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Recit de sexe : Maman de 42 ans couche avec un jeune qui en a 24

Dialogue chaud :
Télephone rose
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    Recit de sexe : Maman de 42 ans couche avec un jeune qui en a 24

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à tous

    J’ai découvert le site en cherchant des témoignages qui pouvaient correspondre à l’expérience que je suis en train de vivre. Et en lisant les aventures du site, j’ai eu envie, moi aussi, de vous faire partager mon intimité. Je ne peux vraiment pas me confier à qui que ce soit, mon entourage ne me comprendrait pas et me jugerait. Et puis les secrets sont toujours difficiles à cacher et je ne voudrais pas que cela arrive aux oreilles de mon mari….

    Pour me présenter, j’ai 42 ans, je suis mariée, femme au foyer et mes deux grands enfants ont maintenant quitté le nid. Je n’ai toujours vécu que pour mon mari et mes enfants et depuis que le dernier est parti l’année dernière, j’avoue que je m’ennuyais passablement. Bien sûr j’ai des occupations et notamment je suis bénévole dans une association de lutte contre l’illettrisme. Mais l’idée de reprendre mes études germait dans ma tête, depuis le début d’année.

    Jeune, je n’ai pas pu finir mon droit pour des raisons personnelles. Arrivée surprise de mon premier enfant donc mariage avec le papa qui a 5 ans de plus que moi (avec qui je suis toujours) et qui, étant déjà avocat pouvait subvenir à nos besoins.

    Alors j’ai sauté le pas, et malgré les moqueries de mon mari, je me suis inscrite à la fac de droit pour cette rentrée. Davantage pour l’enrichissement intellectuel que dans un but professionnel d’ailleurs. Juste pour le plaisir d’apprendre et avoir une occupation.

    Mi-octobre, quand les cours ont débuté, c’est vrai que je me suis sentie un peu perdue, au milieu de tous ces jeunes. Je suis une personne discrète mais néanmoins sociable. J’ai l’habitude des mondanités avec mon mari avocat alors j’ai assez rapidement trouvé une place parmi eux. Je ne suis ni belle ni moche. Une quadra ordinaire, les cheveux longs blonds que j’attache toujours en queue de cheval basse, et un joli corps mince avec une jolie poitrine. Je m’habille de façon classique, plutôt BCBG.
    Il m’est arrivé quelques fois de recevoir des avances que j’ai toujours refusées poliment. Je suis une femme discrète mais à l’aise dans ses baskets. Et une femme qui n’aurait jamais imaginé tromper un jour son mari…

    Quand les travaux dirigés ont commencé en novembre, je me suis retrouvée dans un petit groupe d’une vingtaine d’étudiants et j’ai notamment bien sympathisé avec Édouard, 24 ans. Il y a eu affinité immédiatement avec ce jeune homme alors qu’il était à l’opposé de moi. Fils à papa chirurgien, très sûr de lui, une intelligence fine mais surtout, à mon opposé, excellemment rebelle et provocateur. Il me faisait beaucoup rire et moi qui suis plutôt sage, j’écoutais ses bêtises avec ravissement et amusement, c’est indubitable. Et c’est comme cela qu’au fil des cours, nous nous sommes rapprochés.
    Parfois on se retrouve chez les uns ou les autres pour bosser ensemble et j’adore retrouver cette ambiance estudiantine.

    J’ai senti assez rapidement qu’ Édouard avait un faible pour moi. A 42 ans, je ne suis pas tombée de la dernière pluie. Mais il m'a dragué de façon très subtile, pas lourd et j’avoue que j’étais flattée de l’intérêt qu’il me portait. Mais j’ai vraiment essayé autant que je pouvais de garder une certaine distance. Il aurait pu être mon fils, et en femme rangée et bien sous tous rapports, je ne pouvais pas imaginer, ne serait-ce qu’une seconde, avoir une aventure avec ce beau jeune homme si intrépide. Et pourtant c’est vrai qu’il me plaisait ! C’était troublant et terriblement paradoxal.
    Bien malgré moi, je suis entrée dans son jeu de séduction. Quand quelqu’un vous plait, vous ne pouvez pas rester indifférent, non ? Mais pour éviter toutes tentations, je m’étais quand même toujours débrouillée jusque-là de ne pas me retrouver seule avec lui. Être en groupe ou dans un lieu public, cela me protégeait de faire une bêtise.

    Mais vendredi dernier, en sortant de l’amphi, Édouard m’attendait pour me demander mes cours. Aucun des 5 étudiants de notre petite bande n’avait été présent de la journée mais cela leur arrive quelques fois quand ils ont fait la fête la veille. Ils savent bien qu’ils peuvent compter sur la maman studieuse que je suis pour leur donner ses notes. Cela me fait sourire à chaque fois car ça me rappelle mon époque.
    Mais cette fois j’avais été seule à assister aux cours et je me retrouvais donc seule avec Édouard.

