Recit porno : Elle trompe son mec
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Recit porno : Elle trompe son mec
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 08/02/2014
Publié le 08/02/2014
Coucou tout le monde,
Je reviens vers vous pour vous raconter comment ma vie sexuelle a pris un tournant que je n'aurais pas imaginé après que mon chéri m’ait regardé me faire prendre par Alex, le serveur trop craquant que j’avais invité pour un plan à 3.
Vous vous souvenez, nous avons 25 ans et avant cette aventure nos ébats amoureux étaient devenus plutôt routiniers. A la suite de cette soirée que nous avions décidé ensemble, mon chéri était redevenu passionné, me faisant l’amour tous les jours et de façon bestiale comme j’aime. Mais peu à peu, nos ébats sont redevenus plus tendres, plus romantiques. Je n’ose pas vraiment lui dire que j’adore qu’il me prenne comme une chienne, ce n’est pas dans son caractère, il est très doux. Mais moi, depuis ce plan à trois où Alex m’a baisé comme une bonne petite salope, je n’ai envie que de ça. Baiser pour baiser!
J'ai gardé le contact avec Alex,un peu en cachette faut dire. On s'envoie de temps en temps des textos mais on ne s'était pas revu. Et la semaine dernière, je lui ai confié mes états d’âme au téléphone. Cette envie de brutalité qui m’enflamme, et la douceur paradoxale de mon chéri qui est malheureusement redevenue aussi tendre qu'avant.
Alex m’a alors proposé que l’on se voie. Je sais bien que j’aurais dû refuser mais ce mec me troublait trop pour que je dise « non ». J’avais une folle envie de le revoir et qu’il me prenne à nouveau comme une bête. Honte à moi mais rien que d’y penser, j’étais toute humide et follement excitée. On s’est donné rendez-vous chez lui, dans l’après-midi, entre ses deux services. J’avais juste enfilé un jean, un chemisier et des escarpins. Je ne voulais pas arriver chez lui trop sexy pour ne pas qu’il pense que c'était trop facile..
Il m’a offert un café et nous avons commencé à reparler de mes états d’âme mais rapidement les évènements ont pris la tournure que j’espérais honteusement.
- Il est trop doux ton mec. T’as juste envie de baise hard comme quand je t’ai sauté !
Malgré le fait qu’on en ait déjà discuté longuement au téléphone, je n’ai pu m’empêcher de rougir. C’était dit un peu brutalement et pourtant j’ai senti des frissons de plaisir me parcourir.
- Et tu rougis en plus ! Fais pas ta timide, t’es une vicieuse en fait et y a vraiment pas de honte à ça!
Je n’ai même pas eu le temps de réagir. Accoudés tous les deux sur le bar qui séparé sa cuisine du séjour, il m’a subitement attirée à lui et il s’est emparé de ma bouche voracement, sa langue s’enfonçait presque dans ma gorge tellement il me mangeait la bouche. Je me suis sentie défaillir. C’était presque une agression, sa salive m’emplissait la bouche, sa langue me fouillait avec brutalité. Mon tanga était déjà trempé. Ce baiser fougueux me laissait échapper de petits gémissements de plaisir que je n’arrivais pas à étouffer.
Sans ménagement il a défait mon chemisier, presqu’à le déchirer, pour me pétrir les seins avec brutalité. Il s'acharnait sur mes gros obus, les palpait avec force à m'en faire mal. J’avais peur d’en avoir des bleus mais dans mon ventre, mes tripes s’enflammaient. Ma chatte était en ébullition alors qu’il ne l’avait même pas exploré encore. Mon corps se cambrait sous ses mains, je me sentais entièrement soumise au plaisir exaltant qui me submergeait. Je n’avais plus de volonté. Juste me laisser faire ! Sa bouche est descendue voracement sur mes seins lourds. Mes tétons étaient déjà dressés de plaisir.
Dans le même temps, il a déboutonné mon jean et l’a fait glisser à terre. Les seins sortis de mon soutif, en tanga, je m’offrais à lui. Sa bouche remontait inlassablement de mes seins à ma bouche, sa langue laissant des trainées luisantes sur mon buste et pressée contre lui, je sentais sa queue raide contre mon ventre. N’en pouvant plus, j’ai déboutonné son pantalon et j’ai glissé ma main dans son caleçon. Sa queue était chaude, bien dure, je le branlais avec délectation. Sa main s’est glissée dans ma fente et il m’a fourré deux doigts sans que je m’y attende. Du pouce, il branlait mon clito, je n’en pouvais plus. C’était trop bon. C’était de la folie et en quelques secondes, j’étais tellement excitée que j’ai joui en criant.
