ses tétons doucement, laissant une trainée de salive s’échapper chaque fois, que je récupérais avec ma langue. Il se laissait faire, me regardant en souriant. J’étais inarrêtable. Il était évident que je voulais aller plus loin, et je m’attaquais à son pantalon, le faisant glisser à ses pieds. Les chaussures, les chaussettes. En boxer devant moi, avec une belle bosse qui en disait long sur ses envies également. Je soulevai légèrement son boxer pour y glisser ma main, et en extraire sa bite, que je branlais doucement afin qu’elle bande quasi instantanément. Elle était belle, bien grosse, avec un joli gland rosé. Je le regardais et lui demandais si il voulait que je le suce. Bien entendu il accepta et je gobai son gland doucement, le suçotant de longues minutes ; je le sentais encore gonfler dans ma bouche et je malaxai ses couilles rondes et dures, tandis que je finissais de le déshabiller. J’adorais sucer mes hommes, et là j’étais excitée à un tel point que j’aurais voulu le faire jouir immédiatement, sans qu’il me pénètre. Je commençais à lécher son sexe lentement, allant de haut en bas, remontant et descendant en déposant là encore une bonne quantité de salive ; puis je prenais sa queue en bouche et je l’avalais, ce que j’adorais faire, et je lui fis une démonstration de gorge profonde qui le fit gémir de plus en plus ; il m’ implorait de continuer, il en voulait toujours plus le petit jeune. Je l’avalais encore, restant quelques secondes avec son sexe dans ma gorge, jusqu’à remonter en gémissant, puis je le branlais de plus en plus rapidement, crachant sur son sexe à de nombreuses reprises pour qu’il glisse entre mes doigts ; Il était aux anges et il n’allait pas tarder à jouir. Je me reculais alors, et je remontais l’embrasser encore, déposant à la fois de la salive et l’odeur de sa pine sur son visage. Puis je retirais mon soutien-gorge et je pressai mes seins sur sa bouche pour qu’il me lèche les tétons. Une fois dans sa bouche, ils durcirent et il prit enfin l’initiative de caresser ma culotte, déjà bien trempée…

    A suivre

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Angelina

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