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Histoire erotique : A l usine, nue sous sa blouse en nylon
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17Histoire erotique : A l usine, nue sous sa blouse en nylon
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 04/09/2015
Publié le 04/09/2015
Salut, je suis Lori 35 ans,brune aux cheveux court 1 mètre 67 60 kg et un tour de poitrine de 95c. J’adore le sexe et je n’ai pas honte de l’avouer, je suis très gourmande et très exhibitionniste, j’aime me montrer allumer et passer a l’acte, je suis toujours assez provocante dans ma façon d’être et dans mes tenues, mais depuis l’été dernier j’ai gravi un échelon de plus dans l’exhibition grâce a mon mari, nous sommes un couple très complice et très libertin, je suis ouvrière dans une petite usine près de chez moi, et tout les matins c’est le même rituel, après mon petit déjeuner et ma douche je m’habille puis je choisie une blouse de travail dans mon armoire, puis je l’enfile, je met un gilet ou un blouson par dessus puis je part travailler, je suis a 10 minutes a pied de l’usine.
Mais un matin de l’été dernier alors que j’allais enfiler ma blouse, mon mari me stoppa, puis il me dit de me mettre entièrement nue, je le regardait avec étonnement puis je m’exécutait pensant qu’il avait envie de me faire l’amour avant de travailler, une fois nue il me tendit ma blouse de travail en me disant "à partir d’aujourd’hui tu travaillera a poil sous tes blouses!", si tu veux lui dit je, je n’y avait jamais pensée, alors je mis ma blouse directement sur ma peau nue, sans aucun autre vêtement ni dessous, c’est très agréable de sentir le nylon frais de la blouse sur ma peau. La blouse est bleue marine, a manches longues, elle m’arrive presque aux genoux, elle est entièrement boutonnée dans le dos par 5 boutons, devant il y a 2 poches, il n’y a pas de col, le nylon est très fin et très léger.
Donc après avoir mis ma blouse j’allais enfiler un petit gilet quand mon mari m’arrêta une fois de plus, il me dit non! tu vas au boulot sans rien d’autre que ta blouse, je me demandais dans quelle aventure j’allais me fourrer, dans la rue et dans l’usine a poil sous ma blouse en nylon, avec mes collègues qui me font du rentre dedans en temps normal, comment cela allait t il se finir, mais qu'à cela ne tienne j’avais envie de franchir le pas, j’étais déjà très excitée et je dit a mon mari "je te préviens que si certain le remarque au boulot, je risque de passer a la casserole", il me répondit que ce n’était pas un problème et que si l’aventure me tentait j’avais juste a écarter les cuisses, nous avons déjà eu des aventures extraconjugales mais à mon boulot j’ai toujours évité, malgré que j’en avais l’envie.
Mon mari me pris dans ses bras, nous nous sommes enlacés en nous embrassant fougueusement, il me caressait par dessus ma blouse puis il glissa une main dessous et la plaqua contre ma chatte déjà trempée, j’avais très envie de me faire défoncée par une bite bien dure, puis je sentit son doigt triturer mon clito puis ce doigt pénétra dans mon vagin, j’étais adossée au mur les cuisses écartées en train de me faire masturber, je lui demandait de me baiser, l’orgasme montait en moi puis il éclatât, je demandait a mon mari de sortir sa bite et de me la mettre mais il me dit "non tu vas être en retard au boulot", j’étais déçue mais tant pis il fallait que j’aille bosser, avec cette envie qui me tenaillait dans le bas ventre, je suis sortie de la maison je marchais dans la rue a poil sous ma blouse de nylon, cela m’excitait de plus en plus, j’avais la sensation d’être nue dans la rue, mes seins pointaient sous le fin nylon ils ballottaient librement au rythme de mes pas, mes mamelons frottaient le nylon et cela m’excitait au plus haut point, la blouse caressait mon corps qui était devenue électrique, dans mon dos je sentait les pans de la boutonnière s’écarter, laissant entrevoir mon cul nu, j’étais dans un tel état que je m’en foutait, c’était la plus belle expérience d’exhibition de toute ma vie, et ce n’était pas fini, je me disais maintenant c’est claire, je vais travailler toujours à poil sous mes blouses, c’est trop érotique et trop excitant.
Arrivée a l’usine je redoutait le regard de mes collègues, j’avais du mal a me concentrer sur mon travail, à la pause j’ai été me soulager aux toilettes en me masturbant, je n’avait jamais connu un tel état d’excitation, tout ça a cause d’une simple blouse en nylon, malgré ça, j’avais toujours une envie, l’envie d’un sexe d’homme me défonçant la chatte.
