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Recit de cul : Souvenir de fac - suite

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    Recit de cul : Souvenir de fac - suite

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Salut à tous, je vous livre la suite de ma précédente histoire « Souvenir de fac ». Si vous ne l’avez pas lu, courrez-y vite, vous verrez à quel point j’ai été garce avec mon ami Marc, puis revenez ici pour voir comment je me suis rachetée auprès de lui.
    Quelques jours après cette journée, je m’étais retrouvée en compagnie de Marc à la bibliothèque de la fac. Nous étions assis tous les deux à une table dans un coin de la grande salle, en face l’un de l’autre. Tout en chuchotant, Marc me rappela la scène dans l’amphi, ce fut l’occasion de rire ensemble de la frustration (toujours effective) de Marc. Il me raconta les rêves orgiaques qu’il avait eus ces derniers jours, tant son envie était pesante.

    « Si tu savais à quel point j’ai envie de toi… » Murmura t-il en se penchant vers moi.
    A mesure que nous parlions, je déchaussai mes pieds et dirigeai mon pied contre ses mollets pour remonter doucement sur son sexe.
    « Je sens que ma culotte est toute mouillée… » Lançai-je
    « J’aimerais bien que tu me fasses comme à Alex l’autre jour, et ici, là, maintenant…sous la table ! » Rétorqua t-il.

    Ces désirs furent des ordres, j’avais trop envie de mettre sa queue dans ma bouche. Il n’y avait personne aux alentours, juste un employé qui traversait les allées de temps en temps sans se soucier de rien.
    Je glissai furtivement sous la table tel un lézard sous un rocher. Marc avait déjà déboutonné son pantalon, il ne me restait plus qu’à prendre son sexe dans ma main et à le dévorer à pleine bouche. Marc poussa un long soupir de plaisir et il ne fallut pas longtemps pour que sa queue soit raide comme un coup de trique. Je donnai tout ce que je pouvais, comme une vilaine fille qui a quelque chose à se faire pardonner. L’odeur des livres, les grandes allées, le silence, quel cadre magnifique pour pomper une grosse queue ! Je gobais un de ses testicules, ma langue remontait jusqu’à son gland. Son dard avait le goût puissant de la vengeance ! Soudain, Bien trop insatisfaite de cette simple pipe, je m’interrompis : « Tu connais un coin tranquille ici ? »
    « Il y a le rayon physique quantique qui est pas trop mal. Deuxième étage, tout au fond. Normalement, y a jamais personne. »

    Ni une, ni deux, nous partîmes main dans la main vers notre destination. J’avais déjà la sensation que Marc allait me faire payer chèrement mes crapuleries. Sa poigne était déjà ferme, il est clair que j’aillais passer un sale quart d’heure ! Hmmmm, j’en mouillais de plus belle.
    A peine arrivés dans ce rayonnage perdu au fond de la grande bibliothèque, Marc me poussa avec une virilité impérieuse contre le mur du fond. Nous étions debout, face à face, des livres nous entourés de part et d’autre, il ressortit son braquemard et ses boules de son pantalon, la fête allait pouvoir commencer ! Marc releva ma jambe pour la poser sur une étagère et arracha violemment ma petite culotte, il fouetta son gland contre ma chatte à deux ou trois reprises et me pénétra, d’un coup, sans tourner autour du pot. Je sentais son sexe me botter le trou à la manière d’un soudard. Nous étions survoltés. Sa queue limait dans la liqueur…

    Tout à coup, histoire d’évacuer plus encore son excitation, il m’attrapa par les cheveux avec sa main et me susurra des insanités dans les oreilles. Moi qui avais couché avec lui à deux ou trois reprises, c’était bien la première fois que je le voyais aussi déchaîné !
    Après que je le vis ravaler sa jouissance, il se coucha au sol et me tira par la main vers lui. Je me mis à quatre pattes sur sa queue verticale et m’empala dessus. A peine m’étais-je assise sur lui qu’il s’activa de plus belle. Ses reins me culbutaient à une cadence infernale. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas hurler. Soudain, il releva son buste, sa main se porta à ma gorge et de tout son poids il me bascula en position du missionnaire. Je me suis retrouvais en quelques secondes, mes deux genoux derrière les oreilles en train de me faire pilonner par un Marc électrique. L’intérieur de ma chatte surchauffé et rien ne pouvait arrêter son ardeur.
    Nous sentions une agitation de personnes de l’autre côté des étagères. Il fallait abréger avant d’être surpris par des étudiants ou des employés de la bibliothèque. Marc se releva. Je me mis à genou. Il introduisit son sexe dans ma bouche, je n’en fis qu’une bouchée. Excité par la situation et la chaleur de ma langue, il déchargea dessus et mit fin à une grande frustration.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Girlandboy :
Très excitante comme histoire uhm ca me rappelle mes annees lycée quand je sucais et me faisais prendre par mon mec de l epoque ds les toilettes et ds les cages d escaliers lol
Posté le par lolita :
Wow ! Je suis toute mouillée...
Posté le par Anonyme :
Trés chaud situation , bravo !!!!
Posté le par MrKargal :
hiHa bien raconter je tavoue un truc je serai pas dehors je me serais branler en pensant à toi! mais qu'elle coquine que tu est!! raconte nous d'autre histoire j'en bande tellement elles sont bonne bisous coquine
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thiffaine

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