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Histoire de sexe : Je me faisais enculer et j'aimais ça
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27Histoire de sexe : Je me faisais enculer et j'aimais ça
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 02/01/2014
Publié le 02/01/2014
Bonjour à tous ceux qui auront cliqué sur mon aventure.
Je ne sais pas quand mon histoire sera publiée alors je vous souhaite à tous une bonne année 2014 en espérant qu'elle soit chaude et torride.
Mon aventure s'est déroulée un peu avant les fêtes, pendant le rush des courses de noël et elle concerne encore mon patron. Petit retour en arrière, j'ai une aventure avec mon boss depuis que je l'ai rencontré en club libertin. Depuis, il joue et profite de moi comme si j'étais sa chose et le pire c'est que j'aime ça, ou plutôt j'adore ça à un point que j'aurais eu du mal à imaginer !
Comme je travaille dans une grande surface, j'étais de corvée pour l'ouverture exceptionnelle du magasin dimanche 22 décembre. Je suis arrivée au boulot à 8h. J'ai été surprise, car il n'y avait presque personne sur le parking. Je suis rentrée dans le bâtiment et je suis passée devant le vigile qui m'a regardée d'un air étonné.
Bon c'est vrai j'avais 30minutes d'avance (j'ai mon petit rituel avant de commencer ma journée), mais d'habitude je ne suis pas la seule à arriver aussi tôt. J'ai enfilé ma tenue et je suis allée dans la salle de pause. J'ai pris un café et je me suis installée dans un fauteuil de massage mis à disposition du personnelle. J'ai mis de la musique sur mon téléphone et j'ai planté les écouteurs dans mes oreilles en laissant mon corps se détendre, sous les roulements du fauteuil.
J'étais tellement détendue et fatiguée que je commençais presque à m'endormir, lorsqu'une main s'est posée sur ma cuisse. Surprise, j'ai bondis sur mes deux jambes en ouvrant les yeux. Mon patron se tenait debout, face à moi. Mon cœur déjà affolé s'est mis à battre la chamade. Nous étions tous les deux seuls et à chaque fois que nous nous étions retrouvés comme ça, il m'avait baisée.
- Je ne voulais pas te faire peur... Tu avais l'air si détendue... a-t-il déclaré.
Tout en parlant, il s'est rapproché de moi et ses mains sont devenues baladeuses. Elles se sont promenées dans mon dos descendant lentement jusqu'à la naissance de mes fesses. Un petit spasme a agité l'intérieur de mes cuisses. Il a fermement empoigné mon postérieur et m'a collée à lui. Dans son pantalon, sa queue était déjà gonflée et je la sentais appuyer contre mon entre jambe à travers le tissu de son pantalon.
- Nous n'avons pas le temps, les autres vont arriver... ai-je bégayé.
- Oh non, ils ne sont pas près d'arriver! a répondu mon bosse.
J'avais le cerveau tellement embrumé par le plaisir que je n'ai même pas réfléchis à ce qu'il venait de dire et que je me suis laissée faire.
Il a défait son pantalon et a empoigné fermement sa tige. Je n'avais pas besoin qu'il me le demande, je savais ce qu'il voulait. Alors je me suis agenouillée et j'ai enfourné sa queue toute entière dans ma bouche. Elle était si grosse, si chaude, si dure... que l'avoir entre mes lèvres me faisait mouiller abondamment.
Je l'ai pompé avec avidité. J'adorais lui donner du plaisir avec ma bouche. Il respirait bruyamment et il n'a pas pu s'empêcher de reprendre les choses en mains. Il a empoigné ma tête et m'a imposé un rythme plus rapide. J'étais sa salope et il faisait ce qu'il voulait de moi.
Et puis il m'a repoussée et il m'a redressée. Il m'a entraînée vers une table et là, il m'a retournée dos à lui avant de ma plaquer contre le bois froid. Il m'a baissé mon pantalon et ma culotte et en quelques secondes je me suis retrouvée cul nu, offerte à lui, complètement soumise. L'une de ses mains s'est posée sur mon cou, pour me maintenir contre la table et l'autre a empoigné l'une de mes hanches. D'un grand mouvement de bassin, sa queue pleine de salive s'est enfoncée dans ma petite chatte. J'ai gémis en la sentant m'emplir complètement.
Il m'a labouré le vagin dan un rythme effréné. Il me maintenait si fort contre la table, que j'en avais presque le souffle coupé. Mes fesses claquaient contre lui, j'étais de plus en plus ouverte et mouillée, mes jambes étaient comme du coton. Je sentais la vague de chaleur montée en moi, j'étais au bord de l'explosion mais, il s'est soudain retiré.
J'ai senti son souffle sur ma nuque et sa bouche s'est approchée de mon oreille.
- On t'as déjà enculé ma belle? m'a-t-il demandé.
- Non... ai-je soufflé.
- Alors je serai le premier.