- T’as joui salope ! Tu veux de la vraie baise, je vais t’en donner moi ! Suce-moi !
Il était autoritaire et je ne pouvais que me soumettre à lui. J’avais envie de soumission, de me faire traiter de petite pute. Je me suis accroupie, j’ai descendu son caleçon et son jean et j’ai gobé avidement cette queue qui bandait pour moi. Les fourmillements revenaient dans mon ventre. J’allais et venais sur sa queue, lui caressant les couilles avec délice. Par grandes lampées, je léchais sa queue sur toute la longueur, redescendant jusqu’aux couilles pleines, me hasardant même à la frontière de son anus. Je le léchais, gobais avec une telle frénésie que mon visage était barbouillé de ma propre salive. Et je mouillais, je mouillais tellement !
- Ouais suce-moi bien salope ! Humm c’est bon, comme ça ! Fais-toi plaisir avec ma queue !
J’étais en transe. J’aimais tellement qu’il me parle comme ça. Il a empoigné mes cheveux à m’en faire mal pour guider le rythme. Il me faisait mal !
- Bouffe-moi la queue ! Vas-y, avale la toute !
J’'ouvrais la bouche le plus grand possible pour avaler l'engin jusqu'à la garde. Ma bouche enserrait le pieu dans une gorge profonde pour le ressortir et le lécher goulument.Au bout d’un moment, il m’a tiré par les cheveux pour me faire me relever. Il a carrément arraché mon tanga de dentelle puis a enfilé une capote qui sortait de je ne sais où.
- Tourne-toi ! Tu veux de la bite ? Je vais t’en donner moi !
Accoudée sur le bar, il a attiré brutalement mon cul à lui et il m’a pénétré d’un coup sec. Il se déchainait sur moi. Agrippé à mes hanches, il me défonçait comme une brute épaisse. L’orgasme montait en moi. Ses coups de reins étaient tellement violents que je devais me tenir fermement au bar. Mes gros seins ballottaient dans tous les sens. Je gémissais comme une pute. Plus il y allait fort et plus je mouillais. J’étais en nage, il me perforait comme un fou furieux. Il m’a attrapé une jambe pour que je pose le genou sur le tabouret à côté. A moitié écartelée, ne pouvant pas m’empêcher de geindre bruyamment, les secousses étaient de plus en plus violentes. Il s’enfonçait encore plus en moi.
- Et ton trou du cul, il est toujours aussi serré ?
Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il m’enfonçait un doigt dans le cul. J’ai crié sous la brutalité du geste.
- Arrête, fais pas ta mijaurée, t’as adoré la dernière fois quand je t’ai enculée !
Sa queue qui labourait ma chatte, son doigt dans mon cul qui allait et venait, ses mots crûs qui m’exaltaient, j’ai à nouveau joui d’une force inouïe. J’ai presque hurlé de plaisir quand l’orgasme a déferlé en moi. J’étais pantelante, je tenais à peine debout mais Alex continuait de me limer comme un fou. Finalement j’ai senti sa queue enfler en moi, le spasme d’avant l’éjaculation et dans un ultime coup de butoir encore plus violent que les autres, il a giclé dans un râle bestial.
Il a fallu que je m’asseye, tellement j’avais été éprouvé physiquement. Je peux vous dire que le tabouret a dû se souvenir de ma mouille dont je l’ai copieusement couvert.
- Ça t’a plu ? m’a-t-il demandé presque tendrement.
- Oui ! Ai-je osé répondre timidement.
-Alors on pourra recommencer quand tu veux ! T’es vraiment bandante. A-t’ il ajouté, reprenant son air de mâle séducteur.
J’ai souri. Puis j’ai dû partir car il devait reprendre son service. J’aimerais que mon chéri me fasse l’amour comme ça mais c’est difficile d’en parler. Peut-être vais-je réinviter Alex pour un plan à 3 afin que mon homme se lâche à nouveau…
Baisers sucrés.
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le et fais-toi plaisir ;)
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Corrigé et résumé par Dialogue69 le 15/01/2014
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