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Histoire de sexe : Violée et sodomisée pour la première fois
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45Histoire de sexe : Violée et sodomisée pour la première fois
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/02/2022
Publié le 17/02/2022
Bonjour à tous.
Je m’appelle Lucie et j’ai 26 ans. C’est ma première histoire que j'écris pour vous raconter une aventure sexuelle qui s'est déroulée il y a 5 ans. J'avais 21 ans et j'étais employée dans un salon de coiffure. J'étais en couple avec un mec incroyable (et je le suis toujours) qui bosse dans l’aéronautique : question argent, on était plutôt bien grâce à lui. Je travaillais plus par plaisir que pour les revenus. Malheureusement, s’il y a une chose ou Romain n’est pas au top, c’est le sexe.
En effet, on n’avait pas forcement le temps et il ne me satisfaisait pas assez avec ses 16cm (aujourd’hui je suis en congé maternité donc je ne travaille plus et on a plus le temps pour baiser. Question taille de pénis, avec quelques produits…). Donc ce jour-là j’étais au salon toute seule car ma patronne était malade et ma collègue en vacances. Notre salon n’est pas très réputé et nous n’avions que 10 ou 11 clients par jour. C 'était le dernier client avant la fermeture. C’était un mec musclé qui était très beau gosse, la vingtaine.
Au moment de l’accueillir, je remarque son discret coup d’œil vers ma poitrine et mon beau décolleté. Il faut dire que je suis plutôt bien formée et j’avais de quoi attirer les regards de certaines personnes. Je fais le shampooing puis je vais l’installer sur un fauteuil. Une fois encore je le surprends en train de regarder mon décolleté dans le miroir. Soudain, en voyant que je le regarde, il rougit et s’excuse :" pa-pardon je-je ne sait pas ce qui m’a pris". Je lui dis que ça peut arriver et je commence à lui faire sa coiffure. Au fur et à mesure, je remarque qu’il se met à l’aise et commence à reculer sa tête presque jusqu’à la coller contre ma poitrine !
Surprise, je recule gênée mais ne dis rien. Il comprend et cette fois se lève pour me demander s’il est trop collant et dans ce cas-là s’il doit sortir du salon. Je lui dis que ça ira et je commence doucement à approcher mes lèvres des siennes. Il me presse contre lui et m’embrasse fougueusement comme s’il voulait manger mes lèvres. Nos langues se croisent et se décroisent pendant qu’il descend ses mains sur mes fesses. Je l’entraîne alors dans l’arrière-boutique et commence à lui enlever son tee-shirt. On se déshabille alors jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus que son boxer et moi mon string et mon soutif.
Il descend ensuite sa bouche pour pouvoir embrasser et mordiller mes tétons un par un. Je vois son boxer grandir de plus en plus jusqu’à ce qu’il sorte son engin : un pénis d’au moins 22 ou 23cm. Je commence alors à douter et à me demander si c’est vraiment ce que je veux. Je demande alors à cet inconnu si on ne ferait pas mieux de s’arrêter là car j’avais un petit ami et je ne voulais pas d’histoire. Mais je ne pouvais l’arrêter et il me plaquait contre le mur en malaxant mes seins puis me retourna. Il me dit alors de rester ici et alla chercher quelque chose dans son sac.
Je ne le voyais plus et je lâchais un petit cri de surprise quand je me rendis compte de ce qu’il avait dans les mains : un bâillon, une corde et un bandeau. Alors je refusais fermement en disant que ce n’était pas cela que je voulais car je n’étais pas une soumise. Je ne sais pas dans quelle galère je m’étais mise. Il était inarrêtable et me gifla en disant :" Tu vas voir si t’es pas une soumise petite salope". J’ai essayé de me débattre mais cet homme était beaucoup plus fort que moi et me maintenait facilement contre le mur.
Il me ligota alors les poignets et les pieds puis me mis un bâillon et je compris que cette fois, toute nue, j’étais offerte à lui et qu’il pourrait faire autant de chose qu’il voulait sur moi. J’avais honte de moi-même en me demandant pourquoi j’avais cédé à son charme. Il me mit le bandeau et là pire que tout, je ne voyais même plus ce qu’il allait me faire. Il commença à me fouetter derrière le dos, les fesses, et je retenais mes larmes. Après une petite pause ou je ne comprenais pas ce qu’il se passait, je sentis sa langue venir titiller mon clitoris. Je lâchais un cri de jouissance, sans doute satisfaite de lui, il me rentra un doigt puis un deuxième, jusqu’à enfoncer son poing entier dans ma chatte, je criais et il me dit :
« Tu vois grosse pute tu prends du plaisir hein tu prends tu plaisir. Tu veux peut-être qu’on passe à l'étape supérieure non ? » Derrière mon bâillon je gémissais car je ne pouvais lui dire que c’était un gros pervers. Je me suis mise alors à pleurer en pensant au futur et si je tombais enceinte et que Romain ne soit pas le père. Il m'enfonça alors petit à petit son pieu. Je pleurais, mais il s’en fichait, il rigolait en disant des obscénités toutes plus odieuses les unes que les autres...
J’étais à bout quand, après quelques va et vient et s’être vidé les couilles dans ma chatte, je me suis imaginée que c’était fini, qu’il allait me détacher et qu’on allait rentrer chez soi chacun de son côté mais je me suis rendu compte qu’il en était loin d’avoir fini. Au moment où je pris conscience qu’il allait me sodomiser, j’étais terrifiée. Jamais mon chéri ne m’avait pénétrée par ce côté-là. J’essayais alors de me défaire des liens mais rien à faire.
Il me fit un mal de chien que je n’ai pas arrêter de ressentir une semaine après. Enfin il me détacha, mais il voulait profiter un maximum de moi et de mon corps alors il me fit ouvrir grand la bouche, je n’avais plus aucune force et je le laissais faire. Il finit par éjaculer dans ma bouche et je dû avaler tout le sperme. Il me dit ensuite : « Tu vois ce n’est pas si compliqué grosse pute. » Et là je remarquais une caméra pose sur une des armoires. En voyant ma réaction il fit un sourire et s’exclama « ah oui ça je vais me faire un plaisir à me branler dessus. Imagine bien aussi que la moindre parole sur ce qui vient de se passer et pouf tout tes proches sont au courant. Ce serait bête non ? » Avant de sortir du magasin il m’embrassa une dernière fois. Il n’y eu aucune conséquence a cette journée là et même aujourd’hui Romain n’est pas au courant.
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