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Recit porno : Cougar vraiment salope

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Télephone rose récits érotiques
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    Recit porno : Cougar vraiment salope

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonsoir,

    Vous devez vous souvenir de moi. Je vous avais écrit pour vous raconter comment j’avais découvert que j’étais ce qu’on appelle une femme couguar, une nuit, en me retrouvant avec un ami de mon fils sortant de la piscine, nu comme un ver.

    Depuis, je suis comme obsédée par les très jeunes hommes et là, j’ai besoin de confier certaines choses...

    Les gens qui me lisent vont peut-être être choqués mais j’ai de plus en plus besoin de provoquer tous les jeunes hommes timides ou inexpérimentés que je rencontre. J’ai d’ailleurs pris l’habitude de partir seule en week-end de temps en temps pour en profiter. Car ce n’est pas très compliqué... J’ai découvert que de nombreux garçons de 18 ou 20 ans fantasmaient sur des femmes de mon âge. Je rappelle que j’ai 41 ans.

    Le dernier week-end ensoleillé qu’on a eu, je suis partie passer un week-end à Lyon. Je me suis beaucoup baladée dans un grand parc près de mon hôtel, un parc dans lequel il y avait beaucoup d’étudiants. En discutant avec l’un de ces garçons, j’ai appris que la plupart d’entre eux étaient dans une école préparatoire permettant de devenir ingénieurs par la suite.

    Mais le premier garçon que j’ai rencontré était vraiment trop intimidé. Il regardait mon large décolleté en rougissant mais s’est éclipsé dès qu’il a pu. Il a dû croire que je voulais seulement savoir l’heure et bavarder une seconde... J’ai adopté une autre stratégie par la suite...

    J’ai en effet repéré un groupe de quatre jeunes assis dans l’herbe, en cercle et je me suis assise également dans l’herbe, en face d’eux. Enfin surtout en face de l’un d’entre eux : visiblement le plus timide, celui qui m’excitait le plus, je l’avoue.

    Il a d’abord fait semblant de laisser aller son regard un peu partout en écoutant ses amis puis a posé les yeux sur mes cuisses, découvertes par ma robe légère, relevée à mi-cuisse... pour bronzer. C’était du moins le prétexte possible... Comme par magie, ses yeux sont revenus plusieurs fois sur mes cuisses ou entre mes cuisses. Il ne pouvait pas voir grand-chose vu qu’elles étaient plutôt serrées à ce moment-là. Le jeu a duré un certain temps : j’écartais un peu, je relevais les genoux pour poser le roman que je faisais semblant de lire et à travers mes lunettes de soleil, je le voyais tenter d’apercevoir mon slip en dentelle rouge et noire.

    Hélas, la petite troupe a décidé de partir, lui suivant docilement les autres, visiblement à regret puisqu’il s’est retourné deux fois sur moi. J’étais également déçue d’avoir perdu un si bon public, qui aurait pu en voir beaucoup plus... Mais cinq minutes plus tard, je l’ai vu revenir, avec son petit sac à dos et il s’est assis à la même place, du moins sous le même angle, mais un peu plus près. Le doute n’était plus permis pour moi. Il a sorti un livre de son sac et a commencé à faire semblant de lire. Pour le remercier d’être revenu ou pour envoyer un signe, je me suis étendue un instant sur le dos, toujours avec les genoux pliés et j’ai écarté lentement les cuisses, comme si j’oubliais les circonstances grâce au soleil et à la détente. Le seul problème, c’est que je ne pouvais pas le voir me reluquer...

    Je me suis alors amusée à relever le torse d’un coup, comme si la sieste était finie et que je voulais me remettre à mon roman. Sa réaction a été très parlante. J’ai eu le temps de le voir plongé, rêveur, dans mon entre-cuisses illuminé par un soleil indiscret et, un instant après, il a sursauté, comme pris la main dans le sac (ou les yeux sur le slip !), au point que le livre qu’il tenait discrètement lui a échappé des mains.

    Cette situation commençait à m’exciter... Dans mon manque de retenue du moment, j’ai eu une idée. Je suis allée aux toilettes en passant près de lui, juste assez près pour constater qu’il tremblait en tournant sa page sans oser lever les yeux vers moi quand je suis passée. Quand je suis revenue, j’ai repris ma place, ou plutôt je me suis installée encore plus près. Il n’y avait plus personne dans notre coin. J’étais de nouveau assise avec le livre sur les genoux, cuisses un peu écartées puis de plus en plus mais... il y avait un petit changement : j’avais encore mon slip mais il était... dans mon sac à main ! Cette fois, c’est moi qui tremblais quand j’ai écarté de plus en plus les genoux. Il a regardé machinalement et il est resté pétrifié. Bouche bée. Tétanisé. Tremblant. Bandant aussi apparemment car son pantalon faisait voir une belle bosse sur le côté.

    Là j’ai eu encore plus de culot. Je me suis levée pour aller lui demander l’heure. Cul nu sous ma robe ! Je le savais, il savait, je savais qu’il savait et inversement. Je voulais voir sa réaction. C’est peu de dire qu’il était intimidé. Quand il m’a dit qu’il était déjà 18 heures, j’ai prétendu que je devais vite passer à mon hôtel pour aller lire ou écouter un message important que quelqu’un devait me laisser sur mon téléphone, qui était resté là-bas. C’était faux évidemment. Tout comme le fait que, cruche que j’étais, je ne savais plus retourner à mon hôtel. Il s’est évidemment proposé de m’y accompagner et, en chemin, je lui ai proposé de « monter » boire un verre, avec un petit sourire.

