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Histoire porno : Son patron plus agé, la baise dans la voiture
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40Histoire porno : Son patron plus agé, la baise dans la voiture
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 22/12/2012
Publié le 22/12/2012
Ma première expérience sexuelle avec un homme d'âge mûr remonte à mes dix-huit ans. A cette époque-là, j'étais une simple petite étudiante. Un soir de juillet, un de mes amis m'avait emmenée boire un verre dans un bar. Il connaissait bien le patron et la plupart des clients. Sur le trajet du retour, mon ami me fit une confidence. Le patron lui avait posé un tas de questions sur moi. Il avait voulu savoir si nous étions en couple, quel âge j'avais, ce que je faisais dans la vie. Je me souviens que nous avions bien ri.
Une semaine plus tard, je recevais un coup de fil. Les fêtes de village approchaient, le patron du bar recherchait des extras. Une immense soirée était organisée, il avait besoin de monde. Il avait donc recontacté mon ami pour savoir si le poste m'intéressait. J'étais abasourdie. Je n'avais aucune expérience du métier. Mon ami me rassura, rien de sorcier selon lui. Il me proposa de retourner dans le bar le soir-même afin de discuter avec le patron. Un peu hésitante, j'acceptais finalement.
Mon ami nous laissa seuls avec le patron quelques minutes. J'étais très timide, j'osais à peine soutenir le regard de cet homme qui m'impressionnait. Il avait été très direct. Certes, je n'avais aucune expérience, mais j'avais ce qui, selon lui, comptait le plus, mon physique. Grande, brune aux yeux noirs, le teint doré. "Des proportions parfaites" me dit-il. J'étais flattée mais nerveuse. Qu'attendait-il réellement de moi ? Je ne mit pas longtemps à réfléchir. J'avais besoin d'argent, il payait bien. En plus de mon salaire, tous les pourboires laissés par les clients que je servirai iraient directement dans ma poche. J'acceptais le travail.
Le premier soir fut intense. Les clients affluaient, le bar ne désemplissait pas. Je ne m'étais jamais sentie aussi désirable. Je n'avais eu que compliments et déclarations de la part de la gent masculine. Vers cinq heures du matin, nous fermions enfin le bar. Mon ami étant indisponible, le patron me raccompagnait chez moi en voiture. J'habitais à une vingtaine de kilomètres.
Très vite les choses s'étaient accélérées. Il avait commencé par poser sa main droite sur ma cuisse et m'avait avoué son attirance pour moi. Je n'étais qu'une gamine, et lui un homme de quarante-quatre ans. Mais il ne m'obligeait à rien. Je ne risquais rien avec lui. Je lui plaisait énormément, c'est tout. Sa présence me troublait. J'étais intimidée par cet homme, mais il avait quelque chose. Un regard seulement et nous nous comprîmes. Il gara sa voiture au bord d'un terrain vague.
Son premier baiser fut sauvage. Il mordillait ma lèvre inférieure, cherchait ma langue, la titillait. Une virilité débordante qui prit mon sein gauche à pleine main. Il me répétait qu'il voulait me dévorer. J'innondais ma culotte, il m'excitait follement. Il glissa une de ses mains entre mes cuisses et fit sauter tous les boutons de mon jean. Je me mis à frémir en sentant un de ses doigts entrer en moi... Puis deux, trois... Mon dieu, jusqu'au s'arrêterait-il ? Puis ce fut la main entière, on appel ça un fist je crois. Il me remplissait le bas-ventre. Je gémissais, transpirais.
Il s'arrêta quelques secondes et me fit sortir de la voiture. Il m'allongea sur le capot encore chaud et acheva de me déshabiller. Il ne s'était pas vanté sur la taille de son membre et pourtant ! Moi qui n'avait pas vu grand-chose, je fut impressionnée. Il me rassura. Il serait doux, il ne "passerait" pas en force me dit-il. Mais cela n'avait plus d'importance. Brûlante de désir, je m'offrais à lui. Il me pénétra lentement, soucieux de voir ma réaction. Il était tellement raide, tellement bon... Je gémissais encore, soupirais. J'en voulais plus, et il le comprit. Il s'enfonça en moi entièrement ce qui fit décoller mes hanches du capot.
Quel amant ! Un sexe énorme, des baisers brûlants, des caresses incessantes. Il sentit que j'étais prête à jouir et accéléra de plus belle. Ses testicules claquaient contre moi, le capot de la voiture pliait sous le poids de nos corps et la vitesse des va-et-vient. Il m'avoua qu'il ne tenait plus. Il me fit jouir, hurler et me cambrer avant de se retirer. Il me regarda droit dans les yeux avant d'éjaculer sur mon buste. Il avait ensuite fermé les yeux, et j'avais vu sa mâchoire se crisper. Des jets de sperme à répétition vinrent m'arroser du menton jusqu'au nombril.
Depuis ce jour, je n'ai plus jamais douté des hommes d'âge mûr...
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