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Recit sexe : Sexe en entreprise, c'est ma spécialité !

Dialogue chaud :
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    Recit sexe : Sexe en entreprise, c'est ma spécialité !

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Faire l’amour a Stéphanie était devenu un vrai fantasme: je l’imaginais soupirer et vibrer lors de nos ébats, se tendre de plaisir jusqu’à la faire succomber et jouir sous mes assauts fougueux.
    Stéphanie est, pour sûr, la plus jolie nana de la boite: elle s’occupe des achats, et on la voit de temps en temps lors de notre pause-café. Toujours bien habillée, elle sait qu’elle est très attirante et en joue. C’est ce genre de femme qui arrive à être sexy, même dans un simple jean: ses formes et sa démarche font le reste. Allumeuse, elle sait comment attirer les regards des hommes, elle pousse le vice jusqu’à nous appeler par l’excitant sobriquet de “chéri”: “oh chéri tu permets: je ne supporte pas quand un col de chemise n’est pas bien plié” et s’empresse de rectifier la situation vestimentaire de l’heureux maladroit. Ou encore “Pardon les chéris laissez-moi passer j’aimerais me servir de l’eau”, et la voilà se faufilant entre nous, marquant son passage de son enivrant parfum.
    Je me demande si je suis le seul à être réceptif à ses charmes. Suis-je le seul à vouloir lui sauter dessus et satisfaire mon envie?
    J’ignore si c’est volontaire, mais elle essaye de ressembler à cette célèbre poupée: fine et élancée, avec de belles courbes, une légère cambrure des reins, et une chevelure bonde et raide tombant gracieusement jusqu’à des petits seins que l’on devine bien ronds sous ses hauts moulants.
    Son ravisant visage ne dénote pas avec le reste: des yeux topaze sont cerclés d'un bleu profond, elle porte des lunettes montés de verres très fins, de correction minime, peut-être les porte-t-elle juste pour se donner un air intello sexy. Sa bouche rouge rosée, n’a pas besoin de maquillage, pulpeuse mais pas provocante. Un léger défaut de dentition n’enlève rien à son charme.
    Son visage est d’autant plus joli maintenant qu’elle a ma queue dans sa bouche: elle est là devant moi à quatre pattes sur mon bureau, son regard tantôt fermé, tantôt sur mon sexe, tantôt droit rivé dans mes yeux…alliant subtiles caresses autour de mon chibre... de mes boules...
    Comment en suis-je arrivé là? Debout réalisant mon fantasme? Elle, affamée, me mangeant goulument de sa bouche voluptueuse?
    Tout a commencé ce matin, lorsque mes collègues et moi sommes revenus de la pause-café, vers 10h. Elle est entrée et a lancée d'une de voix suave et déterminée: “Hep les chéris, aujourd’hui je fête mon anniversaire, et avant de me caser définitivement j’aimerais un petit cadeau de votre part: je vous veux tous, faites-moi jouir comme jamais!”. Elle appuie ses paroles en déposant un pot géant de Vaseline: elle a en effet prévu son coup!
    Bien que d’allure sportive et plutôt beau gosse, vous pensez bien que je ne pouvais pas me la faire comme ça, tout seul : elle en voulait plus.
    Je ne vous ai pas dit? Je travaille dans le département R&D en robotique, mon bureau est dans un open-space, je partage les lieux avec 8 collègues.
    Et si Stéphanie miaule de plaisir, ce n’est pas simplement grâce à ma queue qu’elle suce: elle chevauche Patrick et se fait sodomiser par Pascal. Soigneusement lubrifiés, ils tringlent la belle en cadence depuis un bon quart d’heure. Je ne sais pas si c’est la première fois qu’elle se fait prendre par trois hommes, mais cette chienne apprécie la situation: ne voulant pas lâcher mon membre, elle pousse des petits cris étouffés. Excitée comme une folle, elle augmente la cadence de succion, prête à jouir, elle s'accroche à moi, sa main emprisonne la base de mon pénis, sa bouche quitte mon gland, elle plante son regard sur ses deux assaillants les yeux brillants de plaisir, la bouche entre ouverte, haletante, poussant des gémissements ne laissant aucun doute sur son orgasme proche. Elle retourne sur mon dard et le suce goulument en me branlant énergiquement, soudain s’arrête: les yeux révulsés, elle jouit dans des cris étouffes, gardant ma bite bien en bouche. Ne se contrôlant plus elle vibre de tout son corps: sa mâchoire me mordille dans un rythme saccadé, son corps se convulse, ses membres tremblent de toutes leur longueurs... La voir ainsi transportée m'excite d'avantage, je sens ma verge durcir entre ses lèvres et je lâche un "mhhh" de complaisance. Patrick et Pascal ne s’arrêtent pas pour autant et continuent de la limer prolongeant ainsi son puissant orgasme. En transe pendant quelques minutes, traversée par un incroyable courant. Elle est sur son nuage: ses cuisses suintent de cyprine …quelle vison exquise!!!
    Porté par l’excitation, Pascal accélère avant de se retirer, pose son sexe entre les fesses de la belle, lâche des raies blanches dans le creux de ses reins. De sa main droite, Stéphanie recueille une partie du sperme sur ses reins, et tout en le regardant droit dans les yeux, lèche ses doigts avec appétit. “mmmhhh merci mon chéri, maintenant vas te reposer et reviens moi bien dur”, et de continuer: “putain les gars ça commence plutôt bien: j’ai pris un pied d’enfer, vos 3 queues m’ont fait monter au Nirvana! Je me demande que me feraient l’effet de 4 bites…”
    Joignant les gestes à la parole, elle attrape la première queue sur son passage, par chance: la mienne. Il faut dire que je n’avais pas bougé de ma position de sucé. Mon gourdin dans la main, elle me dirige “par la queue” vers elle, me tire plus fort afin de me faire comprendre de la rejoindre sur le bureau et de m’allonger sur le dos, tête bèche avec Patrick, ou plutôt culs a culs: nos couilles les unes contre les autres. Stéphanie réuni entre ses mains nos deux membres par la base, “Oh la belle grosse bite que je viens de fabriquer!". Elle rapproche son visage du double phallus ainsi formée et entreprend de lécher les deux glands simultanément, effectuant des rotations avec sa langue. Les deux mains jointes, les doigts entrelacés autour de l’engin, elle maintient les deux bites ensemble. Elle pose ses lèvres sur l’extrémité du gland géant, glisse doucement vers sa base et tâche de le manger en entier. Sa bouche s’étire telle la gueule d’un serpent essayant d'avaler un œuf surdimensionné, apparemment trop gros… apparemment, car cette belle salope a réussi à le gober en entier: le plus gros est passé, elle glisse maintenant le long du chibre géant. Elle ne va pas bien loin: sa mâchoire n’est pas aussi extensible que celle d’un reptile: je sens ses molaires se planter douloureusement dans mon gland. Elle réussit tout de même l'exploit nous avaler sur 6 à 7 cm. La profondeur est suffisante pour nous procurer de bonnes sensations, s’apercevant de sa limite elle commence à nous branler… accroupie sur Patrick, elle me fait face. Je me régale de voir sa chevelure danser autour du géant et me caresser sensuellement le bas ventre. Elle pousse des petits gémissements, et nous suce avec envie. Je lève les yeux au-dessus de la tête blonde et aperçois Thomas qui s’est approché, il lui lèche la chatte, ou l’anus, ou les deux, d’ici impossible de savoir, mais cela explique ses couinements et son enthousiasme.
