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Recit erotique : Elle adore les jeunes !

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit erotique : Elle adore les jeunes !

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Vous devez vous souvenir de moi. J’avais écrit pour raconter comment, une nuit d’été, j’avais surpris un ami de mon fils nu comme un ver et comment il avait fini dans mes bras, ou plutôt moi dans les siens.

    Il s’est passé beaucoup de choses depuis, comme si, après cette histoire, j’étais devenue plus attentive aux désirs secrets de presque tous les jeunes garçons pour la femme, déjà vieille pour eux, que je suis... Je n’aurais jamais imaginé qu’ils soient à ce point sous pression quand on trouve le moyen de libérer leur soupape de sécurité...

    Le même été, une semaine à peine après l’événement qui avait secoué tout mon corps, j’étais parti avec mes enfants chez une amie, qui pouvait me prêter un bungalow près de sa grande maison, dans un endroit à la mode des landes. En fait, c’était un accord secret entre nous : elle voulait profiter de ma présence à quelques mètres de sa maison pour partir en vacances avec son amant du moment... Elle se culpabilisait en effet de laisser seul son fils Jonathan, qui pourtant venait d’avoir dix-huit ans, mais dont les fêtes à répétition l’inquiétaient. J’avais hésité à accepter l’invitation car mon propre fils, Kevin, ne supporte pas Jonathan, qu’il trouve vantard et prétentieux... Ma fille, Émilie, toujours en désaccord avec son frère, voit en Jonathan un véritable sex symbol...

    Mon rôle était donc d’être là, de profiter bien sûr des vacances, mais en regardant discrètement les agissements du fiston... Je rendais compte quotidiennement à sa maman de son comportement. Dans le plus grand secret bien sûr.

    Était arrivée la fameuse date de l’anniversaire de Jonathan et mon rôle était simplement d’aller voir brièvement en début de soirée comment cela se passait, pour montrer que j’étais là et que les débordements (alcool et autres) étaient à exclure ou du moins à limiter. Ma fille, bien sûr, aurait voulu participer à la fête mais je l’avais consignée au bungalow, avec ordre à mon fils de vérifier qu’elle ne bouge pas !

    J’étais donc partie seule voir ce qu’il se passait dans le salon de la grande maison, dont les volets étaient clos avant même la tombée de la nuit, qui tombe tard dans l’ouest, en juillet. J’avais sonné mais on ne m’avait pas entendu, avec la musique à fond. J’étais alors entrée et j’avais trouvé une neuf garçons et trois filles en train de s’amuser : certains dansaient, d’autres étaient vautrés dans l’immense canapé... J’ai dit bonjour et j’ai précisé que je venais voir si tout allait bien, en m’attendant à trouver des regards goguenards. En fait, Jonathan me répondit que je pouvais rester sans problème, ce que confirmèrent deux de ses amis dont les yeux brillaient et qui n’avaient pas hésité à me regarder des pieds à la tête. Je me rendis alors compte que j’étais venue avec une robe de plage qui passe inaperçue dans les dunes mais qui semblait tout à coup provocante dans une maison aux volets clos, entre des garçons excités par la musique ou par l’alcool – et dont certains étaient déjà torse nu, vu la chaleur.

    je ne sais pas trop pourquoi j’ai dit oui. Je suis allée prévenir mes enfants, qui m’attendaient pour regarder un film. Je n’ai même pas précisé où j’allais. J’ai simplement déclaré : je ressors, ne vous couchez pas trop tard. Ils étaient déjà absorbés devant l’écran et j’ai eu l’impression de leur plus parfaite indifférence...

    Je ne peux pas en dire autant des garçons qui faisaient la fête. Dès que je suis revenue, ils se sont amusés à crier et à applaudir, comme si j’étais la star de la soirée... Quand j’ai vu la tête des trois filles qui étaient là, vexées au point que c’en était amusant, j’ai soudain compris que le jeu était un peu ambigu et que les garçons, du moins certains, éprouvaient la joie du chasseur qui voit s’approcher la biche naïve...

    Vint très vite le déballage des cadeaux. Je me rendis compte que je n’avais rien apporté. Il est vrai que je n’étais pas censée rester... Évidemment, le garçon qui servait de DJ, un petit blond malicieux, fit remarquer que je n’avais rien apporté et je fus rouge de gêne, même s’il était évident que je ne pouvais pas prévoir. Il demanda à Jonathan ce que je devais lui offrir et la garçon déclara avec un petit regard malicieux à ses amis : « une danse, ça suffira pour l’instant ». Je fis un geste d’approbation, avec un peu de gêne toutefois, à l’idée de danser avec un garçon de l’âge de mon fils. Le DJ de service mit d’abord une musique rythmée qui me fit vite oublier mes scrupules, avant de changer bien avant la fin du morceau, pour un slow des plus langoureux. Je reculai alors, comme si j’avais accompli ma besogne... mais Jonathan me tendit bien sûr les bras en souriant. Il voulait son cadeau.

