Menu
Recit erotique : Je me suis surprise à minauder un peu comme une adolescente
- 269
22Recit erotique : Je me suis surprise à minauder un peu comme une adolescente
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 27/12/2013
Publié le 27/12/2013
Bonsoir à tous.
Je m’appelle Laure et j’ai 35 ans. Je suis secrétaire médicale à mi-temps, j’ai 2 enfants et suis mariée depuis 10 ans. Je mène une vie tranquille près de Nice. Je suis brune, les cheveux courts, les yeux noisette, quelques rondeurs mais pas trop non plus. J’ai un petit « bidon » comme dirait ma fille et je passe ma vie à faire des régimes, sans grand succès, comme beaucoup de femmes. Par contre j’aime beaucoup mes seins et c’est mon atout majeur que je mets toujours en valeur.
Il m’est arrivé un truc il y a 1 semaine que je n’aurais jamais cru réalisable dans la réalité. C’est en cherchant sur le net des histoires similaires à la mienne que je suis tombée sur Dialogue69.fr Et je me rends compte que les plans drague cash il y en a bien plus que l’on ne croit. C’est bluffant !
Donc voilà : la semaine dernière, je suis allée faire quelques courses dans mon supermarché. Il me fallait du pétrole, vous savez, pour les poêles d’appoint. Ça pèse un âne mort, ces bestiaux-là. A la caisse, le jeune homme derrière moi, qui avait juste un jeu de lames de rasoir dans les mains, me voyant galérer pour poser le bidon sur le tapis de caisse, m’a proposé gentiment de m’aider. Je l’ai regardé, surprise ( c'est la 1ère fois qu'on me le proposait et je me suis dit qu'il y avait quand même encore quelques hommes galants) et j’ai accepté son geste avec un grand sourire. Il était vraiment charmant. Je l’ai remercié chaleureusement sans penser à mal. A ce moment la caissière m’a dit :
« - Vous n’avez pas besoin de le sortir, j’ai le code-barres ! »
Elle pouvait pas le dire avant ! On s’est regardé avec le jeune homme en pensant la même chose et il m’a remis gentiment le bidon dans le caddy.
« - C’est vraiment très aimable à vous ! Merci beaucoup ! »
- Mais de rien, c’est normal. » Me répondit-il avec un large sourire.
Je ne savais pas pourquoi mais j’étais toute excitée par son sourire et son regard rieur. J’ai salué la caissière sans oublier le jeune homme et me voilà sortie pour rejoindre ma voiture, toute guillerette. J’allais attraper le fameux bidon pour le mettre dans mon coffre quand des mains sont venues me soulager de ce poids. C’était à nouveau ce garçon. Je n’en revenais pas !
« - Waouahh vous êtes mon sauveur encore une fois ! »
Je me suis surprise à minauder un peu comme une adolescente. Ça ne me ressemble pourtant pas.
« - Il était de mon devoir de venir en aide à une aussi jolie femme. » m’a-t-il dit avec un sourire charmeur. Bon il en faisait un peu trop mais c'était flatteur.
Je suis restée un peu bête. Je me faisais des films où il me draguait ouvertement? Le contexte n’était vraiment pas glamour au départ en plus mais là j’ai pas trop compris ce qu’il m’arrivait. Aucun son ne sortait de ma bouche, je ne savais pas comment réagir, j'étais embarrassée.
« - Allez, faites- moi le plaisir de boire un café. J’ai vu qu’il y avait un bar dans la galerie marchande. »
Il avait un sourire à damner un saint ! J’ai refermé le haillon et allez savoir pourquoi j’ai accepté par un « ok » à peine audible.
Il s’est présenté, Théo, 28 ans, commercial dans le BTP et souvent en déplacements. Sa boite était basée à Lyon mais il passait la semaine sur Nice pour rencontrer des clients. Mon dieu ce sourire qu’il avait ! Je fondais littéralement. Mais surtout il avait le don pour me faire parler et m’écouter. Je me suis sentie rapidement à l’aise avec lui, c’est fou. Mais l’heure tournait et je me suis rendue compte que j’allais être en retard pour récupérer ma fille au centre de loisirs.