    Elle s’arrête: “mmhhh j’ai trop envie de la sentir en moi”. Sur ce, elle nous badigeonne de vaseline sur toute la longueur avant de s’accroupir au-dessus de l’engin. Elle me fait toujours face et j'admire ce beau morceau de femme qui va bientôt s’empaler sur ce pieu énorme et noueux. Son minou vient d'abord caresser toute la longueur du pénis comme pour en estimer les proportions, elle parcourt plusieurs fois la distance des boules au gland, prépare son minou. Estimant s'être assez lubrifiée, elle dirige de ses mains la tête de l'engin vers l'entrée se son sexe. La Vaseline aidant, peu à peu, la tête du monstre disparait dans le gouffre de sa chatte mouillée. Elle progresse doucement. “wahouuu ça me rappelle le jour où je me suis masturbée avec une courgette….”: sacrée nympho! Rien que de l'imaginer seule chez elle, se caresser avec une courgette fait monter mon excitation d'un cran ... Quelques mouvements des hanches la fait avancer dans sa progression: elle est suffisamment descendue pour pouvoir le lâcher. La voilà droite comme un 'i', devant moi, accroupie, les bras en arrière sur les hanches de Patrick. Quelle vue splendide sur son petit minou, rasé à la perfection ou naturellement imberbe, la peau de son sexe a l’air douce et appétissante. La coquine prend soin de sa personne: le pubis rasé, ne laissant qu’un petit triangle parfaitement régulier avec des poils coupes de près. Un régal pour les yeux et un appel à l’embrasser de près. Je comprends mieux pourquoi Thomas s’y est collé si vite. Totalement empalée sur le mandrin, elle pousse un petit souffle de satisfaction, ou peut-être d’encouragement: “ça fait un peu mal mais je vais me détendre…”. Elle commence par de petites rotations afin de s’habituer à la sensation. Cambrée, les yeux fermés, la bouche légèrement entre ouverte, elle ondule doucement du bassin. Putain qu’elle est belle. Telle qu’elle est, elle m’offre une vue imprenable sur son petit ventre bien plat et sa poitrine insolemment tendue vers moi : elle est vraiment bonne! Elle danse maintenant sur nos deux bites réunies dans un rythme plus enjoué: elle s’est vraisemblablement bien relaxée!! Je me redresse légèrement et appuie sur son ventre avec ma main. Mes doigts pressent doucement mais suffisamment pour sentir mon sexe à travers sa peau. Elle se redresse et passe sa main sous la mienne. Sa réaction est immédiate: "haaa ouiii! Je la sens à travers mon ventre, dure, ça m'excite ... hannn!! ". Emportée par un nouvel orgasme, elle s’effondre sur moi, je sens ses seins chauds caresser mon torse. Je l’embrasse férocement, lui plongeant ma langue bien profondément dans sa gorge: Elle a un goût de bonbon: sucré et fleuri. Elle me suce la langue en gémissant, comme elle le ferait avec un pénis... lèche et mange mes lèvres. Nous mélangeons avidement nos sucs. Quel pied!

    Je me rends compte qu’elle ne s’est pas effondrée sur moi volontairement: Sébastien la basculée en avant pour s’occuper de son petit trou. Le sexe bien huilé, il l’a poignarde d'un coup: malgré son sphincter encore bien détendu par l’étreinte précédente elle ne peut contenir un cri de douleur. Il l’a tringle en puissance, les mains bien ancrées sur les hanches de la victime.
    Elle abandonne ma bouche: dommage j’aimais la façon dont elle me mangeait. J'en comprends la raison: elle préfère échanger mes lèvres pour une belle bite dressée devant sa bouche: Thomas s’est positionné juste derrière mon crâne. Je n’ai pu reconnaitre le propriétaire de l’engin que par sa remarque “Allez ma belle salope si tu me suce tu les auras tes 4 bites”. Pour ma part, je me vois affublé d’une bite entre les deux yeux…D’ici, j’ai l’impression qu’un phallus m’a poussé sur le front et que Stéphanie me pompe assidument ce nouveau gland ! Je n’avais, jusqu’à présent jamais vu une bouche sucer une bite d’aussi près, et par dessous qui plus est!!! Je ne vois qu’une lèvre inférieure coulisser sur un beau cylindre de chair bien gonflé. Thomas, certainement craintif de passer par-dessus ma tête, est resté au sommet. Pas évident de coller sa bite au-dessus d’un gars! Moi même si j’avais été à sa place j’aurais éprouvé une certaine gêne: c’est une première pour la plupart d’entre nous!!! Fébrile et rassuré ou happé par la bouche experte de la suceuse, je sens ses cuisses glisser vers mes oreilles: C’est à présent ses couilles qui reposent sur mon front… Par chance Thomas est quelqu’un de “propre”, il est toujours bien habillé et on sent qu’il prend soin de sa personne: beau mec à l’italienne, toujours bien coiffé, vêtu avec goût, d’allure sportive: un sacré tombeur si il le voulait! C’est donc une chance d’avoir ses couilles sur mon front plutôt que celles d’un autre. Comme je l’aurais deviné, Il est propre de partout: ses couilles sont épilées et son sexe bien rasé: comme le mien, une aubaine, j’aurais moins apprécié une paire de boules bien velues à l'odeur de fauve!
    La bouche de Stéphanie coulisse sur la bite de Thomas dans un va et vient inverse au va et vient des bites qui éperonnent son cul, suivant le rythme imposé par Sébastien: elle glisse véritablement entre les 4 pénis qu’elle absorbe par le bas et par le haut…
    Emporté par les sensations qu’elle me procure en s'empalant sur ma double bite, je quitte des yeux les lèvres qui aspirent “ma bite du dessus”, pour aller observer les couilles qui massent mon front. Là, je ne sais pas ce qu’il me prend, je me surprends à ouvrir la bouche et à lécher ces couilles offertes. Au début je ne fais que les lécher, en faisant tourner ma langue alternativement sur une couille et puis l’autre, je lape en modulant mon rythme entre les deux testicules comme je le ferais pour un cunnilingus, j’arrive presque à atteindre l’anus, mais je m’arrête là… Porté plus loin dans mon étonnement voilà que je lui gobe une couille... Je tire, je suce, je mordille le sac de chair...Thomas a l’air d’apprécier…étonnamment moi aussi…
    Ma nuque commençant à être douloureuse, je reprends ma posture initiale: ma langue toujours en contact avec Thomas, glisse le long de ses boules jusqu'à la base de son pénis. Stéphanie s’occupant du haut. Nos langues sont à nouveau très proches... Stéphanie suce avec engouement le haut du pénis et je m’affaire au bas. De ma langue je sens le cylindre de chair durcir de façon prolongée, indiquant une éjaculation imminente. Je n’ai pas tort… remarquez, qui connais mieux le fonctionnement d’une bite sinon un autre mec? Son sexe durcit, reste gonflé 3 à 4 secondes: et soudain c'est l'explosion. Connecté à son pénis, je sens l’onde des jets de sperme parcourir sa verge: 1, 2, 3, ... 5 et 6 vagues. A ce moment je sais que Stéphanie a la bouche bien remplie de semence laiteuse tiède. Sa langue recueille une partie du précieux liquide, l'autre glisse le long du gland, poursuit sa route le long du pénis suit le canal enflé de l’urètre, se rapproche dangereusement de moi. La gravité fait perler quelques gouttes sur mon menton, à la commissure de mes lèvres…au final, un filament visqueux se forme…reliant la base de son sexe à mon menton… étrange sensation que de recevoir ce liquide qui n’est pas le mien: surprenant pour une première mais pas désagréable…
    Stéphanie aspire le pénis de Thomas pour le vider entièrement. Je sens son membre vibrer de quelques spasmes supplémentaires, livrant ainsi ses dernières gouttes. La belle ouvre la bouche pour titiller le bout du gland: elle a délibérément rien avalé et un coktail de salive mélangé de sperme s’écoule à nouveau le long de la bite vibrante: je subis cette foix un deuxième raz-de-marée d’écume blanche…plus conséquent, mon menton est totalement recouvert et je sens le liquide s'écouler sur mes joues, mon cou... son sexe se tend une dernière fois devant la langue assaillante qui explore l’orifice du gland: une ultime perle s’en écoule. Thomas a été pressé comme un citron!
