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Histoire de sexe : Salope cougar et sa cours de jeunes baiseurs attitrés
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8Histoire de sexe : Salope cougar et sa cours de jeunes baiseurs attitrés
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 08/04/2022
Publié le 08/04/2022
Malgré mes quarante-sept ans je suis toujours aussi friande d'hommes. Et curieusement, plus je vieillis plus il me les faut verts, bien vivaces. Plusieurs de mes amies ironisent d'ailleurs en disant qu'il me faut toujours les prendre au berceau ! C'est assez vrai mais je m'assure cependant qu'ils sont systématiquement majeurs, je ne veux pas de problème avec ça !
Quand je tombe sur un jeune gars que j'estime me convenir, je ne le lâche plus. Je fais tout pour qu'il devienne dépendant de ma petite personne, sexuellement parlant je précise. Vous me trouverez prétentieuse si je vous dis que je suis "encore" très belle ? Pourtant je vous garantis que j’ai de beaux restes j'ai d'ailleurs été miss de ma région... Mais je crois qu'aussi, ce qui les retient, c'est mon côté grande salope qui en a vu du pays !
Mes plus belles proies, une fois ferrées je ne les lâche plus d'une semelle disais-je, tant et si bien qu'en ce moment par exemple j'en vois quatre à la fois. Et ce n'est pas toujours facile de jongler avec le temps libre des uns et des autres, croyez-le bien.
Il y a Pierre-Édouard, dix-neuf ans et demi, tout droit sorti de Neuilly. Il est magnifique avec son invariable sourire qui lui illumine la frimousse. Il a également une bien jolie mèche qui lui barre le front. Ah, sa mèche ! Elle est très étudiée mais moi, j'adore la détremper avec ma mouille ! Ça me plaît assez de me dire que par la même occasion je réduis à néant tout son travail, tout ce temps qu'il aura passé devant sa glace pour la structurer avec du gel ! J'adore voir sa tête décoiffée quand il ressort de là-dessous, écarlate et tout déboussolé. Comme il est mouillé, oh là là, mon petit canard nouveau-né ! Viens là que je te passe un coup de peigne !
Avec Martial, c'est en gros la même chose. C'est d'ailleurs Pierre-Édouard qui me l'a amené. Ils sont tous les deux à Dauphine et je présume qu'aux intercours, ils doivent forcément parler de ma chatte baveuse. J'essaie de faire à peu près les mêmes choses avec l'un comme avec l'autre, je ne veux surtout pas de jaloux. Il n'est pas rare pourtant que l'un des deux me dise quelque chose du genre :
- Tiens, avec lui, tu as fait ci, tu t'es assise sur lui comme ça. J'aimerais qu'avec moi aussi...
Bon, vous voyez un peu la responsabilité que j'ai, il me faut veiller à tout !
Avec Christian, c'est sacrément différent. C'est un viril, lui, un bestiau tout droit sorti des flammes. Quand il me cramponne la fente avec son braquemart, je me sens réduite à néant. Je ne suis plus qu'une crevasse qui se laisse trombiner par un taurillon qui a toujours l'air de vouloir vous rentrer ses testicules avec. C'est infernal !
Pour couronner le tout, il donne toujours l'impression d'être pressé. Il bourre, il bourre et faut faire vite ! Et encore, au début il était encore bien plus précoce que maintenant. Mais ne critiquons pas, il y a eu du progrès. Et puis ce n'est pas trop grave car je jouis comme une folle avec lui. J'aime quand il me baise sauvagement sur la machine à laver par exemple, j'en parlerais des heures. C'est fou comme ça fait diablement du bien de se prendre un tel bélier dans la chatte de temps en temps. Je crois que Christian, c’est mon préféré en ce moment. Dès qu’il m’annonce sa venue par téléphone, je commence à mouiller, c’est systématique. Je le reçois généralement en petite tenue, la chatte à l’air, prête à l’emploi. J’ai laissé ma porte d’entrée ouverte, et je l’attends sur le lit, les cuisses écartées, offrant bien ma foufoune ouverte à sa vue dès qu’il pénètre dans la chambre.
Dès que je le vois franchir le pas de la porte dans la tenue d’Adam avec sa grosse bite tendue vers moi, je manque à chaque fois de défaillir tellement son pieu est magnifiquement dressé vers moi. Il grimpe sur le lit à quatre pattes puis avance entre mes cuisses écartées comme celle d’une grenouille. Sans attendre, il se met aussitôt à me brouter la chasse sans vergogne. On dirait qu’il n’a pas bouffé une chatte depuis des années tellement il est affamé. Il fait ça tellement bien qu’il m’arrive parfois de jouir une première fois sur ses babines endiablées. Mais le plus souvent je lui ordonne d’arrêter car je préfère qu’il se baise.
De tout son corps musclé, il se positionne alors sur moi et me plante sa grosse queue dans la chatte. C’est tellement bon d’avoir ce pieu-là qui vous transperce la moule. Il me pistonne aussitôt de toute sa force et de toute son énergie. Je gémis, je feule comme une chienne en chaleur tandis qu’il me défonce avec la plus grande détermination. Je suis à lui, complètement à lui, tandis qu’il me laboure le vagin.
Il ne prend jamais l’initiative de lui-même mais il arrive que j’aie envie de le sucer. Aussi, je lui demande séance tenant d’arrêter de me pistonner et de venir me présenter sa queue. Je change alors de position pour venir vers sa grosse queue tendue. Sa bite est tellement magnifiquement grosse qu’elle me donne très faim. J’engloutis d’abord le gland et je le suçote comme la dernière des salopes tandis que d’une main je lui masturbe la tige et que de l’autre je lui presse les couilles. Mais je ne veux pas qu’il jouisse, c’est interdit. Ensuite, après cette petite séance de pipe, qui a ranimé en moi mon statut de grande suceuse, nous reprenons la saillie…
Quant à Samuel, je lui ai toujours refusé mon entrée principale. Car lui, je l'ai dressé à exclusivement m'enculer. Il y arrive à merveille, le petit démon, un vrai pro de la sodo maintenant ! Si j'ai décidé cela, c'est parce qu'à la différence des trois autres, il a une verge normale disons, ni trop grosse ni trop longue. Et ce genre de calibre, ça me va très bien à l’anus !
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