Il m’a demandé mon numéro de portable mais j’ai refusé de le lui donner à cause de mon mari. Alors, sans se démonter, il m’a tendu sa carte de visite.
« - Appelez-moi s’il vous plait, j’aimerais beaucoup vous revoir. Je suis à l’hôtel…X jusqu’à vendredi. »
En partant, il m’a fait un bisou très très près de la bouche. Moi j’étais électrisée mais hagarde aussi. Je suis restée plantée quelques secondes devant ma voiture avant de monter et de démarrer. Toute la soirée, j’ai cogité. J’ai fait les choses avec automatisme, écoutant à peine mon mari et mes enfants. Devais-je l’appeler ou pas ? Il repartait vendredi et je n’avais pas trop le temps de réfléchir si je voulais le revoir. J’ai mal dormi mais hier matin, j’ai pris mon courage à deux mains et je le lui ai téléphoné en appel masqué. Après les politesses d’usage, nous avons finalement convenu de se retrouver au restaurant de son hôtel à 12h30.
(Au passage je dois vous avouer que si j'ai osé faire ça, c'est parce que j'écoute très souvent l'émission de Brigitte Lahaie et en l'écoutant j'ai fini par penser que ce n'est pas parce que l'on trompe qu'on est pas amoureuse ou qu'on est quelqu'un de mal...Donc merci Brigitte.)
Je ne vous dis pas dans quel état j’étais : une vraie pile électrique ! C'était tout nouveau pour moi. J’ai bien dû essayer 5 ou 6 tenues et j’ai fini par choisir un tailleur pantalon noir avec une chemise en coton blanche et mes bottines à talon aiguille. Je ne voulais pas être trop sexy non plus, juste classe. Sur le seuil de la porte du restau, je ne savais pas encore si j’allais entrer ou pas. J’avais terriblement peur mais je ne voulais pas faire marche arrière. J’ai finalement pris une grande respiration et je suis entrée en sachant exactement comment allait finir notre repas...
Je vous passerai les détails du repas, mais un super moment. J’ai bien compris que je ne devais être qu’une proie parmi tant d’autres, mais il me draguait avec tellement d’élégance et de subtilité que j’en ai oublié toute prudence. Il savait y faire avec les femmes!
A la fin du repas, il m’a invité à l’accompagner dans sa chambre, pour soi-disant récupérer des documents avant de repartir au boulot. Au fond de moi je savais comment cela allait finir et je l’ai suivi pourtant…
A peine étions-nous dans la chambre qu’il m’a plaquée contre la porte et m’a embrassée langoureusement.
Waouahh, je me suis laissée faire car je n'attendais que ça en fait. J’embrassais un autre homme que mon mari et j’en éprouvais un plaisir intense. Sentir son corps chaud tout contre moi, la surprise de son sexe déjà dur pressé contre mon ventre me faisait défaillir. Tout est allé très vite !
Il a rapidement sorti ma chemise de mon pantalon pour engouffrer ses mains sous l’étoffe et me palper les seins rudement. Il se collait tellement contre moi que j’en étais oppressée mais mon dieu que c’était bon. Il m’a peloté les seins un bon moment puis a défait mon pantalon et le sien dans la foulée. Je me suis retrouvée en culotte et il n’a même pas pris le temps de déboutonner mon chemisier.
Et hop, plus de chemisier ! En sous-vêtements devant lui, les cheveux en désordre, j’étais un peu perdue, mais sa langue a de nouveau envahi ma bouche rapidement. Ça allait si vite, impossible de réfléchir. Et je sentais ma culotte en dentelle toute humide. Lui, avec le pantalon et le caleçon sur les chevilles, m’a alors obligé à me baisser. Sans un mot, ses mains m’ont forcée à m’agenouiller.
Sa queue était énorme et toute raide ! Mon mari est bien membré mais là…. Mon dieu qu’elle était grosse ! J’ai fermé les yeux et je me suis mise à le sucer doucement, comme je le fais avec mon mari.
