Cliquez ici pour du tel rose Suisse

Histoire de sexe : Ma cyprine et son sperme ont dégouliné entre mes cuisses

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
  • 348 32

    Histoire de sexe : Ma cyprine et son sperme ont dégouliné entre mes cuisses

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à tous,

    Je suis Marion, j’ai 35 ans, divorcée depuis 1 an et depuis cette séparation, j’ai envie de connaitre le plus de choses possibles en matière de sexe. Et surtout ne pas me remettre en ménage pour l’instant ! Je veux profiter des plaisirs de la vie à 100% avec une soif de nouveautés, de surprises. Avec mon ex, c’était la routine. Toujours les mêmes positions, pas de fantaisies, cela m’ennuyait profondément. Alors que j’aime le sexe ! Mais le quotidien et l’usure du temps ont eu raison de la passion qui nous submergeait au début de notre relation. Il n’était pas trop branché sexe en plus de ça. C’est rare pour un homme mais fallait bien que cela tombe sur moi. J’ai donc décidé de le quitter au bout de 6 ans de mariage par ennui et lassitude et pour beaucoup d'autres chose bien sûr...bref...

    J’adore la nature et 2 ou 3 fois par semaine, j’aime aller me promener dans les bois ou faire des randonnées en montagne. Je suis très sportive mais pas dans le style citadin avec club de gym ou autre. J’aime le calme de la montagne où j’habite. Bien évidemment, pour trouver des plans cul, c’est moi facile que dans une grande ville quoique , pour une fois, j’en ai trouvé un sans chercher.

    C'était cet été, j’étais partie me promener dans les bois, à la fois pour faire de l’exercice et pour observer la nature. Je suis grande, les cheveux blonds au carré et grâce au sport j’entretiens mon corps. J’ai de très longues jambes fines et musclées, un bon 95C et une chute de rein dont je suis assez fière. Plus jeune, j’ai fait pas mal de modern jazz ce qui m’a donné de belles fesses bien rebondies et fermes et une allure très altière voire hautaine. Mais en apprenant à me connaitre, on se rend vite compte que je suis quelqu’un de simple et de pas du tout snob.

    Donc me voilà partie en forêt pour ma balade et j’avançais d’un pas rapide tout en admirant la nature. Il devait y avoir un bucheron dans le coin, car j’entendais au loin une hache. Sans y prêter vraiment attention, je me dirigeais vers ces bruits, et au bout de 20 mn, j’apercevais une silhouette qui effectivement était en train de couper du bois.
    De loin je ne l’ai pas reconnu mais j’ai de suite remarqué un corps d’athlète en plein effort. L’homme était en bermuda, torse nu et je fus toute chose en m’attardant sur son beau petit cul penché.

    Je me suis dit « waouah il a l’air trop sexy ! Sa silhouette était fort plaisante et même excitante. Et en me rapprochant j’ai reconnu Marc.

    Il avait été à l’adolescence un de mes amoureux transis. Je m’en doutais, mais à l’époque je m’intéressais à des garçons plus populaires pour la fille populaire que j’étais. J’étais même sortie avec son meilleur ami. Mais il n’avait jamais osé se déclarer et de par sa douceur et sa timidité il était devenu le confident de mes aventures amoureuses. Je le voyais avant tout en copain et pas en amoureux éventuel. Puis nos études divergentes, nous nous étions perdus de vue.

    Étant resté dans la même ville, on se rencontrait de temps en temps, et du temps où j’étais encore mariée, il m’avait plusieurs fois proposé de prendre un verre, lui-même étant divorcé depuis 2 ans à l'époque. Mais j’avais toujours refusé afin d’éviter tous quiproquos et sans doute aussi toutes tentations.
    Et voilà que je tombais sur lui aujourd’hui et que de voir son corps d’athlète me faisait frémir de désir. Il était grand, baraqué mais je ne le pensais pas aussi musclé. La vision de ses muscles en plein effort éveillait le plaisir de mes sens et je n’avais brusquement qu’une envie, le toucher.
    Ah ben merde alors !