    Nous sommes donc allés faire les photocopies puis Édouard m’a proposé d’aller boire un thé dans son petit studio à deux pas de la fac (et oui il achète du thé car il sait maintenant que je ne bois que ça … délicate attention). Je savais très bien que je ne devais pas accepter mais je n’ai pas pu résister.
    C’était la première fois que je me retrouvais seule chez lui et c’est clair que je me suis sentie rapidement mal à l’aise et que je me suis maudite d'avoir accepté mais à la fois j’étais toute excitée.

    Pour me donner contenance j’ai sorti mes cours et j’ai tenté de les lui résumer un peu tandis qu’il faisait bouillir l’eau. Mais j'ai senti Édouard un peu absent, comme s'il ne m'écoutait pas vraiment. Lui d’habitude si joueur, si taquin, avait là un regard comment dire, concentré ? Comme s’il voulait me dire quelque chose mais qu’il n’y arrivait pas, vous voyez le genre ? Il me fixait de ses grands yeux verts et j’avais du mal à soutenir son regard, moi une femme qui aurait pu être sa mère, je n'en menais pas large, seule devant ce gamin!
    Alors, hyper gênée, j’ai replongé la tête dans mes notes et je parlais, parlais pour éviter le silence qui aurait pu être embarrassant. Il est enfin venu s’assoir, l’eau étant prête et il m’a servi mon thé. Lui s’était fait un café et nous avons eu l'idée de vouloir prendre du sucre en même temps. Nos doigts se sont touchés et j’ai retiré ma main vivement comme si j’avais reçu une décharge électrique. J’en ai été coupé dans mon flot de paroles. Je m’en voulais intérieurement d’avoir réagi aussi brutalement et surtout ma réaction trahissait largement mon trouble.

    Édouard a compris immédiatement et il a retrouvé son assurance. Accoudés sur la table, il a pris mon visage dans ses mains, m’a souri de son sourire canaille et m’a embrassé, tout simplement.

    Waouahhh ! Je devais être cramoisie mais je n’ai pas pu le repousser. J’ai vraiment savouré ce baiser chaud, tendre. J’en frissonnais de plaisir. Mon dieu que c’était bon ! Dans ma tête, je me suis bien dit qu'il fallait que j’arrête ça de suite mais je n'ai pas pu. Sa langue se mêlant à la mienne, ses mains qui caressaient mon visage, j’étais toute tremblante, comme une petite fille, malgré mon âge.

    Il s’est écarté légèrement, m’a regardé dans les yeux et j’y ai lu un violent désir. J’en ai été toute retournée mais je ne pouvais détourner mon regard. Ce jeune homme me désirait, je le lisais dans ses yeux et j’ai senti mon bas-ventre s’enflammer. Le silence était lourd mais je suis restée bêtement immobile, la bouche entrouverte attendant juste qu’il recommence!

    J’ai remarqué une lueur fugace de triomphe dans ses yeux. Cela m’a fait un peu peur car j’ai pensé alors, est-ce un jeu pour lui ?
    Il a dû sentir mon désarroi car il s’est alors penché à nouveau vers moi et m’a distillé avec tendresse plein de petits bisous sur la bouche, mes commissures, mon nez, mes paupières, mon front. Ses baisers sont devenus de plus en plus appuyés, de plus en plus pressants.
    Mon corps se consumait de désir et je tremblais encore plus. Il est finalement revenu sur ma bouche et m’a embrassée cette fois avec fougue.

    Je n’ai pas pu résister ! C’était tellement bon.
    Alors j’ai répondu à ce baiser avec une passion, une ardeur que je ne me connaissais plus depuis longtemps. On se mangeait littéralement la bouche ! Enhardi, ses mains ont commencé à me caresser la taille, les hanches pour rapidement remonter sur mes seins. Il s’est mis à les peloter à travers le pull avec rudesse. J’ai senti mes tétons se dresser de plaisir. J’avais l’impression que ce n’était pas la réalité, que ce n’était pas moi qui bravais l’interdit. J’étais comme spectatrice de ce qu’il me faisait mais les sensations qui montaient en moi crescendo me prouvaient bien que j’étais bien là, que c’était bien mon corps qui réagissait si fébrilement à ses caresses.
    Je me suis laissée aller entre ses mains, je savourais chacune de ses caresses qui devenaient de plus en plus brutales. Puis tout s’est accéléré.