    Nous voilà donc dans la chambre. J’avais d’ailleurs oublié l’histoire du message mais lui aussi apparemment... Je me suis assise pour lui remplir son verre, en faisant exprès de le laisser debout, impolie... à la fois pour le plaisir de le dominer un peu, pour qu’il puisse plonger dans mon décolleté et pour que je puisse voir sa bosse bien en face de mes yeux, histoire de le gêner encore plus.

    J’ai même fait semblant de croire qu’il portait une arme dont je devinais le canon... J’ai joué l’idiote en lui demandant s’il avait le droit de porter une arme à feu. C’était visiblement un gros calibre... Je n’ai pas pu m’empêcher de tâter du bout des doigts. Le garçon s’est raidi, dans tous les sens du terme ! Là je lui ai proposé de se détendre et je me suis mise à le déshabiller, pour un massage relaxant. Il avait les yeux écarquillés, ne comprenant pas ce qui lui arrivait. Je l’ai couché sur le dos, avec juste son caleçon, prêt à craquer, et je me suis étendue près de lui.

    « C’est la première fois qu’une femme te touche ? » Son absence de réponse en disait long. J’ai commencé à caresser son torse, son ventre puis son sexe, en mettant la main dans son caleçon tendu.

    J’ai ensuite pris sa main pour la glisser sous la robe, pour qu’il puisse caresser mes seins. Ses doigts tremblant m’excitaient comme une folle.

    Quand j’ai repris sa main pour la glisser entre mes cuisses, ma chatte était déjà trempée. Lui est devenu brutal tout d’un coup. Comme si le mâle en rut s’était réveillé. Il s’est mis sur moi, à genoux au-dessus de moi, s’appuyant d’une main sur le lit et se branlant de l’autre, bizarrement, avant que je lui dise à l’oreille : « pénètre-moi mon bébé, fais-moi jouir, éclate-moi la chatte avec ta grosse bite. »

    Je n’aurais jamais cru qu’il puisse être si brutal. Je croyais avoir affaire à un minet et je me trouvais défoncée par un taureau. Je me rendais compte seulement maintenant que c’était un géant (il mesurait plus d’1m80), plutôt musclé et surtout bâti en conséquence ! Je n’ai jamais vu de si grosses couilles, je crois. J’avais l’impression de me faire prendre par un taureau. Niveau pénis, c’était plutôt un poney : un membre aussi long que large, qui rentrait difficilement dans ma chatte pourtant trempée. Chaque va et vient m’arrachait un gémissement non simulé. Ce garçon me rendait folle.

    Il m’a prise trois fois cette fin d’après-midi. Il n’en avait jamais assez. Il léchait ma chatte comme un fou. Me mordillait les seins sans arrêt. C’était une révélation pour lui. Le pire a été quand j’ai déposé un baiser sur son énorme gland. Il tremblait comme une feuille. J’ai senti que la fellation était le fantasme qui l’excitait le plus et j’ai fait semblant d’hésiter, de ne pas oser, etc. Je me contentais de déposer des bisous sur son gland et sur le côté de sa queue gonflée à bloc. Chaque fois que je glissais mes lèvres sur le gland, je sentais qu’il resserrait l’étreinte de ses mains derrière ma nuque, comme pour me forcer à mettre son sexe dans ma bouche. Je faisais semblant de résister... Mais j’y revenais encore. Le garçon n’en pouvait plus. D’une main il tirait sur ma nuque à m’en faire mal ; de l’autre, il malaxait mes seins et labourait ma chatte de façon de plus en plus sauvage. Je résistais encore de toutes mes forces quand j’ai redéposé trois baisers pudiques sur son gland. Là ses deux mains ont tiré sur mon crâne avec une force herculéenne. Telle une poupée de chiffon, je me suis retrouvée avec sa grosse bite dans la bouche. Faisant encore semblant de ne pas vouloir, je me suis mise à la mordiller. Il a serré encore plus fort son étreinte. Et là je l’ai sucé. Comme une salope. J’ai senti plusieurs jets de sperme tandis que ses mains étaient comme un étau autour de ma tête. Il a joui dans ma gorge avec un râle rauque.

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Commentaires

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Posté le par Insomniak :
Putain quelle histoire!!carine t'es la meilleure
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Carine

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    Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/05/2012

    Publié le 17/05/2012

    Alala notre vieille salope (oups, désolé) revient nous raconter une expérience avec un jeune. Elle aime vraiment les jeunes notre coquine.

    En tout cas moi, j'aime bien ses histoires. Et celle ci me donne particulièrement envie de faire l'amour avec un mec qui en a une grosse :)

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    Corrigé et résumé par Dialogue69 le 03/03/2012

    Publié le 03/03/2012

    Ahhh, que ça nous fait plaisir de retrouver notre coquine qui adore les jeunes hommes. Quelle belle écriture en plus :)

    Cette dame nous raconte une parti de ses vacances en compagnie de jeunes adultes.

    je pense que beaucoup de jeunes hommes vont adorer et je pense aussi que beaucoup de dames vont s'imaginer à la place de notre coquine.

    Merci de nous avoir fait partager cela.

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    Les lecteurs de dialogue69 vont certainement beaucoup aimer cette histoire !

    Cette histoire vécue par Carine, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
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    Code histoire 0109 - Durée : 13 minutes
  • 2899 371

    Mère de famille perverse

    Enregistré le 03/07/2013

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    Télephone rose récits érotiques

    Code histoire 0109 - Durée : 13 minutes

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