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Recit porno : histoire d'une retenue sans retenue
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11Recit porno : histoire d'une retenue sans retenue
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 09/10/2017
Publié le 09/10/2017
Bonjour coquins et coquines
Je viens ici pour raconter un évènement qui m’est arrivé quand j’étais ado au lycée, et vu les profs coquins qu’il y a ici, je pense qu’elle va vous intéresser. J’avais 17 ans à l’époque, j’étais en première dans un classique lycée de banlieue ; assez beau gosse, j’avais surtout pas mal de succès grâce à mon bagout légendaire qui me valait les charmes des jeunes filles de pas mal de classes. Mais pour avoir cette renommée, il fallait aussi que j’ouvre ma gueule en classe, que je la ramène auprès des professeurs, quitte à fanfaronner dans pas mal de cours. Et si y en avait bien un où je voulais être remarqué, c’était dans le cours d’anglais où la prof était disons le, une vraie bombe. Petite, menue, blonde platine avec de légères tâches de rousseur sur le visage, elle était toujours incroyablement bien habillée, souvent avec des robes ou des jupes assez courtes car elle avait des jambes ravissantes. Une beauté et j’étais amoureux d’elle depuis mon entrée au lycée. Mais, cet amour n’était sans doute pas réciproque car elle ne perdait pas une occasion de me remettre à ma place, et calmer mes ardeurs. Comme ce fameux jour, où, pour me reprimander d’une remarque déplacée (madame, vous auriez du mettre votre jupe écossaise, elle vous va mieux que celle-ci) elle me mit une heure de retenue après les cours.
Je pestais de me retrouver solo avec le surveillant Monsieur Lespinasse mais qu’elle ne fut pas ma surprise de voir débarquer Mademoiselle Mangin, qui s’approcha de moi pour me tendre un travail, et alla s’asseoir au bureau en face de moi, à quelques mètres.
« vous avez vu, j’ai suivi vos conseils »
Elle portait sa jupe écossaise. Beaucoup plus haute que d’habitude ; ses jambes bronzées étaient superbes.
Une fois assise, elle plongea la tête dans un bouquin, et moi j’essayai de faire mon travail. En vain. J’avais la gaule de me retrouver seul à seul avec mon fantasme de l’année ; j’avais des images en tête que je tentais de chasser, mais en vain ; je sentais mon sexe qui durcissait au fur et à mesure.
Je levai les yeux et je la regardais, toujours l’air occupée ; et pourtant. Pourtant elle bougeait les jambes que je voyais sous son bureau ; elle ne les croisait pas et elle ne faisait que les écarter, de plus en plus. Je trouvais ça bizarre, j’étais comme hypnotisé. Elle leva alors son livre et m’invita fermement à me mettre au travail ; mais sa main, une fois la phrase prononcée, descendit jusqu'à sa jupe, qu’elle remonta doucement. Je croyais rêver. Il était impossible qu’elle ne sache pas que je la voyais, et pourtant elle continua de remonter sa jupe jusqu’au moment fatidique ou je voyais clairement qu’elle n’avait pas de culotte. L’hallucination totale. Et là, je ne sais pas ce qui lui a pris, mais ma prof s’est mise à se caresser légèrement. Le clito, elle le titillait de sa main droite, pendant qu’elle lisait son livre, elle le frottait, et de là où j’étais, je pouvais presque apercevoir son clito s’ériger lentement sous la pression des doigts. Elle voulait m’allumer la garce, je ne voyais que ça. Elle continua quelques instants, puis descendit sa main jusqu’aux lèvres, qu’elle écarta pour moi afin de révéler son sexe. Il était déjà mouillé, je voyais de la cyprine sur le bout de ses doigts. Elle me regarda alors et me dit
« que regardes tu comme ça, tu n’as pas mieux à faire ? »
Un défi. Son sourire en disait long. Et elle s’enfonça un doigt dans la chatte tout en ne me quittant pas du regard.
Pour répondre, je décidai donc de prendre mon courage à deux mains, et je déboutonnai mon pantalon, sous le bureau aussi, et je fouillai pour en sortir ma queue, déjà exsangue et gonflée, afin de me mettre à son niveau. Je voyais bien qu’elle avait tout suivi puisque ses yeux descendirent vers ma bite et elle fit une petite grimace de plaisir, tout en continuant de se doigter.
C’est ainsi que je commençai donc à me branler devant ma prof d’anglais, en salle de permanence, pendant qu’elle me répondait à se branlant également. Un deuxième doit avait rejoint le premier et elle se doigtait de plus en plus rapidement, écartant sa chatte, ses cuisses s’ouvrant davantage pour que je vois tout ; je voyais ses doigts disparaître littéralement dans ses chairs, pendant que je me branlai toujours comme un beau diable, d’une main, faisant décalotter mon gland rougi. C’était tellement bon et je sentais qu’elle aimait ça ; on se regardait rapidement avant de replonger nos yeux sur nos sexes, et je la vis mordiller son doigt tout en contenant un gémissement ; ça se voyait qu’elle était en train de prendre son pied. Elle activait ses doigts, un troisième maintenant et je voyais à sa respiration qu’elle n’allait pas tarder à jouir ; elle se mit à haleter, lâchant son livre pour se cramponner au bureau, ses yeux étaient brillants, sa bouche entrouverte et elle jouit d’un coup, elle réprima un cri et resta quelques secondes, la main posée sur son pubis pour se remettre. Bien entendu, vous vous doutez bien qu’en voyant ça, je me mis à jouir et mon foutre gicla sous le bureau pour remplir ma main, le sol et mon pantalon. Elle ne manqua pas le spectacle en recroisant les jambes, et me regardait d’un air gourmand.
Quelques secondes passèrent, et elle se leva pour s’approcher de moi. Je ne pouvais pas retirer ma main de ma queue, j’étais tout collant de foutre, et quand elle arriva, elle déposa un paquet de kleenex sur ma table.
« tiens, je te passe ça, tu peux partir je lève ta punition »
Et avant de partir, elle passa sa main sur mon visage, pour essuyer une tâche imaginaire. Ses doigts sentaient sa chatte, et ça me fit rebander direct ; mais elle ne fit rien d’autres et elle sortit.
Je me retrouvai seul et je m’essuyai rapidement avant de décamper, le pantalon sali, jusqu’à chez moi.
Voilà ma première expérience avec ma prof d’anglais, notre premier contact
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