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Histoire de sexe : Infirmière soumise aux volontés sexuelles et perverses de son chef
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43Histoire de sexe : Infirmière soumise aux volontés sexuelles et perverses de son chef
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 24/03/2022
Publié le 24/03/2022
J'ai réussi à décrocher la place de mes rêves dans une clinique privée, six mois après mon embauche, mon surveillant, un homme d’une quarantaine d’années me convoque dans son bureau. Je l'ai allumé un paquet de fois, malgré son âge c'est le genre de mec qui croit tous savoir et qui se croit beau mais qui ne l'ai pas, j’adore le voir essayer de me draguer puis se ramasser par mon indifférence. Que veut-il encore, me proposer de manger entre midi et deux heures, il peut rêver, et encore plus si c’est pour aller en soirée avec lui. Je rentre fière et désinvolte, je le regarde de haut, « oui pourquoi tu me dérange » et là coup de massue, il me dit que j'ai fait deux erreurs assez graves sur deux patients différents et que je vais avoir de gros problèmes ! (À l'époque il y avait une histoire où une des dernières infirmières était allée en prison pour s'être trompée sur des doses de médicaments ce qui avait provoqué la mort de ses patients.) A ces mots mon cœur c'est serré, c'était la grosse surprise, surtout qu'il venait de me démontrer mes erreurs ! J’avais bien une entière responsabilité. Je commençais à me sentir mal à l’aise ….
Il me dit d'un ton calme mais très sec « il y a deux solutions ou j'étouffe l'affaire mais tu fais ce que je te t’ordonne le reste de l'après-midi ou je dénonce tout et tu en subis les conséquences ». Sans réfléchir j'ai dit « oui », il me répond « oui quoi ? » Là, un temps d’arrêt me plonge dans mes pensées et je m’aperçois des conséquences du oui, je reprends vite mes esprits et sort difficilement « oui j’obéis », la gorge serrée ! J’ai juste le temps de terminer ma réponse que d'un ton sec et arrogant, il enchaine « à poil ! » Ouille !! mon cœur s'accélère, je réalise qu'il allait obtenir ce qu'il désirait depuis si longtemps, ça m'a énervé, me frustre, j’ai envie de partir en courant, de lui dire tu peux rêver mon grand, mais j'obéis, sous l'insistance de son regard. Il me fixe et ne loupe aucun détail de mon anatomie pendant que je me déshabille timidement, j'ai honte, je suis bien faite mais je suis très pudique, j’essaie de cacher mon intimité et ça le fais sourire, de plus ce jour-là je n’étais pas bien épilé (c’est rare et ça tombait là, c'était vexant) d’ailleurs il me l'a bien fait remarquer. J’ai dû mettre les mains sur la tête, je ne pouvais plus me protéger, on se sent encore plus nue, devant cet homme que je tourmentais il y a peu de temps, pour pousser le vice, mon humiliation, je devais tourner sur moi-même, la honte montait jusqu’à mes joues qui se sont rougies d’un trait.
J'ai réalisé que la porte n'était pas verrouillée je lui fais remarquer, la réponse avec un grand sourire aux lèvres fut « ce n’est pas grave ! ». Aie ! là ça devenait très crispant. Il m'a mis les deux mains sur son bureau, sûr de lui, j’étais une marionnette avec laquelle on joue, puis écarte mes fesses tout en prenant son temps de regarder, toucher, j'étais morte de honte, et là coup de massue, je sentis son doigt humide s’engouffrer au plus profond de mon l'anus, ce qui me fit avoir un sursaut de douleur, j'essaie de bouger un peu, d'esquiver en vain, « tu fais moins la fière là ! » retentit de sa bouche, tout en continuant son va et viens douloureux. Mon cœur s'emballe de honte totale, et non je ne faisais plus la belle, j'étais au bord des larmes, j'étais un simple objet sexuel aux mains de mon surveillant, humiliée, rabaissée. Quelques minutes plus tard, j’ai dû aller lui chercher un café à quatre pattes au fond de son bureau, tout en pensant qu’une de mes collègues pouvaient entrer, c'était très flippant, chaque bruit dans le couloir me faisait sursauter. Il m’ordonna de le sucer, sa bite sentait la pisse, c'était très gênant, durant cette fellation que j’accomplissais sans conviction, il prit son téléphone pour parler avec un de ses amis, qui plus est que je connais, la peur qu'il lui parle de cette situation m’envahie, il ne l’a pas fait ouf ! Et enfin, il a été appelé donc je suis partie complètement troublée de cette expérience.
J'ai cru que c'était fini, mais 15 minutes plus tard je reçois un texto, on va faire les transmissions (ceci est fait avec 3 infirmiers, le docteur et le surveillant, nous visitons les patients), mets- toi un marqueur dans les fesses sans sous vêtement sous ta blouse (en fait c'était des pantalons et des hauts blancs mais c'était quand même super gênant). Il avait ce sourire énervant durant toutes les transmissions, j'étais terriblement gênée, en plus un infirmier a remarqué que je n’avais pas de soutif il a bloqué tout le long sur mes seins qui pointaient légèrement. La pose clope arrive, j'ai dû aller dans sa voiture qui avait les vitres teintées et rester nue, il y avait plein de gens tous plus proches les uns que les autres, et j'ai flippé pendant 10 minutes que quelqu'un me voit, me découvre ainsi comment pourrai-je expliquer cela, lui était au loin mais n'est pas venu, je le voyais rigoler avec des gens, ma seule peur était qu’il leur raconte la situation. Quand je suis remontée, j'ai dû faire la toilette de cinq patients, des jeunes, mon défi était de les faire bander en insistant sur le sexe, sinon j'avais un gage, je passais plus de temps que d'habitude sur leur verge c'était très gênant et peu à peu leur queue se gonflaient devant moi, j'osais pas regarder les patients dans les yeux, bien qu'ils devaient être aussi gênés que moi, sauf un qui m'a dit « vous repassez quand vous voulez » d'un ton assez fier, en plus, sur les 5, deux n'ont pas bandé trop de médicament surement . L'heure du départ, ouf… Mais je reçois un texto presque en même temps, le gage comme titre, ce soir au bar le Del sol, en minijupe sans rien dessous, haut moulant sans soutif, 20h si retard punition très hard. Imaginez mon état, mes craintes …
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