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Histoire de sexe : Une fausse ingénue
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14Histoire de sexe : Une fausse ingénue
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 10/09/2015
Publié le 10/09/2015
J'avais décidé de reprendre l'entrainement sérieusement. Trop éloigné d'une piscine olympique, je décidai de profiter du "grand bassin" de ma belle sœur Laura. Ce n'était pas l'idéal pour de grandes longueurs, mais c'était mieux que rien, surtout si l'on considérait la proximité.
Je m'y rendais ordinairement très tôt la matin, mais ce jour là, j'avais changé mes habitudes et j'arrivais chez ma belle sœur en début d'après-midi. Elle sirotait son café au bord de l'eau, allongée sur un relax, à l'ombre d'un parasol. Les rayons du soleil de juillet parvenaient tout de même à caresser l'étoffe de son maillot une pièce. Portant ma tasse à mes lèvres, je la regardais attentivement. Elle était encore belle femme en dépit de ses soixante huit ans. J'essayais d'échanger quelques mots, mais je m'aperçus qu'elle était assoupie et n'insistai pas. Je m'approchai du bassin, prêt à entrer dans l'eau lorsqu'une idée folle m'envahit la tête : j'avais envie de ma baigner nu et je crois que la présence de ma belle sœur n'y était pas étrangère. J'avais toujours eu envie, secrètement, de la provoquer. Elle se montrait tellement pudique, tellement "coincée" que ça m'agaçait. Cela m'énervait d'autant plus que je ne parvenais pas à savoir si son attitude était naturelle ou forcée. Oserais-je aujourd'hui, provoquer la réponse ?
Je m'assis au bord de l'eau, les pieds baignant, pour réfléchir. Soudain, après un dernier regard vers ma belle-sœur, je me levai, retirai mon slip de bain et plongeai. J'effectuai une première longueur sans arrière pensée, tout au bonheur de glisser dans l'eau tiède. Au second passage, arrivé à portée de sa vue, je me retournai et nageai en dos crawlé. Je tournai la tête. Les lunettes de Laura étaient maintenant sur son front. M'avait-elle regardé ? Avait elle vu que j'étais nu ? Difficile de savoir, d'autant qu'elle semblait toujours dormir. c'était agaçant de ne pas savoir. Je décidai donc d'écourter mon entrainement et je sortis de l'eau à moins de cinq mètres d'elle. Je saisis ma serviette puis jetai un rapide coup d’œil : Laura me regardait. Surpris, je fus quelques secondes décontenancé jusqu'à ce qu'elle déclare :
"tu as une belle queue mon cher beau frère"
Le diable aurait-il pris possession de Laura la puritaine? je balbutiais un
"merci"
puis je me séchai. Je passais la serviette autour de mes hanches pour l'attacher lorsque
"non, enlève ta serviette je veux que tu restes à poil"
C'est certain, ma belle sœur était maintenant possédée. Je m'allongeai donc nu sur le relax à un mètre d'elle. Je fermai les yeux. Soudain je sentis mon sexe se dresser. Je tentai de me tourner légèrement pour dissimuler mon état
"non, reste sur le dos"
Je voulais savoir si ma belle sœur était vraiment "coincée" ? Et bien me voilà renseigné... Non seulement elle était comment dirai-je ? Coquine, mais elle me donnait des ordres auxquels je ne souhaitais pas m'opposer. Ainsi restai-je Je sur le dos, bandant comme un jeune étalon.
"Tu sais, ça doit bien faire dix ans que je n'ai pas vu un homme à poil. J'avais oublié que ça pouvait être si agréable. Surtout quand l'homme a une si belle érection."
Les propos de Laura m'allèrent droit... au bas ventre
"Tu veux bien te caresser?"
Je fus surpris par la demande
"Ça te gène?
- heu... non
- remarque, je peux comprendre que tu ne veuilles pas faire ça devant une vieille femme comme moi. C'est déjà gentil de m'avoir montré ta queue
- je ne te trouve pas vieille"
Elle me sourit
"Ce n'est pas grave si tu ne veux pas."
Sur ces mots elle se rallongea.
J'attendis quelques instants puis, presque machinalement, ma main vint se poser sur mon sexe et je décalottais doucement le gland. Je vis aussitôt ma belle sœur se redresser. Je fis lentement coulisser le fourreau le long de ma verge, plusieurs fois. Je vis bientôt Laura s'approcher en tirant son relax. Elle posa ses mains sur mes chevilles puis elle me remonta les jambes en me pliant les genoux, et poussa vers l'extérieur de façon à bien m'écarter les cuisses.
"Je voyais pas très bien tes couilles."
Elle avança la main et me palpa les bourses consciencieusement.
"Elles ont l'air bien pleines. Ça fait longtemps que t'as pas éjaculé ?"
