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Histoire de sexe : 2 frêres jumeaux rien que pour mon plaisir
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6Histoire de sexe : 2 frêres jumeaux rien que pour mon plaisir
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 07/10/2022
Publié le 07/10/2022
Je n'ai jamais raconté cette histoire à personne, non pas parce que j'en avais honte, mais parce que je n'étais pas la seule concernée. Je venais tout juste d'avoir 18 ans et je sortais à cette époque avec Julien, un garçon que je connaissais depuis bientôt six mois. Il était doux et attentionné mais je devais toujours partager le temps que nous passions ensemble avec quelqu'un d'autre.
Julien avait un frère jumeau, Alexandre. Nous étions souvent fourrés tous les trois ensemble et je m'entendais plutôt bien avec lui. Il était gentil et puis il faut dire qu'ils étaient si fusionnels que je ne me sentais pas le droit de les séparer. Avant que cela n'arrive réellement je n'avais pas remarqué ce qui aurait du me sauter aux yeux.
Julien m'a invité au cinéma ce soir là et après avoir été manger dans un petit restaurant pas trop cher nous sommes allés chez lui. Il louait un petit studio meublé pas loin de la fac. Ses parents bien évidemment l'aidaient dans ses dépenses et il était normal qu'Alexandre habite avec lui. Ce soir cependant nous devions être seul.
Comme à chaque fois que nous avions l'occasion d'être intime, Julien me sauta littéralement dessus. Il n'était pas brutal mais j'aimais particulièrement la façon affamée qu'il avait de me déshabiller et me dévorer. Il avait sa tête entre mes cuisses, léchant ma chatte avec envie quand Alexandre est arrivé.
Dire que j'ai été surprise et refroidie n'est pas assez fort cependant ni l'un ni l'autre ne semblaient étonnés, encore moins gênés. Je tentais de me cacher sous les draps, morte de honte alors que mon petit ami discutait tranquillement avec son jumeau. J'attendais avec impatience qu'Alex ne parte pour que je puisse me rhabiller. Le corps brûlant et nu de Julien contre moi me donnait envie mais la présence d'Alexandre dans la même pièce, si près que j'avais l'impression de pouvoir le toucher, me calmait.
Tout du moins c'est ce que j'aurai dû ressentir. Ils étaient si identique que je ne pouvais pas nier avoir déjà imaginé les voir tous les deux côte à côte. Étaient-ils identiques de partout ? Julien me regarda comme s'il attendait une réponse et j'étais bien incapable de savoir de quoi il s'agissait, je n'avais rien écouté de leur conversation.
« Tu es partante ? »
J'ai bafouillé une réponse inaudible alors que les frères se moquaient de moi gentiment.
« Est-ce qu'il peut se joindre à nous ? »
J'ai dû tirer une tête bizarre parce que les deux ont dit que ce n'était pas grave et déjà Alexandre remettait son blouson. Mon cerveau à tourné à vive allure à cet instant et sans vraiment réfléchir je lui ai dit de rester. Je le connaissais, je le trouvais beau puisqu'il était le sosie parfait de mon petit ami et il était partant pour une petite expérience à trois. Il l'avait même proposé. Je n'imaginais même pas que ce puisse être une mauvaise idée.
Je l'ai regardé se déshabiller sans aucune honte, scrutant le corps de mon presque beau-frère dans les moindres détails. Il semblait légèrement plus musclé que Julien, mais tout le reste paraissait sensiblement identique.
J'ai écarquillé les yeux quand il est venu nous rejoindre, Julien soulevant les couvertures pour qu'il vienne s'allonger juste contre nous. Ce n'était pas parce que j'avais deux hommes dans mon lit que j'étais surprise, mais parce que ces deux hommes s'embrassaient. Je voyais parfaitement comme leurs langues jouaient l'une avec l'autre et ce n'était certainement pas la première fois vue la façon dont ils n'avaient aucun problème avec ça.
Contre toute attente et aussi bizarre que ça puisse être, je me suis sentie excitée comme jamais en les regardant. J'avais envie de les voir se toucher encore plus sans même penser une seule seconde que c'était dégoûtant pour des frères, pour des jumeaux.
Rapidement leurs deux bouches ont été sur mon corps, un peu partout sans que je ne cherche à savoir qui était qui dans cet enchevêtrement de corps. Ils me caressaient de toute part et j'en profitais sans vergogne. Voir les caresses qu'ils se donnaient m'excitaient autant que celles que je recevais.
Julien est venu sur moi et m'a pénétré sans aucun mal, j'y était plus que prête. Il s'est enfoncé en moi jusqu'à la garde et j'ai presque crié dans le petit studio. Que quelqu'un m'entende ? Je m'en moquais totalement. Alexandre était à côté de nous, il embrassait mon épaule, ma bouche, celle de son frère. Je ne voyais pas ce qu'il faisait mais à voir la tête de Julien, ce n'était pas juste le fait de me faire l'amour qui le mettait dans cet état là. Il avait les yeux fermés et il se mordait la lèvre. Je n'avais jamais pensé ça de lui, jamais imaginé ainsi, mais ça ne me dérangeait pas.
Les doigts d'Alexandre jouaient avec le cul de son frère et j'entendais les gémissements de Julien directement dans mon oreille. Parfois il ralentissait sa propre cadence, sûrement pour savourer davantage la façon dont son jumeau était en train de le préparer. Je me demandais s'ils allaient aller jusqu'au bout. Est-ce qu'ils auraient le toupet, l'audace, le courage de faire cela devant moi ? N'avaient-ils pas de toute façon déjà fait le plus dur en m'avouant leur penchant ?
Je ne pouvais même pas penser à la confiance qu'ils m'accordaient l'un et l'autre parce, qu'il en fallait pour me montrer ce qu'ils étaient en train de me montrer.
J'ai regardé Alexandre alors qu'il se redressait et se plaçait derrière son frère. Je crois qu'à ce moment ils m'ont tous les deux observés pour voir ma réaction. Je leur ai sourit, parfaitement consciente de ce qu'il se passait. Julien s'est immobilisé pendant que son jumeau s'introduisait en lui, doucement, amoureusement. Je pouvais voir comme son visage se crispait à l'intrusion et je ne pouvais qu'imaginer la sensation d'une pratique encore inconnue pour moi.
Alexandre à commencé à bouger et ses coups de bassins provoquaient ceux de Julien. C'était comme si Alexandre lui-même me faisait l'amour, c'était son rythme, sa cadence. Julien m'a serré plus fort dans ses bras, enfouissant sa tête contre mon cou et sa respiration saccadée me faisait frémir. Je mouillais tellement !
L'excitation aurait pu me faire jouir à elle seule car il m'en fallut très peu après ça pour me cramponner aux draps.
J'ai adoré cette nuit là, pensant davantage à ce qu'Alexandre faisait à Julien plutôt que ce que je pouvais ressentir. Je n'ai jamais oublié et à présent je fantasme toujours sur les jumeaux de mon passé.
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