Puis je repris mon poste de travail, un quart d’heure plus tard un collègue m’interpella, il me dit textuellement : "Lori tu est une vrai salope dit donc ! tu n’as rien sous ta blouse", je sait qu’il ne disais pas ça méchamment mais qu’il s’en était aperçu, alors je lui ai répondu, oui je suis nue sous ma blouse, j’aime être nue sous mes blouses et alors ça te gène ? Non me répondit t il au contraire mais tu est une allumeuse, quand tu te penche je voit ton cul ! Et alors il te plait mon cul ? Ho oui, il me plait ton petit cul, mais t’est une sacrée garce quand même et t’as pas froid aux yeux ma cochonne ! Puis comme il me plait assez je lui dit directement : t’as envie de me baiser ? Il me répondit MMmmm ça oui j’aimerais te baiser, serait-ce une proposition, me dit il tout en passant une main dans mon dos dans l’entrebâillement de la boutonnière de ma blouse et il commence a me caresser les fesses, alors je lui dit "baise moi Patrice, baise moi" alors nous sommes allés aux wc, nous nous sommes enfermés puis il retroussa ma blouse par dessus mes seins, bon sang dit il, depuis le temps que j’en rêvait, je pris sa tête et l’attirât sur mes seins, il me suça les pointes, puis il me fit asseoir sur la cuvette des wc, et il plongea sa tête entre mes cuisses pour me bouffer la chatte, il suçait mon clito et le mordillait, je devenait folle, sa langue parcourait mon sillon et entrait dans ma chatte en feu, pendant ce temps ma blouse était retombée sur mes seins et je me pinçait les pointes avec le nylon, je commençait a jouir, j’avais du mal a étouffer mes gémissements de plaisir, d’une main je plaquait sa tête très fort contre ma chatte tout en lui disant: oui ouiii mange moi, mange moiiii, bouffe moi la chatte vas y bouffe moiiii, puis j’ai eue un orgasme très violent, je n’ai pas pu me retenir de crier, heureusement que personne n’était aux alentours, car je respirait très fort je secouait ma tête dans tous les sens et je criait : "ouiiii mange moiiii, avale moiiii! avaaale moiiiii ouiiii avale moiiii, je t’en priiiiie, avaaaale ouiiii avaaale moiiiii", puis je le regarde droit dans les yeux et je lui dit : "sort ta bite! sort ta biiiite! sort la vas y! j’veux ta biiite!". Il baissa son pantalon et son sexe apparu devant mes yeux, ce n’était pas un sexe hors normes mais ce n’est pas grave, il fera très bien l’affaire, il est dressé et bien dur, sans hésiter je le prend de ma main et je le masturbe rapidement un instant, Patrice prend son pied, il ferme les yeux et met sa tête en arrière, pour ma part d’une main je me caresse un seins en faisant crisser le nylon de ma blouse et de l’autre je masturbe son sexe, puis j’approche ma bouche, je l’ouvre et engloutie ce sexe, je le suce puissamment, Patrice a des spasmes et gémi de plus en plus fort, puis au bout d’un moment je lui dit : "baise moi, vas y baise moi, met moi ta bite !" alors il m’attrape par les hanches, j’écarte les cuisses en grand, il me soulève et m’attire vers sa verge dressée, je la prend d’une main et la guide moi même vers l’entrée de ma chatte, je la sent bien , "enfonnnnce" lui dit je, sans problèmes sa bite rentre en moi, et il commence ces va et viens, je n’en reviens pas moi Solange Lori, je suis a l’usine, avec ma blouse en nylon pour seul vêtement, en train de me faire sauter dans les chiottes, en pensant a ça sa me rend folle, je me fou de tout ce qui peut ce passer autour de nous, je joui, et je joui très fort, au rythme de ses coups de reins mes seins tressautes, les pointes me brûles a force de frotter contre le nylon de ma belle petite blouse, j’adore cette sensation, puis je sent ses mains dans mon dos, il essaye de déboutonner ma blouse, puis un a un les boutons sont défais, ma blouse est ouverte en grand sur ma nudité dans mon dos, Patrice me dit : "Solange, qu’est ce que t’es bonne, hoooo, enlève ta blouse, enlève ta blouse je te veux nue!" alors tout en me faisant limer je fis glisser ma blouse sur mes avants bras, je restait tel quel un instant, puis il pris ma blouse et me l’arracha, j’étais maintenant entièrement nue a part mes petites chaussures a talon, en train de me faire baiser dans les wc, ma blouse gisait au sol, et je jouissait de plus en plus fort, "défonce moi", au bout d’un court moment je sentit sa semence se répandre en moi, nous avons pris notre pied ensemble, il ressorti son sexe de ma chatte, son sperme coulait le long de mes cuisse, et je n’avait rien a me mettre a part ma blouse en nylon bleu, d’ailleurs je lui ai demandé de me la remettre, il l’a ramassa et me la présenta en me disant: "si madame Lori veut bien remettre sa belle blouse !" je lui répondit : "oui, enblousez moi Mr Patrice, mettez moi ma belle blouse" puis je lui ai tourné le dos pour qu’il me boutonne en lui disant: "tu me boutonne ma blouse s’il te plait! tu sait! a partir d’aujourd’hui, je travaillerais toujours a poil sous mes blouses! je serais toujours dispo pour un coup de bite, sauf si problèmes de femmes évidemment!", "pas de problème" me dit il.
Nous sommes retournés travailler, j’allais beaucoup mieux mais je sentait le sperme coulant de ma chatte le long de mes cuisses, pour exciter Patrice qui passait me voir de temps en temps, si personne n’était dans les parages je retroussait ma blouse et j’essuyais mes cuisses avec mes doigts puis je les portaient dans ma bouche puis je suçait et avalait son sperme, puis je retroussait a nouveau ma blouse, et me doigtais devant lui un court instant en le fixant droit dans les yeux, puis je ressortais mon doigt de ma chatte et je le suçait lentement, il devenait fou et me disait : Lori c’est pas possible ! T’es une salope de première, et moi tout en suçant mon doigt je lui souriais en faisant oui de la tête ...
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