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Histoire de sexe : Rencontre dans le train

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : Rencontre dans le train

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Salut à tous et à toutes! Moi c'est Svetlana, j'ai 18 ans, je suis brune, les cheveux longs, les yeux verts, je fait 1m75 et je pèse 65kg. J'ai une poitrine très développée: 90D et de jolies fesses rebondies! Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé il y a pas si longtemps:

    Ce soir là, je prenais le TGV pour me rendre à Paris chez une amie, sur le quai de la gare j'ai remarqué un joli garçon, grand, bien foutu, et avec un regard à tomber! Il attendait comme moi le train pour Paris et je me suis surprise à espérer qu'on se retrouverai dans le même wagon. Coup de chance il est monté dans mon wagon! Mieux! Une coïncidence ou un signe du destin, le beau mâle s'est retrouvé à côté de moi! Mine de rien j'ouvre mon bouquin et profite du fait qu'il me crois occupée pour mieux l'observer: il a les cheveux à la limite du blond, une coupe trop craquante à la Leonardo di Caprio, plutôt musclé, une odeur divine, bref: tout à fait mon type de mec! Je remarque qu'il me regarde aussi. Je décide donc d'entamer une discussion tout à fait anodine:
    - J'espère qu'il n'y aura pas de retard, j'ai vu à la gare que des trains venant du sud étaient bloqués depuis 4h!
    - Ah non j'avais pas vu...en effet...Espérons...
    - Oui...
    Ne le sentant pas très loquace je n'insistai pas mais pensais revenir à la charge un peu plus tard.

    Quelques minutes plus tard, une annonce retentit dans le wagon: la sncf prévoyait au moins une demi heure de retard. Je profitais de l'occasion pour revenir à la charge: le fait qu'il semble me résister me donnais encore plus envie d'aller plus loin.
    - Ah ben finalement j'avais raison tu vois, dis-je en lui souriant, j'espère que t'avais rien de prévu ce soir !
    - Non ça va mais demain j'ai cours, j'espère qu'on arrivera pas trop tard...
    - Oui...
    Je vis alors que son regard était de plus en plus insistant, je décidais de saisir l'occasion :
    - Bon ben plus qu'à attendre... Je tiens plus en place...
    - Tu veux marcher ? Je fais souvent ce trajet je connais un endroit où on pourrait être tranquilles...

    Ça y est ! Il est entré dans mon jeu ! Nous sommes donc partit dans les couloirs du wagon pour se retrouver dans un petit recoin avec une banquette libre et pas de gêneurs à l'horizon. Je me suis assise à côté de lui, on a parlé banalités puis tout à coup il a cessé de parler. Il me regardait fixement dans les yeux, m'a dit "je ne sais pas ce qu'il se passe avec toi", puis il a posé sa main sur ma cuisse, s'est approché lentement jusqu'à ce que nos lèvre se frôlent, puis tout à coup il m'a embrassée, passionnément, langoureusement, jusqu'à perdre haleine ! Entraînée, je commençai à passer ma cuisse sur ses genoux lorsque tout à coup il la pris pour finir de la mettre le l'autre côté, il me prit sauvagement les hanches et en un instant je me retrouvais autours de sa taille, lui debout. Il me plaqua contre un mur tout en continuant de m'embrasser puis je descendis lentement jusqu'à ce que mes pieds touchent le sol. S'est ensuivit dans le couloir une sorte de jeu où à tour de rôle chacun prenait le dessus en plaquant l'autre contre un mur. Nous avons finit par arriver dans les toutes petites toilettes du wagon.

    Je claquai la porte pendant qu'il descendait la fermeture de ma robe dans mon dos, je me suis retournée et il me poussa contre la porte. Je me mis à enlever les boutons de sa chemise pendant que lui, dans la précipitation ouvrait sa braguette. Ma robe n'était plus retenue que par mes hanches, qu'il pris pour me rapprocher encore contre lui, son corps était brûlant. Tout en m'embrassant il fit tomber mon string et sa main remonta ma robe le long de ma cuisse jusqu'à atteindre ma chatte déjà bien humide de l'excitation qu'il éveillait en moi. Il enfonça un doigt, puis deux, c'était doux et en même temps tellement savoureux ! Il avait un doigté d'expert sachant parfaitement où aller et où appuyer. Je détachais mes lèvres des siennes et descendit le long de son torse en les laissant traîner sur sa peau jusqu'à arriver à sa queue. Les genoux au sol, je fit descendre son pantalon et son caleçon pour me retrouver face à un organe de belle taille. Son sexe était déjà dur comme du fer et cela m'excita au plus haut point ! J'enfonçai son sexe tout au fond de ma gorge et commençai à sucer de toutes mes forces alors qu'il plongeai sa main dans mes cheveux. Quelques instants plus tard alors que nos sexes étaient bien humides, je remontai pour l'embrasser. Il prit mes cuisses et me souleva encore pour me poser sur le lavabo, il commença à embrasser mes seins et en même temps, plongea sa queue sur dimensionnée dans ma chatte ! Je laissai échapper un gémissement de surprise et apparemment il apprécia car après 2 ou 3 allers retours il ressortit complètement son sexe m'observant le supplier de revenir en moi, puis le re-rentra d'un coup encore une fois. Il joua à ce petit jeu jusqu'au moment où n'en pouvant plus je le serrai entre mes cuisses pour qu'il ne puisse plus que faire des allers retours. Je sentais son sexe brûlant en moi, c'était délicieux...

    Feintant la frustration de ne plus pouvoir jouer, il me pris par les fesses pour me plaquer contre la porte, continuant ses vas et viens. Puis prenant les choses en main, je décidai de le pousser jusqu'à l'obliger à s’asseoir sur la cuvette. Remontant ma robe, je lui montai dessus, m'empalant sur son sexe colossal raide comme un piquet ! C'était si bon...je commençai à sentir mes cuisses chauffer, il m'aida alors en balançant des coups de reins de plus en plus fort. Ne me sentant plus tenir, je lâchais dans un râle entre deux gémissements
    - Je t'en...prie...vas y...je viens...je n'en peux plus...c'est si...je vais jouir...
    Il ricana tout en fixant mes yeux d'un air vicieux puis tout à coup accéléra la cadence, je me laissai tomber sur lui et ce changement de position permis à son sexe de taper en plein dans mon point g, ne sentant plus aucun de mes membres, étant envahie de frissons je jouis avec lui en laissant échapper un joli cri qui profita, j'en suis sûre, à tout le wagon !
    Après s'être rhabillés, nous revînmes à nos places, nous avons échangé nos numéros et je me promettais de rappeler ce fougueux mâle !

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