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Recit de cul : Une semaine bien cochonne, la suite ! (Partie 2/2)

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Télephone rose récits érotiques
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    Recit de cul : Une semaine bien cochonne, la suite ! (Partie 2/2)

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le


    Re-bonjour les coquines et les coquins !
    Comme promis, je reviens ici pour vous raconter la fin de ma semaine magique de baise non-stop avec mon chéri.

    Alors, où en étais-je ? Ah, oui ! Au bout de quatre jours à baiser dans tous les coins avec Julien, le
    petit chalet que nous avions loué commençait à sérieusement sentir le cul. Mais le plus excitant,
    c’était incontestablement l’odeur qui se dégageait de nos deux sexes. Vous vous rappelez, Julien et
    moi avions décidé de ne pas nous laver de toute la semaine et de rester à poil, confinés H24 dans la
    bonne chaleur du chalet ?
    Rendu fou au bout de quelques jours par la bonne odeur de ma chatte maculée de mouille et de
    sperme, mon chéri s’est jeté à mes pieds en me suppliant de le laisser me lécher. Et c’est donc là,
    précisément, que je vous avais quitté la dernière fois. Allez, je continue :

    À ce moment-là, les yeux de Julien, rendus fous de désir, son visage rouge d’émotion, tout ça a fait
    naître en moi un comportement de vraie salope. Jamais je ne me serais crue capable de prononcer
    un jour les mots qui ont suivi. En le regardant bien dans les yeux, tout en écartant bien les cuisses et
    en jouant avec ma chatte, je lui ai déclaré : « Bien sûr que tu vas lécher ma petite chatte, mon chéri,
    mais avant on va jouer un peu. Ou plutôt, je vais jouer un peu avec toi. On est vendredi midi. Tu ne
    me lécheras pas avant dimanche, à midi pile. Et si tu veux mériter ta petite friandise, tu vas devoir
    être bien sage. Ce qui veut dire concrètement qu’à partir de cet instant précis et jusqu’à dimanche
    midi, interdiction pour toi de juter ! Ça sera difficile, mon amour, car je vais veiller, durant deux
    jours, à ce que ta bite reste toujours raide, toujours à deux doigts de cracher son jus. Je vais te
    branler du matin au soir, je vais te mettre en permanence ma petite chatte sous le nez, pour que tu la
    respires bien comme il faut et pour que tu restes toujours bien excité. Mais si tu jouis, je te préviens,
    j’irai prendre directement une douche et on finira le séjour à mater des DVD, bien sagement. Je n’ai
    pas envie de ça, et toi non plus... alors, pour commencer, tu vas aller chercher un gros concombre
    dans le frigo. Tu vas le laver soigneusement et tu vas aller t’allonger avec, sur le lit. »

    Mes mots l’avaient tellement sonné que Julien a mis un petit moment avant d’exécuter mon ordre.
    Par contre, une fois mis en branle (si j’ose dire), il ne lui a pas fallu plus de trente secondes avant de
    se retrouver sur le lit avec le concombre à la main.

    Je l’ai rejoint et, après avoir couvert son torse de baisers brûlants, j’ai été m’accroupir juste au-
    dessus de son visage, à seulement deux centimètres. Là, d’une voix haletante, je lui ai dit : « Si tu
    me lèches, on arrête aussitôt ! Branle-toi et on arrête ! Jouis et on arrête, compris ? Bien, maintenant
    prends le concombre et pointe-le vers le haut, juste au-dessus de ton visage. Tu vas me regarder
    m’empaler dessus en imaginant que c’est ta bite. Tu vas bien regarder ma chatte qui l’avale et qui
    laisse son jus dessus. »

    Putain ce que c’était bon ! Jamais de ma vie je ne m’étais sentie aussi salope ! Tandis que ma chatte
    montait et descendait sur le concombre, le pauvre Julien faisait des mouvements de va et viens avec
    son bassin, en suivant le rythme. J’imagine à quel point ça devait être humiliant pour lui.
    Humiliant... et délicieux, si j’en crois l’éclat spécial qu’avait alors son regard.

    Je suis monté d’un cran dans mon petit jeu de domination. Tout en gémissant, au bord de l’orgasme,
    je lui ai déclaré : « Mon chéri, si tu savais... si tu savais à quel point ce concombre est bien meilleur
    que ta queue ! Si tu savais comme il est bien raide, comme il me rempli bien ». Bref, la salope ultime ! J’ai joui avant même de terminer ma phrase. Mon jus intime a coulé le long du concombre
    jusque sur les lèvres de mon chéri. Il s’est empressé de passer sa langue dessus.
    En riant, j’ai donné une caresse légère sur sa queue. Je savais qu’il était au bord de la jouissance. Ça
    me plaisait énormément de le narguer après toute l’excitation que je lui avais prodiguée.

