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Recit sexe : récit sexe d'une baise en train

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit sexe : récit sexe d'une baise en train

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    baise train inconnu

    Bonjour à toutes

    Je viens vous raconter ici la réalisation d’un fantasme que de nombreuses filles ont, celui de faire l’amour dans un train. J’ai donc eu l’occasion de le faire le week end dernier, et je m’en vais vous l’expliquer !
    J’ai donc choisi de partir à Strasbourg en train de nuit, je voulais céder aux tentations du marché de Noel, mais je ne pouvais pas financièrement y passer trop de temps ; j’ai donc choisi de faire ce go fast d’une journée, optant pour le train. C’est évident qu’au départ, je n’étais pas super emballée. J’allais prendre le train seule, de nuit, chose qui n’est pas toujours recommandée ! J’avais décidé de ne pas prendre de couchette, pour éviter les mauvaises rencontres et je choisissais le train classique, au moins pour ne pas me retrouver solo. J’avais également pris le minimum, et je montais dans le train avec uniquement une pièce d’identité et ma carte bleue, soigneusement camouflée dans une pochette de mon soutif ( qu’il est bon des fois d’avoir une grosse poitrine !) .
    Le wagon était à moitié rempli, des familles avec leurs enfants, des hommes d’affaire, des femmes également seules mais chargées de sacs pour récupérer les décorations du marché. J’étais donc rassuré car le voyage, la nuit, à défaut d’être paisible, serait sécurisée. Je m’asseyais à ma place, et saluait le jeune homme assis sur le siège adjacent, sur ma droite. Charmant au demeurant. Je n’avais pas tout perdu. Je m’installai donc confortablement, et je prenais mon livre acheté à la gare, car le sommeil n’allait pas forcément venir sur les dix heures du trajet.
    « Excusez-moi, mais vous pourrez me dire si ce livre est réussi ? »
    Le contact avait donc été établi. Le beau jeune homme n’avait donc pas envie de voyager seul, ou du moins de rester là à attendre. Donc je répondais d’une blague, et je me tournais vers lui pour engager la conversation. C’était ça le but, même si l’entame de base était pourrie. Nous commencions donc à discuter alors que le train démarrait. Et je n’avais pas sommeil. Luc. Un graphiste d’une trentaine d’années qui allait rejoindre sa lointaine famille en Alsace. Quel dommage, je ne pouvais pas voir son petit cul, mais je regardais ses mains qui s’agitaient, son petit nez, son visage fin et souriant. La nuit commençait à tomber et nous ne cessions pas notre petite discussion, mais elle devait commencer à gêner les passagers, qui nous dévisageaient. Je trouvais alors la parade en lui proposant tout simplement de s’asseoir à côté de moi puisque mon siège à gauche était vide. Il accepta bien volontiers, et en se levant, je pus apercevoir son petit cul. Miam !
    Nous continuons donc à parler, et la nuit tombante, les conversations se firent plus silencieuses, et bizarrement plus coquines… et vers minuit une heure il me semble, fut abordé LE sujet du fantasme du train. Je voyais dans ses yeux coquins qu’il attendait ça depuis quelques minutes, et pourtant je n’étais pas la jeune femme la plus jolie, ni surtout la plus apprêtée qu’il avait pu voir dans sa vie.
    Nos regards se croisèrent, je mordillais un peu mes lèvres, envoyant un léger signal érotique. Le signal l’atteint car il se pencha alors vers moi pour m’embrasser ! Nos bouches se rencontrèrent, et le baiser se prolongea quelques minutes. Je sentais sa langue humide et chaude passer sur mes lèvres et rouler dans ma bouche, c’était délicieux et j’avais désormais un goût sucré dans les lèvres.
    Je m’enhardissais alors à caresser son torse, non sans avoir préalablement éteint la petite lumière au-dessus de nous ; pour une légère intimité. Je passai ma main sous son pull, sa peau était douce et chaude, je passais sur ses tétons, jouant avec. Puis je remontais le séparateur de siège et je me blottis contre lui, mordillant son cou, et je fis descendre ma main sur son pantalon.
    « j’ai envie qu’on baise là toi et moi » lui glissai je à l’oreille…. Il en avait envie aussi. Autour de nous, les enfants, comme les parents, s’étaient endormis ; un homme jouait seul, loin devant, avec son portable. Restait le problème des contrôleurs, ou des pauses pipi. Mais j’avais tellement envie de lui, que j’allais chercher sa queue directement dans son pantalon ; je l’extirpais de lui et là voilà tendue et raide, devant moi. Je me baissai alors et je commençai à la sucer, comme si j’étais chez moi, en parfaite petite femme soumise. J’attrapai son gland, le gobait, et descendait le long de sa queue avec ma bouche, c’était tellement bon. Il était plus gêné que moi et il essayait de dissimuler ma fellation de diverses manières, par sa main, par son blouson, mais rien n’y fit ; on voyait bien que je lui pompais le dard comme une salope. Je me retirai et le regardais avec gourmandise ; il fallait faire vite. Je baissai alors mon pantalon et me mis sur le côté, présentant ma culotte blanche.
    « baise moi vite »
    Il se mit donc contre moi, en position fœtale et réussi à insérer sa bite dans ma chatte, elle entra sans difficulté dans mon intimité bien trempée. Restait maintenant à bouger un peu pour nous donner du plaisir, pas pratique mais diablement excitant, et avec un peu de patience, il parvient tant bien que mal à faire coulisser sa bite dans ma chatte, tout en m’agrippant la hanche, l’autre main sur ma poitrine. Nous ne faisions pas de bruits, même si j’avais du mal à calmer mon halètement et mes gémissements. Il tapait de plus en plus vite dans ma chatte et je sentais qu’il était en train de venir en moi, je l’agrippais et lui soufflait de me remplir de foutre comme une chienne ; ce fut le déclencheur à son orgasme, il gicla dans ma chatte et ça me fit venir instantanément. On avait joui tout deux en 3 minutes, le coït était rapide, mais efficace. Nous restions ainsi, protégés par le blouson, et nous nous endormîmes tout deux jusqu’à Strasbourg.
    Un fantasme réalisé, de toute beauté. A bientôt pour un nouveau récit sexe

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Claire

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