    Je reste là, incapable de bouger, ne sachant pas vraiment comment me sortir de cette situation délicate. Je sens le sperme glisser doucement …dois-je laisser tout s’écouler lentement le long de mon visage? Ou dois-je essuyer mes lèvres avec ma langue pour stopper la progression? La généreuse Stéphanie vient à mon secours: elle abandonne son pénis, attirée par l’odeur du sperme, se penche vers moi, et me nettoie a coup de langues. Satisfaite de ma toilette elle se jette sur ma bouche et m’embrasse violement, m’insufflant le sperme recueilli. La garce n’a rien avalé! Ma bouche violée par sa langue est noyée dans un mélange de salive et de sperme. Suis-je choqué? Même pas! Peut-être par ce que je suis encore bien dur en elle et que mon excitation a dépassé touts mes entendements. Je reconnais son gout sucré derrière l’âpreté du sperme qui s’y est mélangé. Le cocktail inhabituel n’est pas mauvais, voire même plaisant, il est vrai que le goût du sperme ne m’est pas inconnu, pour avoir moi-même nettoyé quelques unes de mes précédentes partenaires ou simplement lors de mes masturbations. La nouveauté est d’avoir gouté un autre homme… bien qu’involontaire voilà une nouvelle corde à ajouter a mon arc des fantaisies sexuelles.
    Nos bouches restent collées et nous avalons tour à tour de petites quantités de ce mélange. Thomas se rapproche de nous et nous souffle aux oreilles “Putain, tu m’as fait un effet bœuf, j’ai jamais joui comme ça”. Toujours soudés, nous marmonnons ensemble un merci étouffe: “méehhhouu”. Ne sachant pas à qui il s’adressait, nous avons pris le compliment pour nous même: notre réponse simultanée nous a bien amusés, et nous esquissons un sourire de coin.
    Stephanie quitte mes lèvres, plante ses yeux azurs dans les miens, et me lache un dernier trait du melange dans ma bouche entre-ouverte avant de declarer: “Mmmhh Thomas tu nous a ravis”, dis-t-elle. Et poursuit “Ouahh les gars, c'est trop bon de sentir vos 4 bites! Mais là j’ai besoin de m’assoir j’ai un peu mal aux genoux.”.
    A ces mots elle se redresse, se libère des trois membres qui lui bourraient le cul. Debout sur la table elle s'étire de tout son long quelques secondes avant de se retourner et s’assoir sur mon bas ventre. Cette fois-ci dos à moi, son minou derrière nos deux bites toujours en contact l’une avec l’autre. Elle nous oint généreusement de lubrifiant avant de remonter son bassin et de diriger la poutre vers son anus déjà bien dilaté et huilé… le monstre à deux têtes pénètre avec une étonnante facilité dans son petit trou. De ma position j’ai une vue extraordinaire sur son dos en „V“, qui s’affine au niveau de sa taille et s’élargi harmonieusement au niveau de ses hanches pour finir sur les deux globes de ses fesses. Elle est complètement assise sur moi, son petit trou a totalement absorbé la double bite. Je profite de la situation pour poser mes deux mains paumes vers le haut, sur ses cotes, juste en dessous de ses seins, me transformant ainsi en confortable « chaise longue« « mhhh c’est agréable de pouvoir me reposer sur tes mains !« et à moi de rétorquer « tout le plaisir est pour moi«. En effet quel délice d’être en contact avec sa peau, la toucher, apprécier la légèreté de son buste… “C’est bon de vous sentir si durs en moi, mais ma chatte aimerait elle aussi manger deux belles bites! ”. La requête de Stéphanie ne se fait pas attendre: Alex se présente devant elle, la bite dressée, s’accroupi, présente son pénis devant la chatte humide et l'enfourche il dirige son sexe vers la fente humide et la pénètre d’un coup. Pour favoriser sa pénétration, j’incline Stéphanie plus en arrière, elle pose ses coudes de part et d’autres de mon torse : Je suis noyé dans sa chevelure blonde.
    Il danse dans son vagin quelques secondes, comme pour s’assurer qu’il est bien tenu par la belle. Toujours accroupi bien stable sur ses pieds il s’avance vers le buste de Stéphanie, enjambe ses cuisses: Il a désormais les pieds au niveau ses hanches. En position de grenouille prête à bondir, ses boules comprimées par le pénis tiré en arrière, sa queue à la verticale, est pratiquement dans l’alignement de son ventre. Il pénètre Stéphanie de haut en bas. Dans cette posture, Alex a astucieusement laissé une ouverture afin qu’un autre collègue se place derrière lui et puisse le rejoindre dans le vagin en feu de notre poupée surexcitée. Sébastien le rejoint; nous voilà à quatre dans son inimitée: deux par la porte de devant, deux par la porte de derrière, Stéphanie pousse des cris de plaisirs, et s’abandonne à ses propres sensations, sa tête rejetée en arrière. Je savoure la vision de son visage transporté par ses orgasmes: les tempes chaudes, les yeux dans le brouillard, la bouche haletante, les veines de son cou gonflées: elle jouit. Elle vibre de plaisir une bonne minute, transportée par une série de convulsions bien excitantes. Elle revient doucement à elle: “Wahhouu les mecs, décidément vous me rendez folle!!! Combien êtes-vous en tout? 9? Je vous veux tous!!!”.
    Voilà un challenge qui ne fait pas peur à l’équipe R&D: après tout le challenge c’est notre quotidien! Julien et Pascal se présentent devant la bouche humide de Stéphanie: “Oh Pascal, je suis contente de te revoir en pleine forme!! ”. Elle s'empresse de lécher tour à tour les deux glands présentés à elle, elle les couvre de baisers, les suces l’un après l’autre… les deux hommes se rapprochent, Pascal profite que Julien soit dans la bouche de la suceuse pour guider son membre vers le coin de ses lèvres. Guidant son pénis de la main, il se fraie un passage et le voilà à l'intérieur lui aussi: Stéphanie peine un peu, la bouche distortionnée par les deux cylindres qui impriment un lent mouvement. Elle ne rejette pourtant pas ses deux nouveaux partenaires et ses ronronnements de plaisirs motivent encore plus les six bites qui la pénètrent. Elle émet même un long “Mmmm” de soulagement et de plaisir, lorsque Julien lui passe la main derrière la tête pour, à la fois lui soulager sa nuque, et l’aider dans ses mouvements de sucions.
    Didier et Frédéric, qui jusque-là se masturbaient autour de nous, confient leur bite bien raide aux mains expertes de notre poupée. Elle empoigne les deux engins à l’aveugle, Julien et Pascal lui cachant la vue et lui maintenant la tête bien droite en direction de leurs deux bites. Sa main droite s’est frayée un passage par l’entrejambe de Julien et Stéphanie la main offerte attend qu’une bite vienne se poser. Didier se positionne derrière Julien et pose sa bite sur la main qui l’attend. Après s’être faufilée entre les cuisses et genoux qui l’enserrent, la main gauche féminine, trouve elle aussi un passage vers l’extérieur paume vers le bas. Frédéric se positionne sur le flanc gauche de la masse humaine, fait face aux deux sucées et y dépose son sexe. Elle masturbe les deux inconnus au rythme des secousses que lui infligent les 6 mandrins qui la pénètrent de toute part.