    Le soir, j’ai coupé le concombre en rondelles et, avec, j’ai concocté une petite salade que j’ai
    ensuite fait manger à Julien. Pendant qu’il mangeait le légume qui m’avait si bien fait jouir, je le
    branlais doucement en prenant bien soin de stopper ma main à chaque fois qu’il était sur le point de
    juter.
    Figurez-vous que le spectacle de mon chéri en train de manger ce concombre si spécial m’a donné
    une idée encore plus cochonne. J’ai réfléchi à mon plan durant toute la journée du samedi et ce n’est
    que le soir, après avoir passé la journée à exciter Julien et à le branler, que j’ai mis mon plan à
    exécution.

    La station dans laquelle nous avions loué le chalet était plutôt bourgeoise. Au début de la semaine,
    tandis que la voiture nous emmenait vers notre refuge coquin, j’avais repéré un restaurant de sushis
    à emporter.

    Le samedi soir, donc, j’ai cherché leur numéro sur internet grâce à mon portable et je leur ai
    commandé une grande boîte de sushis pour deux. J’ai réglé la note directement par téléphone et j’ai
    précisé que le livreur devait frapper à la porte du chalet, puis laisser la boîte sur le seuil. Je me
    doutais bien que le gars au bout du fil allait trouver ça étrange et qu’il allait soupçonner la raison
    pour laquelle nous ne voulions pas ouvrir au livreur mais, pour être franche, ça m’excitait qu’il le
    devine.

    Tout s’est déroulé comme prévu : le livreur a frappé à la porte et quand je suis allé ouvrir au bout de
    cinq minutes, la boîte était bien là.
    Je me suis assise sur le fauteuil du salon, cuisses écartées, et j’ai ordonné à Julien de s’agenouiller
    devant moi.
    En m’aidant des baguettes qui avaient été livrées avec, j’attrapais les sushis un à un et je les passais
    longuement sur ma petite fente humide. Ensuite, quand ils étaient bien maculés de mouille, je les
    enfournais dans la bouche de Julien. Je peux vous affirmer sans me tromper que jamais mon chéri
    n’avait mangé un repas aussi délicieux !

    Ensuite, toujours à poil, nous nous sommes allongés sur le tapis du salon et on a maté un DVD.
    Pendant tout le temps du film, je n’ai pas cessé de branler Julien et de lui caresser les couilles. À
    chaque fois qu’il était prêt à juter, je retirais ma main en riant.

    Le lendemain matin, à mon réveil, j’ai trouvé mon chéri en transe. Apparemment, il n’avait pas
    beaucoup dormi. La queue raide, il fixait ma petite chatte. Je pense qu’il n’avait alors qu’une seule
    idée en tête : qu’arrive midi pour que je l’autorise enfin à se jeter sur mon sexe odorant et à le lécher
    sans retenue.

    En bonne salope, j’ai tout de suite recommencé à le branler doucement. Le pauvre, il n’en pouvait
    plus ! Moi, de la voir comme ça, ça me faisait mouiller comme une folle. À peine une minute que
    j’étais réveillée et j’avais déjà l’intérieur des cuisses tout trempé.
    Je l’ai branlé pendant deux bonnes heures, tout en lui chuchotant tout bas des trucs bien cochons.
    À midi moins cinq, je l’ai fait s’allonger sur le dos et je suis venue m’agenouiller au-dessus de son
    visage. À 11 h 59, j’ai commencé à compter à rebours.

    Puis, à midi pile, je me suis assise sur son visage. Ma petite chatte, maculée de sperme et de mouille
    depuis le début de la semaine, est venue s’écraser sur la bouche de Julien. Il m’a littéralement
    dévorée ! Sa langue chaude s’est activée à toute vitesse dans tous les replis de mon sexe trempé. Il ya mis tellement de cœur que j’ai joui quasiment aussitôt ! Je suis restée assise sur son visage et j’ai
    donné une petite tape sur sa bite. Il était tellement excité que ça a suffi pour faire jaillir d’un coup
    un impressionnant flot de sperme. En riant, j’ai laissé ses couilles se vider comme ça.

    Après ça, mon chéri est venu m’enlacer et m’a embrassé tendrement tout en me disant avec une
    lueur d’admiration dans le regard que jamais encore il n’avait croisé une femme aussi salope que
    moi.

    La douche que nous avons prise ensuite nous a paru exquise. C’est avec plaisir que je me suis
    parfumée et que j’ai mis des vêtements propres.
    En revanche, nous avons essayé par tous les moyens de faire partir l’odeur de baise qui régnait dans
    le petit chalet. On a aéré pendant des heures, rien à faire. Je pense que les prochains occupants
    devront faire avec... Oups !

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Lucy Gloss

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