    Précipitamment, il a ôté mon pull et mon soutien-gorge et il a enfoui sa tête entre mes seins. Il les a embrassés avec volupté et avidité. J’étais aux anges. Je ne pouvais que me laisser faire. Il y avait tellement de sensations qui m’envahissaient, des sensations que je ne pensais plus éprouver depuis longtemps.
    A nouveau sa bouche s’est emparée de la mienne, j’étais brûlante, humide! Fermement, Il m’a amené sur son clic clac et m’a allongée, sans que nos bouches ne se séparent. Il est venu m’écraser de tout son poids et j’ai senti son sexe gonflé frotter contre moi. J’avais follement envie de ce jeune homme et mon petit minou quémandait qu’il me pénètre.

    Alors n’écoutant que mon désir j’ai défait son ceinturon et déboutonné son jeans. Ma main a réussi à se faufiler entre nos deux corps et je l’ai glissé dans son boxer. Son pénis était chaud, dur, noueux au toucher et d’une taille impressionnante. Je me suis mise à le masturber avec fièvre, avec ardeur et il a suivi le rythme de ma main avec son bassin. Tout mon corps se tendait vers lui. Il allait de ma bouche à mes seins et les goutait maintenant avec voracité. Je n’en pouvais plus.
    J’avais besoin de sentir son sexe en moi. Qu’il m’emplisse profondément, qu’il me déchire ! Je n’étais plus moi ! J’ai senti en moi une sauvagerie extrême. J’avais besoin qu’il me prenne comme il devait prendre les copines de son âge. Je le voulais bestial, qu’il ne m’épargne pas, qu’il me besogne comme une vulgaire poupée gonflable. En transe, je l’ai aidé à enlever son jeans et son boxer et il est passé sous ma jupe pour m’ôter mes collants et ma petite culotte. Mon minou était affreusement humide et je n’en avais même plus honte.

    Alors, mue par un désir animal, j’ai bien écarté les cuisses et je me suis offerte à cette jeune verge insolente. Il m’a pénétré brutalement, comme je le souhaitais secrètement. J’ai poussé un cri de plaisir et je me suis mise à gémir comme une chienne en chaleur sous ses coups de boutoir. Ses va et vient étaient de plus en plus violents, sa queue grossissait, enflait et elle m’emplissait totalement, j’étais au bord de l’orgasme.
    J’allais jouir ! Lui aussi gémissait, et cela m’excitait ardemment de l’entendre grogner de plaisir. Ses coups de reins se sont faits de plus en plus rapides. Il me culbutait à un rythme effréné.
    Nos bouches, nos langues, nos salives se mélangeaient fiévreusement. Il m’empalait, me déchirait et j’en redemandais. Je couinais comme une femelle en chaleur. Mes mains sur ses fesses accompagnaient ses mouvements pour qu’il me pilonne comme une brute. Encore plus vite, encore plus fort et j’ai jouiiiii dans un long gémissement de plaisir. J’étais en nage, comblée, exsangue. Édouard s’est acharné encore sur ma petite chatte trempée comme un cheval saillit sa femelle.

    Dans un râle animal il a éjaculé dans mon intimité et j’ai senti son sperme chaud et épais se répandre dans mon vagin puis s’écouler lentement le long de mes cuisses.

    Waouahh mais quelle expérience torride !
    J’étais toute chose et tout se mélangeait dans ma tête. Je ne me serais jamais crue capable de ça. On est resté un petit moment l’un contre l’autre puis j’ai pris une douche vite fait car je devais rentrer, à mon grand regret.

    Je ne sais pas où cette histoire va me mener mais ce qui est sûr, c’est que je n’ai pas envie de penser au lendemain. Certains penseront peut être que c’est la crise de la quarantaine ? Peut-être. Moi, j’ai juste envie de profiter de l’instant présent et du plaisir que ce jeune homme me procure. J’ai l’impression de me réveiller après un long sommeil. C’est cela que l’on doit appeler le démon de midi.

    Seul bémol, moi qui n’ai jamais trompé mon mari, je n’ai pas du tout eu l’automatisme du préservatif. Si nous devons refaire l’amour, et c’est ce que je souhaite, il faudra que j’y pense, car Édouard n’y a pas pensé non plus.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
Waouh tu m'as fais jouir!
Posté le par olive :
Belle histoire
Posté le par Anonyme :
J'ai envie de Revivre ça mais avec mon compagnon :D
Posté le par fenty :
Je me suis masturber avec ton histoire hmmm
Posté le par titi :
une bien belle histoire
Posté le par reg :
merci pour ton histoire ses vraiment réel ??j'aurais vraiment aimé etre a sa place vraiment cool espere une suite pour bientot tendrement reg espere une réponse bise tendre a toi XXXX
Posté le par Amifredi :
Très belle histoire très excitante, nous attendons d'autres dans le même style...
Posté le par Anonyme :
La chance !!!
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