Ce n'est pas possible, ce n'est pas Laura qui parle. Ce n'est pas la femme coincée que je connais. Sors de ce corps Belzébuth !
Laura ou pas Laura, les paroles prononcées m'excitaient terriblement et je commençais à me masturber frénétiquement.
"Doucement, doucement."
Ma belle sœur me saisit le poignet pour m'arrêter. Je me calmais et reposa le bras le long du corps. Laura me saisit la queue de la main gauche et commença un lent va et vient tandis que son autre main jouait toujours avec mes boules
"Tu bandes bien. André n'avait pas la queue aussi dure. Elle n'était pas aussi grosse non plus."
Ces confidences renforcèrent mon orgueil machiste.
"Tu sais quoi ?
- heu..non?
- j'ai envie de la sucer
- ne te gènes pas pour moi."
Nous éclatâmes de rire. Je sentis la bouche chaude de Laura se refermer autour de mon membre. Elle me lécha délicieusement le gland puis enfonça profondément ma queue qui disparut presque entièrement. Je n'en croyais pas mes yeux. Elle me faisait une "gorge profonde". Ce n'est pas possible, ce n'est pas ma belle sœur ! Ce doute ne m'empêcha pourtant pas de profiter intensément de la caresse. Elle commençait à me pomper en variant sadiquement le rythme. Soudain je sentis un doigt forcer l'entrée de mon anus. Je ne résistai pas, et Laura enfonça son doigt profondément puis appuya légèrement vers le haut pour stimuler la prostate. La fellation alliée au mouvement de son doigt me procura une sensation délicieuse. C'était une première pour moi. Je ne résistai pas longtemps et je déchargeai dans la bouche de ma belle sœur. Elle avala tout puis me nettoya d'un coup de langue. Elle retira doucement son doigt puis palpa mes boules.
"Ça y est elles sont vides."
Je ne répondis pas et Laura se rallongea sur son relax. Nous restâmes peut être dix minutes silencieux puis elle rompit le charme.
"J'ai beaucoup aimé te sucer
- J'ai aimé aussi
- Vraiment ? Tu ne m'as pas trouvé trop maladroite ? Ça faisait plus de dix ans que je ne l'avais pas fait
- C'était parfait
- Tu sais, tu peux me dire la vérité, je ne me vexerai pas
- Tu veux la vérité?
- Oui
- La vérité c'est que tu fais de meilleures pipes que ta sœur"
Elle ne répondit pas mais je vis un grand sourire apparaître sur ses lèvres
"Vous baisez souvent ?
- Une fois par mois en moyenne
- C'est tout ? Tu as pourtant l'air d'avoir de gros besoins si j'en juge par ton état".
La discussion inattendue venait en effet de me redonner de la vigueur et je bandais à nouveau comme un taureau.
"Ça te dérange si je te regarde ? La taille de ta queue me fascine."
Mutin, je changeai légèrement de position et pris la pose qu'elle semblait affectionner, c'est à dire genoux repliés et écartés
"Merci."
Je restai ainsi de longues minutes, étonné de maintenir mon érection intacte. Je fermai les yeux pour laisser la tension retomber lorsque :
"Tu as envie de me baiser ?"
Bien qu'ayant parfaitement compris la question je fus si surpris que je laissai échapper un
"Pardon ?
- Est-ce que tu aimerais me baiser?
- Heu...
- Tu me trouves trop vieille ? c'est ça ?
- Non, non pas du tout"
Soudain elle se leva et fit glisser les bretelles de son maillot laissant apparaître une poitrine généreuse et encore bien plantée. La vue de ses seins renforça mon érection. Laura était maintenant toute nue, et je la trouvais attirante.
"Prends-moi"
Je la vis se mettre à quatre pattes sur les margelles et je m'approchai. Passant la main sur sa chatte, je sentis qu'elle était toute mouillée de désir. Je la pénétrais sans difficulté et je la limais consciencieusement. Sa respiration devenait haletante et elle laissait échapper de petit cris. J'étais décidé à prendre mon temps pour la faire jouir lorsque
"J'ai envie que tu m'encules Roland !"
Pouvais-je rester insensible à une telle demande ? Je n'en eu pas le cœur et j'abandonnai la délicieuse chatte de ma belle sœur pour m'enfoncer un peu brutalement dans ses fesses
"Oh oui, encules moi fort, encules moi fort mon Roland"
J'étais tellement excité par ses propos que j'ai "pété les plombs"
"Tu aimes ça hein, ma salope
- Oh oui, ça fait si longtemps que j'ai envie de ta queue mon Roland. Défonce moi, défonce moi, je veux devenir ta salope !"
Au secours cette femme devient folle.
Folle ou pas ce fut un plaisir de jouir en elle .
Je n'eu pas l'envie de reprendre l'entrainement, et nous restâmes, jusque tard dans l'après midi, nus, côte à côte... et silencieux.
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