    Thomas est la dernière bite qui doit s'occuper de Stéphanie. Celui à qui j’ai gouté le sperme de façon indirecte, a, lui aussi, reprit poil de la bête: son membre luit de Vaseline. Il se masturbe de la main droite: sa main navigue le long de sa verge tandis que le pouce et l’index de sa main gauche en enserrent la base afin de créer un léger barrage sanguin maintenant un volume de sang dans son sexe dressé. Il se caresse en même temps les testicules avec les trois doigts restants : je vois que c’est un expert en masturbation : il doit pratiquer souvent ! Il arrive à se faufiler entre Alex et le couple Pascal/Julien, empoigne les seins de notre poupée, les rassemble et y glisse sa bite bien droite: une petite branlette espagnole pour finaliser le challenge!
    Mission accomplie: Stéphanie se fait niquer par 9 bites! Un sacré record de salope! Elle est littéralement pénétrée par tous les trous, et même plus!! Son corps ne touche plus aucune partie matérielle autre que de la chair humaine: elle est maintenue, cernée et transpercée de toute part d’hommes, son sens du toucher ne peu percevoir que de la peau chaude et humide autant autour d’elle, qu'à l'intérieur d'elle…
    Haletante et secouée comme un pantin par ces 18 bras qui la tiennent, la caressent, ou l’obligent à se mouvoir. Didier a pris des deux mains l’avant-bras du pantin et lui applique la cadence qu’il désire, Julien, les deux mains sur la tête de la putain, la secoue énergiquement, quant à moi, agrippé aux flancs de la blonde, je contrôle les 4 bites qui lui perforent le cul et la chatte. Son souffle s’accélère, elle ruisselle de sueur, la chaleur est si intense. Dans sa prison de bites, elle ne peut que pousser des cris étouffés, des mots incompréhensibles, des gémissements qu'elle module en fréquence et en intensité en fonction de la façon dont elle est manipulée. On ne distingue pas si ce sont des gémissements de souffrance ou de plaisir, certainement un peu des deux, avec plus ou moins de l'un ou de l'autre, selon son degré d’excitation. On la prend de la sorte de longues minutes. Elle émet à présent des « mmh,mmh,mmh« très rapproches, on l’entend gémir, et pousser des long râles qui confirment un nouvel orgasme, aussi puissant que généreux. Tous s’affairent comme un seul homme et profitent des vibrations qu’elle nous transmet. Dès que les secousses diminuent en intensité, nous nous accélérons et remuons la poupée désarticulée de plus belle. Ainsi prise, nous la faisons jouir plusieurs fois, tremblante et vibrante, dans des orgasmes extraordinaires, toujours aussi puissants que merveilleux à regarder. Elle semble infatigable. Sa chatte ruisselle de plaisir.
    Dans la folie de ce moment improbable, une cris s’élève « putain quel est l’enfoiré qui me doigte le cul !?!?« . Mirco enivré par la situation et si proche des fesses de Sébastien, n’a pas hésité à lui enfoncer deux doigts bien profond. « Ok t’arrête pas, ç’est surprenant mais ça m’excite !« . L’idée se répand et voilà Pascal qui lâche « Putain Julien t’aurais pu me prévenir que t’en faisais autant !!!« . Didier quant à lui se contente de passer la main sous l’entre-jambe de Julien et lui caresse les boules. Quelle équipe !!
    L’excitation de tous est à son paroxysme, c’est l’explosion presque générale… Julien et Pascal se retirent et se masturbent devant la bouche ouverte de Stéphanie. Elle en profite pour aspirer de grandes bouffées d’air. “Allez-y les gars, videz-vous, je veux vous boire..”. La bouche ouverte, la langue à demi sortie: le calice est prêt à recueillir la liqueur masculine. Julien et Pascal se masturbent énergiquement, c’est presque simultanément que des jets de sperme jaillissent de leur bites, maquillant le visage de la jolie blonde de plusieurs traits: le plus puissant a traversé son visage de part en part. Une diagonale blanche lui peint le visage de la base de ses lèvres au haut de son front. Une bonne partie a emplie sa bouche, quelques jets ont éclatés sur ses joues…elle est brillante de sperme, la bouche et la langue blanchies de foutre. Elle dégluti et fait disparaitre le liquide laiteux, se lèche les babines et récupère un peu de jus autour d’elle et sur les deux bites frémissantes, tout en lançant des regards langoureux aux deux tireurs fiers de leur salves synchronisés.
    Alex, se redresse de sa position accroupie, fait le tour du groupe, m’enjambe, passe par-dessus la tête blonde et se positionne en face de son visage qu’il saisit des deux mains, la bascule en arrière et lui et plante sa bite bien profond dans sa gorge. Elle, la tête relevée en position de l’avaleur de sabre, lui les jambes entre sa tête, adopte une position similaire à celle qu’il avait lorsqu’il baisait verticalement sa chatte. Il lui enfourne son engin jusqu'a la garde, ces couilles s'écrasént sur le menton. La chienne lâche des petits “mmh, mmh, mmh”, au rythme des pénétrations. Il retire sa bite de temps à autre, de long fils de bave venu du plus profond de sa gorge, s’en écoulent, Stéphanie en profite et reprend brièvement sa respiration avant d’engloutir a nouveau le sabre de chair. Alex enserre des deux mains le cou gonfle par son dard et s'aide de cette prise pour s'enfoncer au plus profond de sa gorge: ses couilles s'écrasént plus que jamais sur le menton de l'étranglée. Il reste là, dans cette position. Stéphanie, le visage rosi, et la gorge gonflée, semble souffrir de la situation, enfin c’est ce que je croyais, jusqu’à ce que je ne voie sa langue glisser sous les couilles qui l'écrasént et les lui lécher… quelle étonnante putain !!!
    Alex se retire une dernière fois avant de se planter à nouveau au maximum dans sa gorge, pousse des râles de plaisirs: il jouit. Loin dans sa gorge, il lui injecte le liquide directement à l’intérieur de ses entrailles. Telle une oie, Stéphanie est gavee de sperme. Sans déglutir, son estomac reçoit directement la semence. Une bonne minute s’écoule, Alex ne bouge pas, le visage de l’avaleuse est devenu rose sombre, et légèrement gonflé, ses yeux, dans le brouillard divaguent, des perles de sueurs suintent parmi les gouttes de sperme. Elle est sur le point de perdre connaissance…elle n'émet plus aucun son...les yeux clos elle n'oppose plus aucune résistance...Elle n’est plus qu’un pantin désarticulé et secoué par tous… Enfin il se décide à la libérer, son sexe dégoulinant de sperme glisse doucement hors de sa bouche, Stéphanie ne réagit pas, Alex lui donne une petite tape de la main droite: elle sursaute, reprend instinctivement une grande inspiration en revenant à elle, reprend ses esprits et…. Jouit…. “Oh, vous m’en avez fait voir des étoiles: quel beau réveil! encooore!!”.
    Thomas entre ses seins lui rapproche la tête du bout de sa bite qui pointe vers la base de son cou “tu as besoin d’un petit remontant: ouvres la bouche…”. Elle à peine le temps de s’exécuter qu’une giclée de sperme jaillit de sa bite et va s’écrasér au fond de son palais. Elle hape le gland et récupère le suc des jets suivants dans sa bouche. Un peu de sperme s’écoule du coin de ses lèvres, le reste a été avalé ”mhhh”. Thomas se retire et libère la poitrine luisante de la belle, quelques gouttes de sperme ruissellent et descendent doucement à travers ses jolis vallons. De la scène, "plus que" 5 bites s’activent autour d'elle: Didier et Frédéric se font masturber, Sébastien est dans son vagin, tandis que Patrick et moi sommes toujours actifs dans son cul.