Voyant que je me crispais, il a ajouté que je ne devais pas m'inquiéter, qu'il irait doucement. J'ai essayé de me détendre, mais j'avoue que ce qu'il s'apprêtait à me faire m'effrayait un peu.
Il a relâché l'étreinte autour de mon cou et ses deux mains ont agrippé mes hanches. Son gland gonflé a appuyé contre mon petit trou.
- Vasy, je te laisse faire! a déclaré mon bosse.
Alors j'ai reculé mes fesses et je me suis empalée sur sa queue pleine de mouille. Lentement, il s'est insinué dans mon étroit conduit. C'était douloureux, j'avais l'impression que quelque chose se déchirait en moi, mais la frontière entre plaisir et souffrance était tellement fine, que je ne savais plus trop ce que je ressentais. Je ne savais pas si c'était agréable ou désagréable, je ne savais pas si j'aimais ça. Je ne l'ai pas arrêté et il a commencé à remuer d'avant en arrière tout doucement.
Plus les minutes passaient, plus mon petit trou se dilatait et plus je prenais du plaisir. C'était une sensation incroyable. J'avais l'impression de ressentir les vas et viens de sa queue dans tout mon corps. C'était encore meilleure que lorsqu'il me l'enfonçait devant.
Voyant que j'appréciais, il a commencé à aller plus vite et plus fort. Je me faisais enculer et j'aimais ça. Il allait tellement profond dans mon cul que ses couilles venaient taper ma chatte. Je n'en pouvais plus j'étais dans un état de dingue et mon corps tout entier s'est mis à trembler.
Tout à coup il a poussé un coup de reins plus profond que les autres et il a éjaculé bien au fond de mon orifice tout ouvert. C'était si bon de sentir son liquide chaud m'envahir que j'en ai tressaillis de plaisir.
J'ai à peine eu le temps de me faire un brin de toilette avant que mes collègues ne débarquent. Mon patron avait en faite tout calculé pour que j'arrive plus tôt et qu'il ait le temps de jouer avec moi.
J'en suis encore à me demander si tout ça est bien raisonnable et jusqu'où il va m’entraîner. Les barrières tombent une à une. Jamais je n'aurais laisser quelqu'un me faire ça... Il n'y a que lui pour me rendre aussi avide de sexe. J'aime le sentir en moi, j'aime qu'il me baise, j'aime être sa salope et je commence à me demander si je suis normale car j'ai l'impression que j'aime être humiliée...
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Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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Laurène
Découvertes plaisirs lesbiens
A peine la porte fermée qu′elle m′embrassait goulument et en profitait d′une main habile pour détacher mon soutien gorge et libérer mes nichons. Je reconnais que mes tétons étaient tout droit. Emma en profitait pour malaxer mes seins et pour me les lécher.
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Soumise à son patron
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 09/02/2014
Publié le 09/02/2014
Laurène se fait encore bien baiser par son patron, c'est le moins que l'on puisse dire, cette fois-ci il lui demande carrément de travailler avec un œuf vibrant dans la chatte...Je pense que notre petite Laurène va travailler avec le sourire au lèvres :)
PS : N'hésite pas à donner l'adresse de la boutique Dialogue69 si ton patron aime t'acheter des surprises :) - 453 57
je savais qu'il allait jouir dans ma bouche et ça me faisait mouiller
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 29/10/2013
Publié le 29/10/2013
Laurène aime bien se faire traiter comme une salope par son patron...
Je peux la comprendre, car parfois moi aussi j'aime qu'on me traite comme une petite chienne, je pense qu'on est pas les seules... Ce n'est pas pour rien que les filles adorent souvent se faire prendre la levrette comme des chiennes. 
Pris comme une femme
Le coït fut rapide, il m’expliqua que lorsqu’il était bien excité, il jouissait assez rapidement et que c’est pour cette raison qu’il invitait souvent son pote à ses ébats amoureux pour qu’il finisse le travail.
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Son patron la traite comme sa chose
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 25/07/2013
Publié le 25/07/2013
Laurène se fait sauter par son patron et comme souvent dans ce genre de situation, celui-ci fait ce qu'il veut d'elle. Elle nous avoue aimer être sa chose, mais j'ai quand même l'impression qu'elle est un peu perdu...
En tout cas, c'est plutôt excitant de l'imaginer passer sous le bureau :) - 283 53
Elle rencontre son patron en club
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 31/05/2013
Publié le 31/05/2013
Ah en voilà une qui n' pas fini de s'amuser, elle est allée pour la première fois en club et à priori elle a apprécié...
La surprise pour elle c'est qu'elle a rencontré le grand patron de son entreprise dans le club....Et oui dans ce genre d elieu on peux rencontrer n'importe qui ;)
Pour la petite histoire, un jour en allant en club, j'ai rencontré le mec de ma soeur, en train de se faire prendre par un mec pendant qu'il bouffait la chatte d'une femme, le problème c'est qu'il n'y avait pas ma soeur...Je peux vous dire que ça a été un choc pour moi !
Bise coquine, Clara
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire sexe en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
