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Histoire de sexe : Récit érotique pour faire du sport !
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5Histoire de sexe : Récit érotique pour faire du sport !
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 08/09/2017
Publié le 08/09/2017
Ca fait quelques mois que je me suis mis au running car paraît-il ça permet de s’entretenir à moindre coût et j’espère ainsi faire ressortir mes obliques perdus je ne sais où dans l’intérieur de mon corps. Pour cela je cours le plus souvent en fin de journée, après le travail, dans un grand parc pas très loin de chez moi.
C’est donc vers 20h00 que je démarre l’exercice, qui consiste tout simplement à faire le tour du parc durant une cinquantaine de minutes ; le tout en gardant le rythme. Ce soir, pas grand monde, la faute à ce vent qui souffle de plus en plus puissamment et à la nuit qui tombe de plus en plus vite ; l’été est terminé. Je m’arme de courage et je commence.
Les minutes passent, le jour touche à sa fin et les rares coureurs que je croise sont maintenant dissimulés par l’obscurité naissante. Ce n’est donc pas ce soir que je pourrais mater les petits culs des joggeuses, souvent assez mignonnes. Et pourtant au fur et à mesure de mes passages je remarque un petit couple qui déambule dans le parc, à la recherche de je ne sais quoi.
Au départ je ne fais pas attention, trop pris par mon activité mais rapidement je suis intrigué et je les cherche du regard, sans les trouver. Et voilà que je m’arrête dans les bois les plus sombres du parc, pour voir où ils sont. Il n’y a pas un bruit, et justement c’est ça qui m’alerte en premier. Des murmures.
En pleine nuit, puisque cette partie du parc n’est pas éclairée, je décide de suivre l’origine des murmures, comme si je pressentais ce que j’allais découvrir.
C’est derrière un arbre que je découvre la scène qui m’hypnotise.
Un banc plongé dans la pénombre et seulement éclairé par les lumières ténues des smartphones.
L’homme, étendu sur ce banc, pantalon baissé, est en train de filmer sa copine en train de le sucer avidement, à quatre pattes devant lui.
Je me tiens caché et je les regarde, je dois être à cinq mètres d’eux, assez pour voir correctement la scène.
Le sexe dressé et d’une assez bonne taille, le gars se laisse faire sans bouger le petit doigt pendant que la nana le pompe non-stop, je l’entends pousser de petits grognements de plaisir tandis que l’homme pose sa main sur sa tête pour lui imprimer un mouvement plus rapide. C’est super excitant et je me rends même pas compte au départ que je me caresse la pine.
Quelques minutes plus tard, le gars se lève et le colosse installe la nana sur le banc, à genoux. Elle retire alors son pantalon de survet et nous présente une paire de fesses à damner un ange ; elle a un cul blanc et ferme, c’est sans doute une sportive car à la vue de cette raie j’ai qu’une envie c’est de lui claquer ses fesses correctement.
Son mec ne va pas y aller par quatre chemins, il se met sur le côté droit et présente son engin à l’entrée de sa nana, et commence à la pénétrer durement. De là je ne peux voir s’il s’agit de sa chatte ou de son petit cul ferme mais la nana dérouille ; elle commence à gémir de plus en plus fort et clairement son mec la démonte ; il a posé ses mains de chaque côté de ses hanches et il lui donne des gros coups de queue, râlant chaque fois comme un animal sauvage. Il la besogne sans dire un mot, lui attrapant les cheveux quelques fois pour qu’elle sa cambre davantage et ainsi qu’elle accueille mieux la grosse bite qu’elle enfourne.
Devant un tel spectacle je n’ai pu retenir mes instincts de voyeur et me voilà en train de sortir ma queue pour me branler derrière cet arbre devant ce coït à la fois bestial et complètement jouissif.
Je vois que l’homme commence à changer de position, il s’assoit sur le banc et amène brusquement la jolie brune sur lui, lui écarte les fesses et l’empale sur son glaive de chair. Je vois la raie blanche, à peine éclairée, remuer devant moi et ça me donne envie de jouir aussi. La nana s’active sur sa bite, balançant la tête en arrière, remuant son cul de plus en plus vite ; son mec reprend ses hanches et reprend le martelage constant ; qui porte ses fruits puisque quelques secondes plus tard la jeune femme pousse un grand cri de jouissance. Son partenaire continue pour autant de la baiser et moi je continue de me branler ; j’adorerai avoir le courage de me mêler à eux et de défoncer la donzelle avec lui mais je n’ose pas, je m’imagine devant elle à me faire pomper le bout et ça me fait venir presque instantanément. Je jouis et crache mon foutre entre mes doigts et le sperme gicle sur l’arbre devant moi. Je regarde alors l’homme qui visiblement veut en finir également puisqu’il se branle à l’entrée de l’anus de sa nana. Son gros sexe vient se frotter et elle remue encore comme une petite salope qui attend son dû. Je pense que le gars jouit, je suis trop loin pour voir mais je le vois se branler doucement sur le petit trou, puis pousser la femme et se rhabiller tranquillement.
Moi je recule doucement, sans trop faire de bruits, et je reprends difficilement ma course, à la fois excité et essoufflé par cette branlette nocturne. Ce n’est que quelques minutes plus tard que j’entends rire derrière moi avant de me faire dépasser par ce même couple, visiblement remis et en pleine forme. Effectivement la nana est canon, et je ressens presque encore cette sensation de vouloir la baiser sur ce chemin de terre.
« Allez monsieur, bonne course, j’espère que ça vous a plu ; on revient mardi prochain »
Je ne sais pas trop comment interpréter ces paroles mais je serai là mardi prochain, en espérant une course encore plus active, on ne sait jamais !
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