    “Donnez-moi en encore, mais soyez imaginatifs”, elle se libère des 3 bites qui fourraient ses entrailles, se relève, chancelante, lâche les 2 masturbés et enlace le cou de Sébastien. Il la soulève et la prend debout. Patrick plus rapide que moi, se lève également et retourne dans ses fesses. Maintenue en l’air par les 2 hommes, elle se fait prendre en sandwich. Elle se fait littéralement empaler par les deux pieux: les 4 bras la soulèvent et la relâchent, par gravite, elle s’enfonce d’un coup sec sur les sexes dresses et lâche des cris de plaisirs: “Ah, hang, ouii, oh mon dieu...”, les bras en croix, en manque, elle retourne chercher les sexes dresses de Didier et Frédéric, qu’elle branle dans son excitation.
    Elle rugit de plaisir et jouit une nouvelle fois, le corps luisant de Vaseline et de sperme, les cuisses humides de cyprine...
    Sébastien, surexcite, se la joue perso : il déséquilibre le trio pour s’allonger sur la table. La bite bien enfonce dans sa chatte. Stéphanie ne peut que le suivre dans son mouvement de chute, abandonnant malgrés elle, les deux bites qu’elle tenait et celle qui limait si bien son petit cul. Stéphanie se retrouve à califourchon sur Sébastien. A elle de baiser se salaud d'égoisite: elle monte et descend sur son vit, elle passe sa main droite derrière sa cuisse et va attraper la bite qui la transperce. Pour le punir elle essayé de le finir au plus vite et commence à le branler en simultané. Pour l’avoir vécu, le duo sexe branlette est très excitant pour un homme et il est très difficile d’y résister: on jouit très rapidement dans une telle posture, et cette salope le sait! Patrick, à nouveau sur le qui-vive, réagit le premier enjambe le duo et rejoint Sébastien dans le même trou. Stephanie ne peut maintenir le sexe qu'elle branlait et sa vengence échoue; peut importe: elle retrouve unes à unes ses bites perdues!. Didier se jette sur sa bouche haletante, tandis que Frédéric décide de se frayer un passage entre les deux bites de Sébastien et Patrick: Je n’en crois pas mes yeux: la chatte de Stéphanie est prise simultanément par 3 bites! Et elle aime ça la salope, rien qu’à voir l’ardeur avec laquelle elle pompe Didier et avec quelle façon les doigts de sa main droite caressent les trois bites…Stéphanie pousse à nouveau ce joli petit cri étouffé et tremble de tous ses membres, ne laissant aucun doute sur le nouvel orgasme qui l'innonde…
    Quant à moi, je profite de cette accalmie pour refroidir ma queue, et mon esprit : je me fais spectateur : la pause est plutôt la bienvenue, j’étais au bord de l’explosion et prêt à lâcher mon foutre. Je ne voulais pas en finir maintenant, pas si tôt. J'admire le beau spectacle qui m'est offert: une splendide blonde chevauchant un mâle, elle-même harponnée par deux autres mecs, les trois dards lui défonçant simultanément la chatte, elle, ronronnant de plaisir, et le 4eme lui baisant la bouche… la bite bien raide je regarde la scène, je reprends mon souffle et l'envie d'éjaculer s'estompe doucement.
    Patrick, peut-être trop à l’étroit, se retire et lui prend son petit trou : d’un coup sec il s’enfonce totalement en elle. Elle pousse un petit “han” de plaisir, Frédéric en profite pour s’enfoncer plus profondément dans le vagin libéré. Patrick la lime quelques secondes avant de se retirer, de se diriger vers son visage et lui lâcher deux traits de sperme sur sa joue droite. Elle n’a pas eu le temps de le gober, occupée à pomper Didier: elle émet de petits “mmmh mmhhh” très expressifs au moment où elle reçoit la semence. Par respect, elle change de bite et pompe les dernières gouttes offerte par Patrick en le regardant avec ses yeux de biche. Didier re-présente sa queue devant la bouche humide de la belle. Stéphanie lâche sa proie et ronronne a Patrick “j’ai la vulve en feu, j'ai joui en même temps que toi”, esquisse un sourire ravageur et se jette sur Didier.
    Cette fois c’est Frédéric qui se la joue perso: debout derrière elle, il la tire par les hanches et recule. Stéphanie décolle du bureau, maintenue en l’air, elle se fait baiser énergiquement pendant quelques secondes. Frédéric l’empoigne et la fait littéralement tourner sur sa bite: et la voilà face à lui: il la baise à nouveau ainsi, jusqu'à ce que Didier se rapproche et la bascule en arriere vers lui en lui tenant les épaules, il compte bien retrouver la bouche que Frédéric lui a indirectement volé!. Stéphanie est dos au sol, baisée par Frédéric, la tête en arrière, avale le chibre de Didier qui la maintient aux épaules. Sébastien et moi restons sur la table, la bite dressée, je m’aperçois que je suis en train de me branler: et bien pour quelqu’un qui voulait se reposer!!!!
    On admire tous deux cette salope se faire transpercer de part en part, les seins tournes vers le ciel. "Putain de salope, elle est sacrément bonne " me lance-t-il.
    Frédéric, peut-être à bout de force, la soulève, lui pose les cuisses sur ses épaules et lui offre un cunnilingus acrobatique. Le corps à 45 degrés, léchée par Frédéric, la tête à l’envers au niveau de la bite de Didier le trio forme un “N” parfait. Stéphanie se cambre et couine comme une folle: cette position extravagante la fait jouir instantanément. "Je mouille comme une folle" lâche-t-elle entre deux cris d'orgasme. Didier ne tenant plus, l’angle de la gorge dans l’alignement parfait de sa queue, il se plante au plus profond et jouit dans râle de bonheur. Il se retire presque immédiatement de la bouche ouverte, entrainant avec sa queue une coulée de sperme des profondeurs de sa gorge. La bite encore secouée de spasme lui jette une dernière salve au fond du palais. La belle comblée aurait bien voulu tout avaler, mais sa position renversée lui fait du tort et la gravitée terrestre l’emporte. Du liquide laiteux coule du coin de ses lèvres, le long de ses joues et va se perdre dans sa chevelure dorée. Elle regarde autour d’elle, trois bites restent à vider…
    Didier quitte la scène: Stéphanie n’est plus maintenue et retombe verticalement contre Frédéric, dos à lui, tête à l’envers. Frédéric absorbé par la belle chatte qu’il déguste n’a pas lâché prise et compte bien la faire jouir dans cette position. La nuque de Stéphanie repose sur la bite dressée de Frédéric, ses long cheveux caressent ses cuisses jusqu’aux genoux. D’ici je peux voir son visage, humide et dégoulinant de sperme, transporté par les coups de langues qu’il lui prodigue. Voulant gouter à cette queue bien chaude et bien dure qui lui masse la nuque, elle aggripe les cuisses de Frédéric avec ses mains, se cambre ‚s’arque boute, et arrive à attraper le bout qu’elle désirait. Tendue en arc, elle suce avec délectation cette bite tant convoitée.
    Trop excité, je me positionne en face de ce corps tendu, lui pétris les seins, caresse son ventre bien étiré ...elle lâche la bite de Frédéric et se repose à nouveau contre lui: son visage à l’envers face à mon engin. Elle n’a qu’à ouvrir la bouche pour en profiter. De la voir se faire bouffer la chatte devant mes yeux et la sentir me sucer me rend fou…J'ai envie de la gouter. J'attrape les cuisses posées sur les épaules de Frédéric, les tire vers moi. Je retourne Stéphanie vers moi toujours tête à l'envers entre nous deux. Frédéric a compris la manœuvre et encercle la taille de la belle de ses deux bras. J'en fais de même de mon cote, je n'ai plus qu’à profiter de sa chatte béante offerte devant moi. Elle est lisse, glissante douce et parfaitement délicieuse... je joue avec son clito déjà gonfle par un prochain orgasme, passe ma langue autour, titille le capuchon, presse plus ou moins fort, la pince de mes lèvres... Je m'attarde sur l'ouverture de sa vulve béante, humide. Lèche les lèvres tourne autour avant d'y insérer ma langue et explorer son intérieur. Je me promène à ma guise, de sa chatte mouillée à son clito et pars à la découverte de moindres recoins de son intimité. Je sens sa bouche aller et venir autour de mon vit, me masturbant en cadence d'une main, et de l'autre la bite de Frédéric qu'elle a fait passé par-dessus son épaule. Frédéric, ravi glisse sa langue dans ses fesse et va lui lécher la rosette. Un 'mmmhhhmmHHHHH mmmmHH' remonte aussitôt de ma bite: Stéphanie est apparemment enchantée de la situation, elle ne met pas longtemps à monter à nouveau et à exploser…quelle excitante vision de la voir se tordre encore une fois de plaisirs, la chatte frémissante se couvrant d'humidité….