    Je décidais d’aller lui dire bonjour, il ne m’avait pas entendu arriver. Du coup il lâche sa hache, on s’assoit sur un tas de bois et on se met à papoter comme de vieux copains. Son regard est doux et il me regarde toujours comme il y a 20 ans en arrière : avec de l’admiration dans les yeux. J’adore cette sensation qu’il me renvoie, comme si j’étais une princesse. Il m’avait déjà dit à demi-mots que j’avais été son premier amour de jeunesse et je sentais bien encore aujourd’hui qu’il en pinçait toujours pour moi. C’était la première fois que l’on se croisait à nouveau, depuis mon divorce, qui plus est, sans personne autour de nous.

    Je ne peux pas m’empêcher de détailler son corps torse nu avec envie et tous mes sens sont aiguisés. Je réalise tout d’un coup que dans ce contexte, en sueur, il respire le sexe. Et là, c'est clair que je n'ai pas envie du tout qu'il se comporte avec moi comme si j'étais une princesse! Cela ne me donne qu’une envie : être prise avec rudesse par mon bucheron, sans préambule.
    Mais il est resté timide et je ne sais pas trop comment lui dire, sans le choquer, que j’ai follement envie de lui.

    « - Waouaah, tu es sacrément musclé dis donc !
    - Et bien j’étais déjà assez sportif avec le rugby mais je me suis mis à la muscu il y a 1 an et demi. »

    En rigolant, je touche ses biceps puis son torse pour bien me rendre compte de sa musculature. C’est une excuse qui me sert surtout pour le toucher…
    Je le sens troublé par le contact de mes mains et ça m’excite encore plus. Mon petit string est tout mouillé. J’ai vraiment envie qu’il me prenne, là, dans les bois.
    Alors n’écoutant que mon désir je me lance :

    « - Tu es devenu très sexy, je regrette maintenant qu’il n’y ai rien eu entre nous dans notre jeunesse ! lui dis-je, un brin canaille.
    - Pourquoi ton opinion sur moi a changé maintenant ? me demande-t-il, un peu déstabilisé.
    - Je crois bien que oui. Te retrouver ici, je me dis que c’est un signe et qu’il ne faudrait peut-être pas que je passe à nouveau à côté de quelque chose. »
    En lui disant ça, je me suis rapprochée un peu plus de lui et je prends le risque de l’embrasser. D’abord timidement puis plus goulûment quand je sens qu’il répond à mon baiser avec fougue. Cela faisait des années qu’il attendait ça et son rêve se réalisait enfin. Il m’attire davantage contre lui, passe sa main sous mon teeshirt et me caresse délicatement le dos puis s’aventure sur mes seins. Il écarte mon soutien-gorge pour en faire jaillir mes nichons dont les tétons sont déjà dressés et commence à les pétrir avec volupté. Il excite encore plus mes tétons, moi qui ai les seins très très érogènes (on m’a déjà fait jouir rien qu’en caressant mes seins avec les mains et la bouche). Je ne le pensais pas devenu si entreprenant et j’adore ça. Lui qui était, dans mon souvenir, si réservé, prend les choses en mains et ça intensifie mon désir. Il m’embrasse dans le cou avec passion, me mordille le lobe de l’oreille, le lèche et je suis brûlante de désir.

    En baissant les yeux j’aperçois la bosse dans son bermuda et l’idée de se sexe en érection qui n’attend qu’à être goûté par moi me rend folle d’impatience.

    «- Viens on va dans la cabane, on sera plus tranquille. » lui dis-je.

    En effet, à proximité, il y a une ancienne cabane de chasseurs, laissée à l’abandon.
    Il ne se fait pas prier et me suis. Je suis complètement surexcitée.