    Il faut préciser que Jonathan était l’un des deux garçons torse nu, sans doute pour faire voir à tous sa jeune musculature, souple, fine et puissante. Il ne portait donc qu’un bermuda de toile fine. je ne pus réprimer un tremblement lorsque ma robe fine, qui ne cachait déjà pas grand-chose, fut collée contre son torse déjà humide de sueur. Je fus donc soulagée quand le DJ arrêta la musique. Mais la gêne redoubla car tout le monde put constater ce que j’avais bien senti sans ne rien laisser paraître : dans la jambe gauche du bermuda, on avait l’impression qu’un manche à balai voulait se soulever pour arracher le fragile tissu d’une marque dédiée aux surfers.

    Les autres garçons étaient hilares. Jonathan n’avait pas l’air si gêné. Peut-être fier que tout le monde puisse constater qu’il relevait plus du poney que du jeune homme, sur ce terrain-là... Les deux filles qui restaient (la troisième était partie en giflant son petit copain lorsque celui-ci avait applaudi à mon arrivée) étaient bouche bée. Les filles, sans doute encore vierge, devaient même pas imaginer qu’un garçon de dix-huit ans puisse avoir un sexe aussi long. On avait l’impression que les 20 cm étaient dépassés... Dans la confusion du moment, tout me passait par l’esprit. Je me suis même dit « Cathy aurait pu me prévenir », comme si une mère de famille devait en prévenir une autre du fait que son fiston est un petit Rocco en puissance...

    A partir de là, d’autres garçons voulurent évidemment danser avec moi et je dus passer dans les bras de chacun, pour ne pas faire de jaloux, avec toute une série de slows... Inutile de dire que les filles, jalouses sans le moindre doute, s’étaient éclipsées, prétextant une cigarette à fumer, elles n’étaient plus revenues. Je m’étais donc retrouvée seule avec les garçons et j’avoue qu’après deux verres du punch qu’ils avaient préparé, j’ai un peu oublié ma fonction « régulatrice » demandée par la mère du petit Rocco...

    là le petit blondinet DJ prétendit faire de moi le jury de Mister Anniv... Il fallait que je mette une note à chacun de ces garçons, qui devaient faire un striptease devant moi, attablée avec un carnet... Trois seulement se risquèrent à danser en de déshabillant. Pourtant l’enjeu avait de quoi attirer : le petit blondinet avait déclaré dans un éclat de rire que le gagnant aurait le droit de toucher mes seins à travers ma robe et de m’embrasser sur la bouche. Déjà hébétée par l’alcool, j’avais éclaté de rire à cette blague de garçons entre eux. Le premier avait manifestement jamais fait un striptease. Il était gauche, hésitant et malgré son audace du début, s’était retrouvé visiblement intimidé au moment où il avait dû danser en caleçon. 14/20 pour ne pas le vexer... Le second avait fait au contraire une performance étonnante. Un vrai pro. A croire qu’il s’était entraîné (un garçon me souffla à l’oreille que ce stripteaseur là refaisait le coup à toute les fêtes). Il avait d’ailleurs mis un caleçon humoristique, comme si c’était en effet prévu. 19/20. Restait Jonathan. Comment pourrait-il faire mieux, techniquement évidemment car physiquement, je commençais à penser que ma fille avait raison...

    Il fit alors un striptease incroyablement sexy, un peu maladroit, mais avec une provocation gênante. Il agitait en tout sens son bassin pour faire balancer son gros sexe à travers le tissu. Je comprenais aussi mon fils : ce genre de garçons doivent beaucoup agacer les autres, en se mettant en permanence en avant et... en exhibant presque leur supériorité anatomique... Je devinai alors pourquoi les autres garçons s’étaient abstenus. Pendant que je rêvassais en regardant le torse luisant de sueur de Jonathan, celui-ci vint faire comme les professionnels de lap dance : ils frotta son caleçon contre mon ventre en pliant les genoux, assis sur mes cuisses, face à moi. et là de nouveau, je ne pus m’empêcher de regarder son sexe qui commençait à gonfler, sous la toile encore plus fine que le bermuda de tout à l’heure. La musique fut arrêtée. Les garçons faisaient silence, comme gênés ou comme si c’était tout à coup solennel. Jonathan était resté assis sur mes genoux, les bras serrés autour de moi. Je compris qu’il ne voulait plus partir, peut-être parce qu’il était gênés que ses amis voient trop bien son sexe dans un caleçon quasi transparent, peut-être parce qu’il ne voulait plus céder sa place à personne...

    Une voix se fit entendre. Le blondinet demanda qui avait gagné. Je balbutiai, comme tétanisée : « ex aequo », sans rien préciser d’autre. Le blondinet considéra que je n’avais voulu avantager personne et que les trois avaient droit à leur gain ! Sans que je puisse dire ouf, six mains me malaxaient les seins et neuf paires d’yeux me surplombaient. Je suffoquais. Même Jonathan, toujours assis sur mes cuisses et face à moi, ne cachait plus son sexe qui pointait dans le caleçon.. Il me prit la tête entre ses deux mains et m’embrassa à pleine bouche. On aurait entendu une mouche voler. Les deux autres stripteaseurs poussèrent alors Jonathan pour se mettre à tour de rôle à sa place et faire pareil. Le cercle autour de moi se resserrait encore. D’autres mains, timides, moites, tremblantes, chatouillaient mes seins, mon ventre.