    Décidément, c’est une increvable nympho : combien de fois va-t-elle encore jouir !?!!!! en arriveront nous a bout? neuf n'est pas suffisant?
    Frédéric ne quitte pas sa rosette et patiente jusq'a la fin de son orgasme avant de la redescendre au niveau de sa bite qu'il lui enfonce profond dans le cul. Stephanie, dos au sol n'a pas lache ma bite: je continue de profiter de sa bouche. Sébastien s’agenouille près de ses hanches et me remplace dans le rôle du butineur. Frédéric, s'adonne à cœur joie: les deux orifices offerts devant lui, il la lime selon ses envies et passe d'un trou à l'autre avec enjouement. Les minutes défilent, sentant son orgasme proche, il accélère et dans un grand coup de rein explose dans sa chatte. Il se retire subitement, se branle juste au-dessus et dans un râle lâche deux traits supplémentaires de foutre vers son ventre et lâche « rahhh« d'extase. Il vient d’éviter le visage de Sébastien de peu : un peu plus et il en était lui aussi!!!
    La belle, la bouche pleine, n’émet qu’un « mmmmhh« de contentement et d’encouragement envers le liquide tiède qu’elle sent couler sur son ventre. A sa grande satisfaction, Frédéric, la main sur sa bite retourne dans son intimité et la lime encore une bonne minute afin de se vider complètement en elle. Il admire quelques seconde son travail et se retire.
    La place étant libre, Sébastien arrête son cunnilingus entend prendre Stéphanie en levrette, il lui fait comprendre de se retourner avec une légère pression de sa main gauche sur la hanche de la belle. Elle effectue une rotation autour de ma bite qui lui sert d’axe et se retrouve à quatre pattes. Wahh quelle succulente sensation de la sentir tourner autour de mon chibre !
    La bite dressée de Sébastien s’enfonce aisément dans la chatte ruisselante de cyprine et de sperme frais. Il se plante d'un coup dans la chaleur de la belle. Il l’agrippe fermement par les hanches et la tronche sans ménagement. La bouche de la suceuse suit le même rythme le long de mon frein. Empalée de la sorte j’ai l’impression qu’un seul sexe la traverse de part en part : la base de mon sexe la transperçant jusqu’à en ressortir pas sa chatte du cote de Sébastien …ou inversement. J’entends Stéphanie haleter, d’un souffle saccadé et court : va-t-elle à nouveau jouir ? Peut-être s’imagine t elle aussi être transpercée de part en part par un long cylindre de chair… Sensation, j’en suis certain, très jouissive pour une femme, qui, m’exciterai beaucoup si j'en étais une…Peut être devrais-je expérimenter ça avec des hommes ?! Pas que je sois homo, mais pour l’expérience et la curiosité !?! J’aurais peut-être l’occasion de vous narrer cette expérience un jour…qui sait ? Mais ne nous égarons pas. Je me reconcentre sur la jolie bouche qui me mange avec tant de plaisirs.
    De la manière dont elle bouge, je la sens prête a vivre un nouvel orgasme, mais le mouvement qui rythmait ma succion cesse : Sébastien vient de se retirer, Stéphanie qui, c’est certain, allait jouir a stoppé net sa fellation et se retourne pour voir ce qu’il en est. Elle n’a pas le temps de réaliser que Sébastien est déjà devant son visage, la bite entre les mains prêt à decharger. Par réflexe elle ouvre instinctivement la bouche. ¼ de seconde plus tard elle reçoit un puissant jet de sperme qui traverse sa bouche et va s’écrasér d’un cote a l’autre de ses lèvres ouvertes, formant une liane suspendue entre ses deux lèvres, allant du coin supérieur droit au coin inferieur gauche. La ligne traverse le menton et s’égoutte en traits visqueux sur le haut de sa poitrine. Comme a son habituée Stéphanie absorbe goulument la bite généreuse. Aux premières loges, je regarde avec exitation sa façon sexy de « terminer les mecs», d’autant plus que, loin d’être tête en l’air, elle ne m’a de loin pas oubliée, et sa main gauche branle doucement ma verge.
    J’ai trop envie de bourrer son petit minou, en bon gentleman j’attends qu’elle en ait terminée avec Sébastien et me libère doucement de sa douce entrave. Elle, me regarde de ses yeux azur m’accroupir devant elle, m’allonger et me glisser entre ses jambes : dressant mon sexe vers l’ouverture de son vagin. Ayant bien compris la manœuvre elle se soulève légèrement, prend mon sexe entre sa main droite pour diriger la tête de mon engin vers les lèvres de son sexe. Elle s’enfonce doucement sur le pieu ainsi offert jusqu'a la garde. Elle entame un doux va et vient vertical, m’offrant en spectacle son joli corps. Elle s’empale doucement, chaque cm de son corps appréciant ce retour au calme après la ruée de bite qu’elle vient de vivre. Pour ma part je me délecte de la voir ainsi: recherchant encore les douces sensations d’un dernier orgasme inachevé. Elle va et vient ainsi, ne cherchant même pas à essuyer les coulées de sperme qui, doucement glissent le long de son visage, de sa bouche, de ses seins, de son ventre. Les cuisses humides, le corps huile : elle est magnifique dans son rôle de salope. Ma bite dressée s'oint de ses sucs et du sperme des précédents burineurs.
    Je lui pose doucement ma main droite au-dessus de son pubis, la main gauche sur ses reins, ainsi prise, je me maintiens bien enfoncée en elle, et lui imprime un mouvement de va et vient horizontal. Elle lâche un petit « mmh« qui en dit long sur ses attentes. Ce n’est pas par hasard que j’ai adopté cette position : je connais l’effet que ce mouvement procure aux femmes : elles y sont très sensibles et réceptives, certainement parce que le clitoris et le vagin sont simultanément stimules. Doublement excitées, les femmes adorent ce mouvement et jouissent rapidement. Et c’est mon but. De plus ce mouvement est très reposant pour l’homme et retarde l’éjaculation. Tout bénef pour moi, qui n’ai qu’une envie : la faire jouir avant moi. Mission difficile vu à quel point elle me serre la bite avec son petit vagin excité, et ce, malgré toutes les bites qu’ils l’ont déjà explorees…Ce vagin aux parois si serrées me donne un furieux indice sur son niveau d’excitation. Problème : ça ne me favorise pas mon état d’autant plus qu’elle s’est mise à se caresser les seins…vision fantasmagorique, je dois calmer mon cerveau en ébullition tout en continuant à la mouvoir….ses mains caressent son corps érotiquement, la poitrine, les cotes, le ventre…à la voir ainsi, je ne vais pas pouvoir résister bien longtemps…
    Je sens de légers coups de bassins qui montent crescendo accompagnant mon rythme : son orgasme se construit de plus en plus, elle accélère, elle divague, rejette sa tête en arrière, elle se lâche… » ahhhhhhhhh ouiiiii». Je n’arrête pas mon mouvement et la encore boit le spectacle qu’elle me donne…mes couilles sont submergées de ses sucs et nagent dans une délicieuse flaque tiède... je poursuis les mouvements en restant dans le rhytme qui lui a procuré son émoi et me régale de sa jouissance avant de cesser tout mouvement, car mon éjaculation se fait imminente….
