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Recit de cul : Son grand amour
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14Recit de cul : Son grand amour
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 16/03/2013
Publié le 16/03/2013
Bonjour,
Maman d'une trentaine d'années, j'avais envie de vous raconter mon histoire concernant mon plus grand amour.
Mon plus grand amour, est une histoire d'hier et d'aujourd'hui, qui n'a pas encore de fin mais qui n'est toujours pas le conte de fée que chaque femme attend. Mon fils n'est pas non plus le fruit de cet amour.
J'ai rencontré mon Amour, nous l'appellerons ainsi pour que je puisse vous en parler, au lycée horticole d'Antibes alors que j'avais à peine 17 ans et où j'étais en internat. En ce temps, j'avais un autre copain X, un mec pas vraiment séduisant mais bon, je n'étais pas vraiment amoureuse en fait.
L'internat y était comme tous on se l'imagine, dortoirs de filles séparées des garçons, alignées par travées de 8, douches plus que communes et études.
Je fis justement connaissance avec mon grand Amour en études, où les classes étaient mélangées et lui était assis derrière moi avec quelques uns de ses amis.
Etant varoise, ils ont pris un malin plaisir à me taquiner durant des mois, les varois étant pour eux un peu des paysans, et surtout vis à vis mon copain dont ils ne comprenaient pas ce que je faisais avec lui.
Peu à peu, les délires s'enflamaient, et mon grand Amour me fit de petits présents, des chanterelles qu'il avait ramassé et séché et d'autres petites attentions. Cela devenait fort excitant, et j'avoue que ce bel homme m'émoustillait de plus en plus. En plus, il était vraiment charmant, séduisant, grand et bien bâti.
Un lundi soir, je m'en souviendrai toute ma vie, en plaisantant, mon grand Amour me proposait de quitter l'internat le lendemain soir pour aller passer la soirée et la nuit chez des amis à lui sur Nice. Je suis certaine qu'il ne pensait pas que j'accepterai en me le proposant.
Trop excitée de passer une soirée en sa compagnie et en milieu plus intime, je ne réfléchis pas trop pour ma réponse tellement je me sentais survoltée, et que quelque chose en moi se passait.
Le plus dur fut d'arriver à fermer l'oeil durant la nuit et se concentrer en classe en attendant que ce soit l'heure de décoller.
Le soir venu, ces amis vinrent nous chercher et hop, direction Nice.
J'étais excitée au plus haut point et là, je peux dire que j'étais vraiment aussi amoureuse après ces quelques mois qu'il avait passé à me draguer, je m'en suis rendue compte à ce moment.
Dans la voiture, il rapprocha sa main de la mienne, je frissonnais, puis la glissa sous mon pull en caressant mon dos puis de l'autre me maintena à lui. D'un baiser dans le cou, il fila jusque ma bouche, j'étais toute frémissante. Enfin un long baiser langoureux et suave, mes tétons étaient tendus et je sentais l'humidité s'accroître de plus en plus. Quand il descendit sa main sur mon pantalon il a dû sentir l'humidité sur le tissu, je lui poserai la question tiens!
Ces amis avaient un petit T2 en plein centre de nice juste à côté de la gare. La soirée et le repas, c'était vraiment un moment super sympa et bien arrosé. C'est vrai qu'ils étaient sympas ses amis, deux frères. Ils eurent l'amabilité de dormir tous les deux dans la chambre pour nous laisser tranquiles... quelle nuit!!!
De nouveau, il m'embrassa d'une manière si douce, si passionnelle, si sensuelle, si craquante! Enfin, c'est moi qui craquait surtout. Ses doux baisers sur tout mon corps me faisaient frissonner à chacun d'entre eux. Quand sa main termina de me déshabiller, je chavirai déjà de tout mon être. Quand je sentis ses doigts aller à mon jardin secret, c'est une rivière qui le guidait et chacun de ses gestes continuaient de chavirer mon corps et mon coeur.
D'aussi loin que je me souvienne, c'était la première fois que je passais une nuit aussi extraordinaire, peut-être que c'est pour cela que nous sommes là encore aujourd'hui?
Quand enfin, nos deux corps se sont soudés l'un à l'autre, c'était pour rester ainsi toute la nuit. Un incessant va et vient de plaisir, de sentiments , de chamboulements, de bonheur qui n'avait pas de fin et qui d'ailleurs n'en a toujours pas. J'étais heureuse vraiment pour la première fois et je n'ai jamais regretté.
Avant de rentrer chez moi, je quittai mon copain car cela n'aurait pas été en accord avec mes principes, sans céder à supplications de le garder comme il le faisait depuis plusieurs mois que j'essayais déjà de le quitter.
J'étais la plus heureuse femme du monde.
Ces grands moments de bonheur intense, on les a revécu après de diverses manières originales dues à notre situation à cet âge là........................... et d'autres plus récents mais tout aussi émoustillants. Mais ce sera l'objet d'autres récits car c'est mon grand amour, perdu et retrouvé...
A bientôt!
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Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
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