    J’essayais de me lever. Ils s’écartèrent respectueusement et un peu gênés, comme si tout à coup ils se rendaient compte de la situation. Je me sentais plus coupable qu’eux et je ne voulais pas qu’ils soient gênés. Je leur souris. C’était comme un soulagement pour eux... mais aussi une barrière qui s’ouvrait. De nouveau ils m’entourèrent, tous, et les mains se baladèrent sous ma robe, contre mes fesses, mes cuisses, mes seins, mon ventre... des doigts nerveux glissèrent sous le slip en tremblant. Moi aussi je tremblais. Je n’avais plus aucune force. Malgré moi, la résistance cédait la place au désir.

    Je trouvai alors la force de leur dire : « Vous m’étouffez. Je veux bien vous faire un câlin, mais pas tous à la fois ! » Le garçon qui était face à moi en ce moment-là, peut-être le plus jeune, le plus tremblant à coup sûr, sans doute vierge encore, continua à se serrer contre moi jusqu’à me faire basculer en arrière et tomber sur le canapé. Les autres regardaient, muets et fascinés. J’avoue que j’avais un plaisir de plus en plus grand à être désirée par tous ces beaux garçons, admirée, et à pouvoir les exciter de plus en plus. Je me mis donc à faire mon petit spectacle. Le garçon qui était tombé sur moi était tétanisé. Je soulevai son tee-shirt pour lui enlever et m’attaquai à ses boutons de braguette, où l’ion voyait poindre un zizi sans doute modeste mais dur comme une barre de fer. Je le fis mettre à genoux au dessus de moi sur le canapé, puis lui baisser d’un coup son caleçon. Rouge et tremblant, il mit immédiatement ses mains devant son sexe érigé, comme pour le dissimuler aux yeux de ses amis mais je trouvais une cachette meilleure encore ! ma bouche. Je lui écartai ses mains, qui résistaient, en lui embrassant les phalanges et en léchant tout ce que je pouvais atteindre de sa verge dressée, qui finit bientôt dans ma bouche, pour une éjaculation presque immédiate. Le garçon partit s’essuyer rapidement, remplacé aussitôt, bien sûr par un autre, plus audacieux, qui, de l’autre côté de l’accoudoir où s’appuyait ma tâte, mit directement son pénis dans ma bouche, après m’avoir mis la tête en arrière, libérant ainsi le reste de mon corps ,qui fut vite recouvert par Jonathan lui-même. Je pouvais à peine respirer lorsque je sentis ses mains retirer mon slip, ses doigts trifouiller mon clitoris, puis son sexe démesurément long s’enfoncer de plus en plus. La suite fut encore pire. J’avais en permanence trois ou quatre garçons qui me malaxaient et me pénétraient de partout, comme une meute de jeunes loups en rut que plus rien ne peut arrêter. Heureusement, les lourds rideaux, les volets fermés et le double vitrage étouffèrent mes cris et mes gémissements, qui furent terribles lorsque trois jeunes pénis, vibrant de leur vigoureuse excitation presque sadique, entrèrent simultanément en moi.

    Ils m’accompagnèrent sous la douche pour m’observer une dernière fois, avant que nous nous promettions de ne parler à personne de ce qui s’était passé.

    J’entends encore Cathy : « Jonathan a été sage ?
    – Sage comme une image !
    – Il est pourtant encore bien immature... C’est le problème des garçons de cet âge : déjà un corps d’homme mais un comportement de bébé...
    – Je ne pus m’empêcher de dire, comme le cri du cœur : un bébé avec un très gros zizi alors...
    – Comment ? Tu l’as vu tout nu ?
    – Non, je voulais dire : je suppose qu’il n’a plus un zizi de bébé... Bon je t’avoue tout : un soir je suis venu voir si tout allait bien et comme je n’entendais rien je suis montée à l’étage. Il était en train de s’essuyer les cheveux en sortant de la douche et il ne m’a pas vue. Moi j’ai eu le temps de voir avant de repartir sur la pointe des pieds. S’il échoue dans ses études, il pourra toujours se rabattre sur le cinéma X... »

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par amir77 :
je envie de te penetre carine
Posté le par jp08 :
quelle belle histoire, bien racontée.On se glisserait bien dans la bande pour se faire sucer par cette belle femme et se branler en regardant ces petits jeunes s'amuser avec elle. Belle lecture qui donne beaucoup de plaisir, j' en bande encore.
Posté le par Gigi :
vraiment surprenante cette femme ! Je suis toute humide.
Bises.
Posté le par TPP :
et bien dit donc c'est très exitant tout ça !!!
Posté le par Anonyme :
je bande comme un ane
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