    Elle me regarde : " je ne pensais vraiment pas jouir une dernière fois, surtout avec une seule bite et tout ce que vous m'avez déjà mis. Tu m’as comblée merveilleusement. Mets-toi debout, j’ai envie de te finir… à ma façon". Un clin d’œil de sa part et me voilà debout les jambes légèrement écartées et curieux de comprendre ses dernières paroles….
    Elle s’agenouille pile en face de moi, glisse sous mon pénis . Ma verge à 10 cm de son minois, traverse son visage et lui monte jusqu'à la naissance du front.
    Elle prend ma bite dans ses deux mains, plante ses yeux dans les miens et commence un va et vient langoureux le long de ma verge. Ses mains glissent doucement ses yeux fixes dans les miens, elle murmure des 'mmmmhh ... je sais que tu aimes ça ... c’est bon…",
    La bouche entre ouverte ou complètement fermée elle lâche des petits couinements de plaisirs… "Ta bite est trop belle...je mouille comme une folle..."
    Elle sait s’y prendre : elle change de cadence, est réceptive à mon excitation : et s’attarde sur les endroits qui font se raidir ma bite. Elle change ses mains de positions, de sa main gauche en emprisonne la base, de sa droite, en coupole, la paume sur mon gland, elle me masse par d’amples rotations, caresse du pouce mon frein, endroit très réceptif : ma bite se gonfle de sang à chacune de ses caresses.
    Elle relâche la pression de sa main gauche lorsque je me raidis et resserre son entrave juste après, emprisonnant ainsi le sang dans ma verge. Mon sexe, garrotté, se gonfle de plus en plus: à chaque nouvel emprisonnement un peu plus de sang est bloqué. Après quelques garrotages successifs, mon gland est dur au maximum, toutes mes veines deviennent apparentes… Sa bouche et sa langue ne sont qu’à quelques cm de ma hampe, mais elle ne s’en sert pas : c’est une branlette dans les règles de l’art : juste les mains et une excitantes vision…
    Ma bite, toutes veines gonflées, est dure à en devenir douloureuse. Elle s’est transformée en un tronc noueux de couleur, sombre, rouge-violace, ses doigts se déplacent le long des veines, jouent avec ce relief impressionnant, un ongle essaye, en vain, d’explorer l’orrifice trop serré du gland. A chaque passage ma queue douloureuse se tend d’excitation absorbant encore quelques gouttes de sang supplémentaires. Ma bite est à son paroxysme de taille et de douleur, d’emprisonnement et de sensations très excitantes. " Quel bel engin tu possèdes, gros, raide, dur impossible d'y planter mes ongles..."…impossible non, mais douloureusement agréable !!
    "Mmhh ce gros gland est si appétissant, ça m'excite...je te libère..." Elle relâche prise, ma bite dégonfle de son excès de sang et retrouve sa couleur et sa taille habituelle. La douleur du garrot disparaît doucement, Sa main gauche désormais masse mes testicules, l’autre, continue de se promener sur toute la longueur. Je laisse échapper un "mmmmhhh" lorsque ses doigts caressent mes testicules…
    Sa main gauche s’éloigne de mon scrotum pour atteinte la partie située entre les testicules et l’anus. Par de légères pressions, elle estime de ses doigts le renflement de la base du pénis naissant. Elle connaît l’anatomie masculine ! Elle sait que derrière les boules se cache le début du cylindre de chair, lui aussi gonflé. Peu de femmes connaissent cet endroit de l’anatomie masculine et est malheureusement oubliée. Elle procure pourtant des sensations inédites et enorgueilli nos égaux : notre bite est bien plus longue que ce que l’on croit ! Stéphanie est vraiment une experte, certainement plus que certains hommes! Elle plante ses doigts dans ma chair, de chaque côté et arrive à le prendre comme le fait actuellement sa main droite sur le cylindre de chair visible. Seule ma peau sépare le pouce de ses autres doigts.
    Sa main gauche tournée vers le haut, commence à branler la partie mon cylindre caché, pendant que la main droite s’occupe du cylindre visible. Mes bourses accompagnent le mouvement synchronisé des deux mains, se balancent et les frappent tour à tour: ce massage de couilles énergique me procure des sensations inédites frôlement excitantes. Stéphanie, resserre la prise de sa main gauche et stoppe à nouveau le flux de sang "j'ai envie de jouer avec toi, je veux le revoir énorme dans toute sa grandeur". Mon sexe s'enfle à nouveau et reprend peu à peu des formes démesurées: mes veines réapparaissent le long de ma verge, mon gland se regonfle indécemment. Elle maintient la pression et ne me branle plus qu'avec la main droite. Ma queue est énorme, dressée au-dessus de son visage, elle la lui traverse entièrement. Mon tronc noueux est a nouveaux au top de sa forme, les veines saillantes, une douleur naissante réapparait, et à la base de mon pénis, ou la chienne m'avait garrotté la première fois, une petite goutte de sang perle sur mon vit saturé.
    Elle caresse ainsi mon phallus dans toute sa raideur, sur toute sa longueur, je sens ses doigts buter et sauter sur les protubérances de mes veines, s'ouvrir sur la corolle de mon gland, gros comme une mandarine, repartir en sens inverse....Je sens monter en moi un orgasme proche, ma bite est de plus en plus réceptive à ses caresses, je sens les flux de sperme monter…ma bite se tend…je vais jouir... soudain elle stoppe instantanément tout mouvement. Certaine d'avoir senti mon explosion imminente, sa main gauche lâche prise, faisant redescendre le flux de ma bite et mon éjaculation. Son doigt vient me caresser l’anus avant de m'abandonner "tu es au bord, je le sais, je le sens...tu aimes hein...souffle un peu..". Je comprend mieux lorsqu’elle disait jouer avec moi… Cette pose me redonne un petit répit mon envie d'éjaculer retombe. Mon excitation quant à elle est toujours à son maximum...Elle joint ses main autour de mon chibre dressé, sans l’enserrer elle commence un va et vient soutenu mais pas rapide. Ces caresses de plumes parcourant tout mon sexe raidissent ma bite comme jamais…
    Son regard et le mien restent soudes "mmhhh j'ai envie de te voir venir...viens, viens..."… ses mains doivent ressentir les vibrations de mon membre…mes fesses se crispent mon bassin s’avance instinctivement, Stéphanie colle ses gémissements aux miens, " ahhh, je viens, .. je viens" "oh oui viens, viens...maintenant...laches toi...innondes mon visage...", je sens ma bite se raidir de plus en plus, rester raide et gonflée sous ses caresses de plume, mon sexe est littéralement pétrifiée par le sang qui afflue ...je sens les sucs se concentrer et monter en moi… je vais exploser: je ressens l'étincelle qui va déclencher mon explosion de jouissance. A cet instant précis elle arrête instantanément tout mouvement et lâche ma bite : instinctivement mes mains s’avancent pour attraper mon sexe afin de me finir, la garce a anticipé mon geste et m’attrape les poignets " pas touche mon chéri" me gémit-elle avec un sourire ravageur "viens...".
    Je dois certainement avoir un air ahuri voire éberlué, la bouche et les yeux grands ouverts, regardant ma bite gonflée devant son visage de poupée...