Mais cela ne lui suffisait pas, alors à nouveau ses mains ont empoigné fermement ma tête et il a guidé le rythme de ma bouche. Il entrait sa bite dans ma gorge tellement violemment que j’en étouffais presque. La cadence était infernale mais je mouillais atrocement ! Il était brutal, et ses coups de reins étaient tellement violents que je m’agrippais à son cul pour ne pas être déséquilibrée. Ce n’était plus le charmant jeune homme que j’avais rencontré, galant et attentionné. J’avais un homme rustre en face de moi qui m’utilisait comme une vulgaire fille de joie. Mais à mon grand dam, j’y prenais un plaisir phénoménal. Sa queue butait au fond de ma gorge, me bloquant presque la respiration à chaque secousse mais je mouillais comme une collégienne. Je n’étais plus qu’un objet sexuel mais bizarrement j’aimais ça. Ces mots grossiers me mettaient en transe. Il me disait de le sucer plus fort, de m’appliquer, de lui lécher les couilles et même de lui mettre un doigt dans le cul. Au début je n’ai pas osé, mais là encore il a pris ma main et m’a forcé à lui mettre un doigt. Je devais être rouge de honte, je n’ai jamais fait ça à mon mari mais il avait l’air de prendre un pied phénoménal. Il gémissait, grognait, me demandant de lui enfoncer mon doigt dans le cul plus vite, plus fort. J’ai pensé qu’il allait jouir dans ma bouche et qu’ensuite, il allait me renvoyer à mes fourneaux sans même me donner du plaisir. Mais non ! Il m’a fait me relever et m’a presque jeté sur le lit.
« - Reste sur le ventre, je reviens. »
Je ne bougeais pas et j’ai compris qu’il allait dans la salle de bain chercher un préservatif. En quelques secondes, il est revenu, m’a écarté rudement les jambes et son corps s’est abattu de tout son poids sur moi. Je mouillais, je mouillais tellement ! Ma chatte avait terriblement envie de se faire prendre par ce mâle dominant. Il m’a pénétré violemment, sans sommation, mais je sentais qu’il n’allait pas en falloir beaucoup pour que je jouisse. Oui, cette bestialité allait me faire jouir d’un instant à l’autre. Je gémissais comme une chienne en chaleur. Il me pilonnait très fort, je n’étais qu’une poupée gonflable qu’il baisait comme une brute. Il me tirait les cheveux, me mordait, m’insultait mais j’allais jouir, il n’y avait que ça qui comptait! Plus il s’acharnait sur ma chatte en feu et plus j’en redemandais ! Plus son énorme queue tapait au fond de ma chatte et plus l’orgasme montait. Il m’embrochait de son dard de plus en plus vite.
Et ses coups de queue puissants qui m’emplissaient totalement la chatte m’ont fait jouir d’une force extraordinaire. Il a continuait à me besogner encore quelques minutes, j’étais lessivée mais assouvie, et il a éjaculé dans un râle bestial.
Waouahh c’était fabuleux.
La fin ? Il s’est rhabillé à la va vite, m’a à peine jeté un regard en sortant de la chambre.
A peine a-t-il marmonné qu’il était en retard, et que je n’avais qu’à refermer la porte en sortant.
Le masque était tombé !
Je sais que je ne le reverrais pas, j'étais juste une femme de plus sur son tableau de chasse. Mais mon dieu, me faire baiser comme ça, je ne l’aurais jamais imaginé. Et le pire, c’est que je suis ressortie de sa chambre le sourire aux lèvres. En tout cas, ce dont je suis sure c’est que je ne jugerais plus les femmes que l’on qualifie de « salope ». Ce désir bestial de sexe, tout le monde l’a en soi.
Cette histoire de cul t'a excité ?
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
Les autres aventures coquines de Laure
Laure
L'été de mes 18 ans
Je m'appelle Claire et j'ai 19 ans. Je suis blonde, je mesure 1m68 pour 54 kg, j'ai les cheveux mi- longs, une peau assez blanche. J'aime bien mon corps, quoique je préfèrerais avoir davantage de fesses et de poitrine. Je fais un petit 85B, et mes seins ont des aréoles pales assez fines, mais très sensibles aux caresses.
26 16Histoire de sexe, ligne 57
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 18/09/2017
Publié le 18/09/2017
laure nous délivre un texte fort poétique et érotique sur un inconnu
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire erotique en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
