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Histoire de sexe : Une coquine comme on les aime

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    Histoire de sexe : Une coquine comme on les aime

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Après avoir parcouru plusieurs textes de ce site, j’ai remarqué que la plupart des femmes se présentent (sauf celle qui veulent rester Anonyme), donc je crois que moi aussi il faut que je me présente avant de vous parler de ce qui m’est arrivé. Je m’appelle Lucie et j’ai fêté mes 19 ans le week-end dernier. Je suis petite et un peu ronde, mais mes kilos en trop sont plutôt bien répartis entre ma poitrine et mes fesses. J’ai des yeux bleus et je suis blonde. Enfaite physiquement je suis une peu le cliché de la blonde à forte poitrine ce qui en général attire les hommes comme des abeilles avec du miel.

    Je pense avoir une vie sexuelle normale pour quelqu’un de mon âge. Je ne couche pas avec n’importe qui, mais je me fais quand même plaisir. Je ne m’engage pas dans des relations sérieuses car j’ai toujours été déçu. S’attacher à quelqu’un ça veut dire se rendre vulnérable et je déteste me sentir fragile. Mes amis elles ne pensent qu’au prince charmant mais je pense qu’il y a un jour où il faut arrêter de rêver.

    Depuis que je suis toute petite, je suis passionnée d’équitation et tous les week-ends je me rends dans un club pour monter à cheval. Je fais un peu comme chez moi là-bas, François (le patron d’une cinquantaine d’année) me laisse monter seul, il m’arrive même parfois d’animer les cours des novices. Etre avec des animaux m’apaisent et je passe le plus de temps possible là-bas. L’autre jour nous avons fait un gala qui a fini très tard et je me suis retrouvée seul dans les écuries avec les chevaux, enfin je croyais que j’étais seule car tout à coup j’ai entendu des bruits de pats. Ça m’a surpris et j’ai même eu un peu peur, mais j’ai été soulagée lorsque j’ai reconnu François. Il avait un peu abusé de la boisson et était plus que joyeux. Ça m’a fait rire de le voir comme ça, lui qui est toujours si sérieux.

    - Et bien t’es courageuse ! M’a-t-il dit.
    - Il faut bien s’occuper de ses grosses bêtes.
    - Ça te va bien cette tenue.
    -
    C’est vrai que j’avais délaissé ma tenue d’équitation pour un petit haut noir et une jupe avec des ballerines. Je n’allais quand même pas assister au gala dans mes bottes en caoutchouc. J’ai remercié François pour ce compliment mais il ne s’est pas arrêté là.

    - Je n’avais jamais remarqué que tu avais de si jolis forme.

    Je suis devenue rouge comme une tomate. Il s’est doucement rapproché de moi.

    - C’est difficile d’y résister.

    Je me sentais toute chose, excitée, terrifiée. L’alcool faisait ressortir une facette de François que je ne connaissais pas. Ses yeux en disaient long, il avait envie de sexe. Il s’est encore rapproché de moi. Il a tendu sa main vers mes seins et a hésité un instant, cherchant mon approbation dans mon regard. J’ai attrapé ses mains et je les ai posées sur ma poitrine. Il a massé mes rondeurs à travers le tissu mais très vite ses doigts ont glissé en dessous de mon haut et de mon soutien-gorge. Tandis que ses doigts ont commencé à pincer mes tétons il m’a lentement poussé vers un box qui était libre. Très vite je me suis retrouvée coincé contre l’une des parois en bois. Il m’a déshabillé, en commençant par le haut d’abord puis en baissant ma jupe. J’étais en sous vêtement dans les écuries et les mains de François exploraient chaque parcelle de mon corps. Il a retiré les derniers morceaux de tissu qui masquaient mes formes. Je le laissais faire… Il a déboutonné son pantalon. Dans ma tête j’ai hurlé un waou. Ce n’était pas la première queue que je voyais mais celle-là était énorme ! Il a redressé mes jambes en me plaquant le dos contre le mur et d’un lent mouvement, il a enfoncé sa bite dans ma petite chatte mouillée. Jamais je ne m’étais sentie aussi remplie. Il a débuté les allées et retours. Je me suis cramponnée à ses épaules pour ne pas glisser. Il est allé de plus en plus vite, je me sentais devenir de plus en plus mouillée. Je criais et je ressentais un plaisir que je n’avais jamais eu avec aucun autre de mes partenaires.

    Mon partenaire s’est retiré de moi et m’a demandé de me retourner. Il a simulé une fouille au corps et m’a écarté grand les cuisses. Je me suis cramponnée au barreau du boxe et il m’a empoigné les hanches. En un seul mouvement, il s’est renfoncé bien au fond de ma chatte. Là, il m’a labouré comme un fou, me dilatant un peu plus le vagin à chaque coup de queue. Il poussait des bruits bestiaux, et je sentais son gland gonfler. Dans un ultime coup de rein, il a éjaculé bien au fond de moi.

    Pendant plusieurs minutes j’ai eu des spasmes de plaisir. François est un peu parti comme un voleur et m’a laissé nue dans le box. Le lendemain lorsque je suis retournée au club il m’a évité. Je pense qu’il avait un peu honte d’avoir laissé parler ses désirs.

    C’était la première fois que je couchais avec un mec aussi vieux, mais franchement c’était…. Bon !

    Là ou je suis très surprise de moi et qui dégoutera peux-être certains mecs, c'est que depuis que je me suis fait prendre devant les chevaux, je fantasme beaucoup en imaginant que le cheval participe et que on m'oblige à me faire baiser par le cheval...

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Les coquins :
Il n'était pas si vieux que ça, je te conseille les sexagénaires et les septuagénaires, ils sont formidables et très "inventifs". Quand au cheval, commence plutôt avec un chien car ils sont aussi les meilleurs "amis" de la femme. Bisous
Posté le par Jhplombier :
Coucou Lucie,
Je dois dire que ton histoire m'a beaucoup plu.
Ne t'inquiètes pas pour la fin moi l'idée d'obliger une jeune femme comme toi à soulager un bel étalon me plait beaucoup.
Bises
Boris
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