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Recit porno : sexe, ligne 57
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16Recit porno : sexe, ligne 57
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 18/09/2017
Publié le 18/09/2017
Mon fantasme du bus 57.
Je le croise et chaque matin dans le bus on se regarde et on se dévisage. Chaque matin à la même heure même ligne même regard. Je monte et je le cherche du regard, car il est déjà là ; la peau mate typé des yeux verts une bouche que j'ai envie d'embrasser mais je ne peux pas. Je ne peux pas lui parler je suis prise, marié depuis une dizaine d'années.
Mais, chaque matin quand je me lève je pense à lui, lui que je vais prendre du regard, lui qui va me rendre la culotte trempée. Quand je le vois j'ai envie de lui dire qu'il me baise envie de me laisser aller dans ses bras de tenir son sexe dans mes mains de le sucer encore et encore sans dire un mot.
Juste des regards.
Les jours passent et maintenant je change, ma tenue se fait plus légère, comme ma robe qui a raccourci de cinq ou six centimètres. Mes bas se font de plus en plus provocants et j'aime monter les marches du bus en le regardant tout en passant ma main sur ma cuisse.
Mon maquillage ? Rouge noir pourpre pour l'allumer, lui donner envie de m'aborder me parler et que je puisse lui dire tout dont j'ai envie, envie de lui faire, peine perdue, car il ne parle pas, il me regarde juste et moi je ne peux pas lui parler je suis marié. Mais ici, mon mari est absent, envolé ; et nous pouvons, nous devons nous regarder pendant les 15 minutes du trajet.
Les six arrêts de notre trajet précisément.
A chaque arrêt j'ai envie de lui. De plus en plus. Qu'il me plaque contre les parois et les vitres du bus et me prenne en levrette devant tout le monde, qu’il dévoile mes fesses au passant, au bandit, au mateur, à l’amateur ; avant de les fesser et bien faire entrer son sexe long et dur dans mon intimité. Mais il ne le fait pas, son regard en dit long son regard me dit baise moi mais moi je reste là, pantoise, exsangue, humide.
Chaque jour passe, toujours rien, juste mes fantasmes qui cheminent, je veux qu’en descendant de ce bus il ait brusquement envie de m’accompagner, pourquoi pas de me suivre ; afin qu’il me prenne sous une porte cochère comme une pute que je suis, une petite salope qui a envie de se faire baiser son petit cul. Dernier arrêt, il ne descend pas et m’accompagne du regard et me laisse mon aller comme pour me dire.
À Demain
Je crois que j'ai jamais été aussi excité par un homme même le soir quand mon mari décide de me prendre je pense à lui, je le sens qui nous regarde dans notre chambre, épiant derrière nos rideaux épais. Qu’il nous observe en train de se masturber, pantalon baissé, sa grosse queue en main, gonflée et rougeâtre, regardant la femme qu’il a envie de défoncer ; je ferme les yeux je pense à lui j'oublie mon mari trop gentil, trop doux, trop sage et je pense bien sûr à l’inconnu du 57. Chaque matin 6 arrêt et 15 minutes de désirs et d'orgasmes fantasmés, de lui serrant mes fesses et plaquant contre moi son sexe dans l’allée, me bourrant comme un beau diable, glissant sa grosse queue dans ma bouche prête à exploser et se vider de sa liqueur devant les gens médusés.
Je me vois obligé, contrainte, étrillée, je dois le sucer encore et encore pompant son gland rouge vif couleur du sang, la couleur du désir ; je veux lui hurler de lâcher son foutre dans mes mains, chaque matin. Que je boirais tout, que je ne laisserai pas une goutte de sa douce semence, que je serai bien sage. Et toute à lui….soumise au moindre de ses fantasmes, à la moindre de ses envies ; à la fois douce comme un ange, et sévère comme une maîtresse SM, je serai tout ce qu’il veut que je sois. Pour l’instant. Il ne reste que ce regard.
Son regard me déshabille et me palpe, ses mains me fouillent et me lèchent mes tétons, qu'il malaxe et suce en me REGARDANT, ce même regard qui me déshabille chaque matin, qui retire ma culotte trempée pour y fourrer ses doigts dans ma chatte afin de la fouiller encore et encore, plus loin, plus rapidement, jusqu’à ce que je me crispe de plaisir, et que je gémisse, au paradis, sur la ligne 57.
Six heures du matin et j'ai envie de jouir en lui, j'ai tellement envie de lui que je veux le lui crier : a-t-il envie de moi. Ma peur ? Que son désir s'étiole autant que je désire plus fort encore.
Je Ne Le Sais pas. Je ne sais rien de tout ça. Mon destin ? Souffrir et plaisir chaque jour ?
Le saurai-je un jour oserai-je lui parler un matin entre l’arrêt numéro un et l'arrêt numéro sexe ?
Je n'en sais rien et pourtant je l'aguiche je l'allume je voudrais que par le regard il comprenne que je suis une porte ouverte. Mais pas un geste pas une main sur mes fesses pas un doigt qui me caresse, me frôle ou déchire ma veste quand je passe près de lui. Reste à imaginer, imaginer qu’il en baise sans doute une autre, mais qu’ensemble on peut le faire bander, je ne suis pas jalouse je peux le partager, je veux qu’il me prenne, comme un animal ; et moi sa chienne. Je la regarderai faire, j’apprendrai de ses gestes, de ses humeurs, pour ensuite faire venir son ardeur, sa chaleur ; et nous deux, jouissant, un bonheur, ma cyprine se mélange à son âcre saveur. Je mouille. Encore.
Rien.
Je descends, arrêt numéro six, il me regarde partir une fois encore. Ce même regard. Fixe sur moi. L’horreur.
Mon fantasme du bus numéro 57.
Si vous aussi, vous avez vécu comme moi cette insatisfaction, ce malaise qui vous étrille et à la fois vous donne autant de plaisir, écrivez-moi.
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Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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Laure
Découvertes plaisirs lesbiens
A peine la porte fermée qu′elle m′embrassait goulument et en profitait d′une main habile pour détacher mon soutien gorge et libérer mes nichons. Je reconnais que mes tétons étaient tout droit. Emma en profitait pour malaxer mes seins et pour me les lécher.
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Je me suis surprise à minauder un peu comme une adolescente
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 27/12/2013
Publié le 27/12/2013
Voilà une histoire qui vient de m'être envoyée et que je trouve super sympa. Elle n'a rien d'insolite, il s'agit juste d'une femme de 35 ans qui est mariée depuis 10 ans et qui a naturellement besoin de gouter à un autre homme que son mari...
Merci encore à toutes nos coquines, "anonymes" certes, mais qui osent raconter ce qu'elles sont et ce qu'elles font !
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire de sexe en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