    Enfin à l’abri des regards, il me plaque dos au mur et je sens maintenant son sexe bien dur contre mon bas-ventre. Il m’enlève mon teeshirt et mon soutien-gorge, toujours en m’embrassant goulûment. Je me retrouve les seins à l’air, plaqué contre ce corps chaud et musclé et ça décuple mon envie de baiser. J’ai envie qu’il me prenne, qu’il emplisse ma petite chatte de son sexe dur et raide. Je passe une main dans son bermuda et je commence à le branler gentiment mais avec application. Il grogne de plaisir et ça me fait mouiller encore davantage.
    Je n’ai qu’une envie ; prendre sa queue dans ma bouche, l’embrasser, la lécher, connaître sa saveur, son odeur.
    Alors je m’agenouille entre ses jambes, bermuda descendu, et je commence à le sucer avec délice. J’encercle de ma bouche son gland tout en jouant avec ma langue dessus. Puis je lèche cette queue sur toute sa longueur, jusqu’aux testicules avant de l’engloutir entièrement. J’aime l’odeur et le gout de ce dard que je pompe maintenant avec avidité tandis que j’ai glissé une main dans mon pantalon pour caresser mon minou en feu. J’agace mon clitoris déjà enflé puis j’insinue 2 doigts dans ma fente humide à souhait. Je gémis de plaisir. Il me caresse les cheveux tout en maintenant ma tête pour que j’enfonce dans ma bouche sa queue en érection, le plus loin possible. J’ai des gémissements de plaisir que je ne peux contrôler, tellement c’est bon. Lui je le sens au bord de la jouissance. Sa queue baise ma bouche dans de rapides va et vient qui se font de plus en plus pressants. Le gout de son sexe est salé, dû à la transpiration du travail de forcené qu’il accomplissait avant que j’arrive. Et j’adore son gout et ce léger parfum acide de la sueur.

    Moi accroupie, lui debout devant moi, j’ai l’impression de n’être juste qu’une fille de joie en train d’assouvir les pulsions sexuelles d’un client. Docile, soumise, je suce cette bite bien épaisse prête à décharger à n’importe quel moment, comme une bonne petite chienne en chaleur. Et j’adore ce sentiment d’être prise comme une vicieuse petite putain. Cette prise de conscience scandaleuse me fait jouir brutalement. Je ressors les doigts de ma chatte, englués de mes liqueurs divines.

    Il me relève alors, prend ma main et fourre mes deux doigts fautifs dans sa bouche. Il m’embrasse en même temps et nos langues s’enroulent autour de mes doigts. Je sens que le goût de ma cyprine l’excite au plus haut point et je suis moi-même à nouveau surexcité par son geste. Il me retourne alors contre le mur de rondins. Il descend précipitamment mon pantalon, cherche l’entrée de mon antre humide et s’enfonce d’un seul coup dans mon minou trempé, dans un râle de plaisir. Son sexe énorme m’emplit entièrement la chatte et d’une main il caresse mon bouton d’or. Je suis à nouveau à la limite de l’orgasme. Ses coups de reins se font de plus en plus violents. J’en ai du mal à tenir debout tellement il me défonce avec acharnement. J’essaie de bien me cramponner à une sorte d’étagère à ma portée mais les coups sont violents. Je suis prête à défaillir à chaque coup de queue. Je mouille tellement qu’à chaque va et vient, de petits bruits incongrus s’échappent de ma petite chatte affamée. Il accélère la cadence, son bas-ventre claque contre mes fesses. Je sens l’orgasme monter.

    Dans un souffle, la respiration presque coupée à chaque secousse qu’il m’assène :

    « - Je vais jouir, oui, comme ça, prend-moi fort, plus vite! »

    Ces coups de reins redoublent et je jouis avec violence. Quelques minutes après, c’est lui qui crache tout son jus dans ma chatte trempée, un jet violent qui a irradié de chaleur et de bien être mon vagin repu. Ma cyprine et son sperme ont dégouliné entre mes cuisses. Il m’a rendu folle de désir et j’aurais bien aimé qu’il me baise à nouveau, qu’il me fasse jouir encore mais il fallait quand même un peu de repos au guerrier.

    Depuis il s'est passé pleins de choses...Peux-être que je viendrai vous les raconter.

tel rose voyeur

Tu veux parler avec une coquine ?

Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.

Ou, compose directement le
Télephone rose chaud
et fais-toi plaisir ;)
Tu veux parler avec une coquine ?
Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.
Ou, compose directement le
Télephone rose chaud
et fais-toi plaisir ;)

Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

Envoie un commentaire à , cela lui fera très plaisir !

Posté le par MrKargal :
hummmm j'aurais voulu être cet homme coquine
Pour commenter une histoire, il faut être membre.
S'inscrire gratuitement / Se connecter

Les autres aventures coquines de Marion

Marion

Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire erotique en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!

Inscription auteurs | Contactez-nous | Joindre la rédaction ou proposer un partenariat | Devenir hôtesse