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Histoire sexe : Sexe dans un parc d attraction
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40Histoire sexe : Sexe dans un parc d attraction
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 05/06/2015
Publié le 05/06/2015
Je ne sais pas vraiment par où commencer, c’est la première fois que j’écris pour raconter quelque chose qui m’est arrivé, mais je pense qu’une présentation serait un bon début.
Je m’appelle Julie et j’ai 22 ans. J’ai un style un peu spécial, cheveux rouges pétants, tatouages, piercings, je ne ressemble pas du tout à une gentille petite fille sage, mais apparemment, j’ai un petit je ne sais quoi qui plait aux hommes, sans doute aussi grâce à ma poitrine tout en rondeur. Je suis saisonnière. Pendant l’année, je vais d’une région à l’autre. Montagne en hiver, plage en été, je suis une nomade. J’ai fait ce choix de vie pour voir du pays et faire de nouvelles rencontres. Après tout, je suis jeune, j’ai tout mon temps pour me fixer quelque part.
Donc voilà, pour les vacances de Pâques et d'été, j’ai trouvé du boulot dans un Parc de Loisirs. Je dois faire un peu de tout et j’ai des journées bien remplies. J’ai commencé deux semaines avant l’ouverture officielle. Il y avait beaucoup de chose à faire, installation du matériel, nettoyage, jardinage… Heureusement, je n’étais pas seule. Il y avait quelques intérimaires bien costauds qui avaient été embauchés pour l’occasion.
Au bout de quelques jours, j’ai sympathisé avec l’un d’entre eux, Pedro. Grand brun bronzé d’origine hispanique, il avait beaucoup d’humour et surtout un charisme comme l’on en trouve rarement. Inutile de vous dire que j’étais totalement sous le charme. Il n’arrêtait pas de faire des allusions, de frôler mes fesses. Et puis il matait mon décolleté sans aucune gêne. Je dois avouer que c’était loin de me déplaire, au contraire, j’espérais qu’il pousse le jeu plus loin. Dès qu’il me touchait, ça me rendait toute chose et je sais qu’il en était tout à fait conscient... Moi je n’osais rien faire je n’avais pas envie qu’il me prenne pour une nympho. Il jouait avec moi et il n’avait pas honte de se servir de ses atouts.
Bref, un jour nous nous sommes retrouvés tous les deux sur le montage d’un grand trampoline. On ne dirait peut-être pas comme ça, mais monter un trampoline, ce n’est pas de tout repos. Entre les coussins à installer et la toile à tendre avec les ressorts. Tout ça nous a pris une bonne heure. La touche finale, c’est la bâche que l’on tend en bas de la structure pour cacher les pieds. Une fois que tout a été tendu, Pedro a disparu en dessous du trampoline, puis au bout de quelques secondes, il m’a appelée. Je me suis pliée en deux pour me glisser sous la structure et là il s’est jeté sur moi. Il avait installé son manteau par terre et il m’a allongée dessus. Sa bouche se pressait contre la mienne et descendait explorer mon cou. À chaque endroit où ses lèvres se posaient, j’avais l’impression de recevoir une décharge électrique et j’adorais ça. Tout ça était si rapide, si inattendu et si… excitant !
- Qu’est-ce que tu fais ? ai-je réussi à articuler.
- Je vais te baiser sous un trampoline !
Quelques mots qui ont suffi à déclencher des frissons dans toutes les parcelles de mon être. Mon bassin s’est soulevé et il a commencé à me donner des coups de reins alors que nous étions encore habillés. J’ai senti une grosse bosse appuyée contre ma cuisse et ça m’a fait mouiller. Soudain je me suis figée. J’entendais quelqu’un se rapprocher du trampoline, mais ça, ça n’a pas arrêté Pedro. Il s’est redressé autant que la toile de trampoline au-dessus de nos têtes le lui permettait et il m’a quasiment arraché mon pantalon et ma culotte. Il a ensuite baissé son pantalon et son boxer me dévoilant son énorme service trois-pièces. Il a enfoncé deux doigts dans ma chatte. Un délicieux frisson a parcouru l’intérieur de mes cuisses. Il m’a fouillée sans aucune délicatesse et je m’ouvrais de plus en plus. Je n’ai pas pu retenir un couinement et aussitôt il a plaqué sa main pleine de mouille sur ma bouche. Il s’est allongé entre mes jambes et d’un coup, il m’a pénétrée jusqu’à ce que son membre touche le fond de ma chatte. Etouffer par ses doigts, mon hurlement s’est noyé dans ma gorge. Il m’a baisée comme un sauvage. J’avais l’impression qu’il se moquait complètement de ce que je pouvais ressentir, qu’il ne pensait qu’à son plaisir et pourtant, j’adorais la façon dont il allait et venait en moi. Jamais je ne m’étais sentie aussi… pleine. C’était hallucinant ! Je crois que quelqu’un a prononcé mon nom, mais j’étais partie tellement loin… La seule chose qui avait de l’importance, c’était la queue de Pedro qui me fourrait.
Il allait et venait en moi de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Et puis tout à coup l’électro choque. Ça a déferlé dans mon corps avec violence et cette violence était divine. Les parois de mon vagin se sont tellement contractées que Pedro a succombé. Il a éjaculé tout au fond de moi. Chaque giclée m’a procuré un frisson de plaisir. Essoufflé, il est resté quelques minutes en moi avant de se retirer et de remettre son pantalon. Moi j’ai mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits. J’avais du sperme plein les cuisses. J’ai fait de la gymnastique pour remettre ma culotte et mon pantalon. L’air de rien nous nous sommes extirpés de sous le trampoline pour tomber sur un collègue.
- Qu’est-ce que vous fabriquiez là-dessous ? nous a-t-il demandé, perplexe.
- Ba d’après toi ? On fixait les matelas du trampo. a répondu Pedro.
Un mensonge qui est passé comme une lettre à la poste.
Malheureusement, son CDD d’intérimaire s’est terminé le lendemain et je ne l’ai pas revu depuis. Ce qui est sûr, c’est que je ne suis pas près d’oublier ce moment. Franchement, baiser sous un trampoline, ça ne doit pas arriver à tout le monde… C’est pour ça que je suis venue raconter mon histoire, en tout cas j’espère que ça vous a plu.
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