    Cambré par ma bite au plus proche de l'orgasme, le visage de la belle juste en dessous me faisant des yeux de chats… bloqué, impuissant, seule ma bite réagit: elle se tend, reste immobile dressée au plus haut, tout mon corps est raidi par cette montée de sperme, tous mes muscles sont bandés, et n'attendent que l'orgasme pour se détendre... Un frémissement parcours l'intérieur de mes cuisses, de mes fesses, de mes testicules, de mon échine... ma bite jusque-là tendue et immobile se détend, secouée par un premier spasme. Je sens le flux de sperme chaud traverser mon canal. Je lâche un premier jet blanc, la masse visqueuse traverse entièrement son visage, et va terminer sa course quelque part derrière son dos ; la secousse suivante fait jaillir un deuxième trait qui peint sa joue gauche, le troisième dose gicle dans sa bouche ouverte. Emporté par l'extase je laisse échapper un filet de bave de ma bouche entre ouverte, il glisse et atterrit sur ma bite suit le relief de ma verge et s'écoule en partie dans sa bouche rose déjà immaculée de substance blanche. Elle suit le fil transparent et en recueille le maximum, referme ses lèvres roses, dégluti et se lèche les babines."mmhh que tu es beau...."
    Je reste là, l’air interrogateur, n’ayant pas ressenti toutes les sensations habituelles j'ai l’impression de n’avoir pas joui entièrement ...et pourtant...
    Stéphanie me laisse douter, essuie son visage et recueille de ses mains les jets que je viens de lui donner, m’attrape la bite vibrante et raide qu’elle a entre les yeux. Commence à me masturber énergiquement avec sa main droite pendant que les doigts de sa main gauche humides de ma semence, se glissent entre mes jambes, frôlent mes testicules, glissent le long de ma raie, trouvent ma rosette, son majeur oint de sperme s’enfonce aisément dans mon fondement et sans hésitations, trouve le renflement de ma prostate, appuie, tourne et masse mes entrailles… La réaction est immédiate, des frissons naissent en moi, et la sensation d’excitation renait, comme si je n’avais jamais éjaculé un instant auparavant. Me voilà à nouveau disposé pour une nouvelle explosion, sa main droite bien serrée sur mon membre, me prodigue toujours ce va et vient énergique, tout mon appareil génital vibre et est en feu. Elle a su séparer en deux ma jouissance et la reprendre ou elle s'était arrêtée.
    Etant en plein orgasme interrompu, la deuxième montée vient instantanément, excité comme jamais…elle n’a pas diminué la cadence de sa main droite et l’interrupteur sur lequel elle appuie me rend fou : un éclair blanc jailli : j’explose, je suis parcouru par une onde électrique incontrôlable, mes jambes vacillent et flanchent, je m'effondre. Dans ma chute une deuxième onde électrique m'électrocute, un jet blanc peint le haut de sa poitrine accompagne ma descente jusqu’en haut de son nombril. A genoux, la belle a su m’accompagner dans ma chute, son majeur est toujours en moi et presse sur ma glande, sa main droite continue son mouvement. Dans un dernier spasme je lâche un dernier trait sur son bas ventre et sa main.
    Je reste là, prostré et vaincu, secoue par les dernières vagues électriques qui m’envahissent à chaque fois que la blonde frotte mon gland, mon frein, devenu intensément sensible. Evidemment elle le sait: le gland devient très réactif après l'éjaculation et elle en joue. Mélange de jouissance et de souffrance certains homme n'apprécient pas... lorsqu'on se laisse faire et avec le temps, ces douleurs peuvent être perçues comme très jouissives et faisant partie intégrante de l'orgasme. C'est mon cas. Travaillant de la sorte sur mon gland, je sursaute, tremble et apprécie. Elle me trait et me vide de toute substance.
    Quelques minutes passent, mon sexe épuise se relâche peu à peu, mes couilles se détendent. Elle garde mon membre dans sa main, le masse par pression. Je sursaute encore à certaines caresses…mais me voilà vide comme jamais je ne l’ait été… Je relève les yeux doucement et parcours son corps : sa main droite luisante de sperme, son bas ventre, son ventre et ses seins où un miel blanc glisse doucement vers son sexe…son visage brillant de foutre et quelques vagues sinueuses blanches de mon dernier passage…elle est magnifique, ointe en toute beauté.
    " Alors mon chéri ? Comment t’as trouvé ?"... dois-je vraiment répondre? Elle a réussi à exciter et à faire jouir un homme jusqu’à lui faire perdre son équilibre… " C’était grandiose, jamais je n’avais ressenti de telles sensations : je suis complétement vide"… "à mon plus grand plaisir" me répond-elle.
    Elle se retourne et adosse sa tête sur ma cuisse, sa joue droite colleé a ma bite detendue mais toujours bien dimensionnée. Complétement allongée sur le dos, ma bite toujours dans sa main elle lance: "Je mouille comme une folle...j'ai envie de me faire jouir. Pour les derniers vaillants, mon corps est à vous: branlez-vous et arrosez moi". Julien, Didier et Thomas, excités par la scène précédente, se présentent la bite bien raide: deux de chaque cotes, le troisième debout entre ses jambes. Moi, à genoux je reste là, sorte d'accoudoir avec main courante, un tête blonde sur la cuisse qui regarde trois males debout, se branlant devant elle. "Allez-y les chéris lâchez tout". De sa main libre, caresse son corps et descend vers son pubis. Elle entreprend des doux massages sur son sexe...féminin et érotique...
    Les trois mecs éjaculent presque en même temps: d'abord Julien situé sur le flanc gauche laisse exploser sa bite et lâche trois traits sur la poitrine et le cou de la cible, Didier sur le flanc droit atteint le haut du torse ainsi que le visage déjà bien dégoulinant de la belle et Thomas entre ses jambes, rajoute une couche sur le ventre et le pubis rasé.
    Ils se secouent encore un peu la bite avant de s’éloigner, Stéphanie n'a pas bougé et a juste poussé quelques gémissements tout en serrant plus fort mon sexe pendant qu'elle sentait son corps se couvrir de sperme tiède....elle a sursauté légèrement et a accompagné les trois mecs dans une jouissance partagée....
    Elle reste là, pâmée, se caresse un peu en nous regardant tour à tour, le sperme et les sucs qui la recouvrent s'écoulent doucement sur les parties de son corps que nous avons tant convoitées, pour former quelques flaques de ci de là sur mon bureau...
    Le spectacle est ravissant de beauté... "Merci les chéris vous avez été formidables". Les gars commencent à rechercher leurs habits épars dans la salle, Stéphanie se relève en s'aidant de ma bite, se retourne vers moi et me murmure: "on se revoit quand tu veux", m'esquisse un sourire, se penche vers la table en en glisse pour en descendre, les yeux dans les miens, dans sa descente lèche goulument quelques flaques sur le bureau, joue avec le sperme qu'elle laisse couler volontairement de ses lèvres, tourne sa langue dans la blanche écume, en avale une grande partie... putain elle m'excite a nouveau... mais mon corps ne suit plus...elle m'a juste donne envie d'y retourner...elle pose un pied au sol, se relève. Cherche sa petite culotte, s'en essuie le visage et se rhabille. Elle nous toise une dernière fois, "je vous garde en souvenir bien humide sous mes vêtements, concevez la vaseline précieusement, sait-on jamais!!", nous fait un clin d'œil, tourne sur ses talons et disparait par là ou elle était entrée.
    Je l'ai entre aperçu dans le couloir un plus tard dans la journée, discutant avec un commercial. Je n'ai pu m'empêcher de ressentir mes testicules frémir et des picotements naitre au niveau de ma bite... nous nous sommes plus ou moins ignorés lorsque nous nous somme croisés, pour éviter tout soupçons sur notre matinée, j'ai juste remarqué quelques mèches de cheveux collées, mon regard furtivement s'est posé sur son chemisier blanc. Lui aussi était orné de ci de là de quelque taches qui rigidifiait certains plis...

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