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Histoire de sexe : 3 jeunes filles pour un vieux pervers

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    Histoire de sexe : 3 jeunes filles pour un vieux pervers

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    En ce mardi du mois de juillet, il fait une chaleur écrasante et avec deux amies, nous avons décidé de plonger dans le lac. Nous connaissons ce petit coin tranquille où les parents de Jean ont une maison qu'ils nous prêtent bien volontiers. À peine arrivées, toutes les trois nues, nous plongeons dans cette eau fraîche et nous nous amusons comme de vraies petites folles. Après quelques heures de baignade, nous sortons de l'eau pour nous installer sur des transats et profiter des rayons du soleil sur notre peau. Jean se tient là, au milieu du chemin et nous dévisage toutes les trois nues comme au premier jour de notre naissance. - Que vous êtes belles toutes les trois nous dit-il, de vraies déesses, magnifiques, j'aimerais toucher votre peau. – Suffit, lui dis-je rouge comme une pivoine, tu n'as donc pas honte de nous dire ça, on se connaît depuis toujours et en plus tu es marié, tu l'oublies ? Non je n'oublie rien me lance-t-il et je te signale que tu es chez moi, à poil rétorque Jean. Et, moi je te signale que je ne savais pas que tu viendrais au lac autrement nous aurions gardé nos maillots de bain. Et ça aurait été dommage de gâcher un tel instant me dit taquin Jean. Je hausse les épaules et je vais rejoindre mes amies qui entre-temps se sont installées sur les transats toujours nues. Jean, nous regarde, nous le voyant partir et revenir avec un transat. Devant nous, il se déshabille et s'installe nu sur son transat. Il ferme ses yeux et se caresse son sexe tout en lançant quelques gémissements de plaisir. Nadia craque et s'approche de Jean et commence à le caresser, Jean entrouvre ses yeux légèrement et laisse faire Nadia qui ne se gêne pas pour sucer, caresser Jean. Léa finit par rejoindre Nadia et ensemble elles s'occupent de Jean lui lapant son gland, lui caressant son sexe. Jean gémit et continue de se laisser faire. Je finis par mouillée d'envie devant le spectacle et cours aider mes amies. Jean qui est bien excité nous pousse toutes les trois dans la maison et nous tombons tous dans le grand lit. Il attrape Nadia, la pousse à se mettre à quatre pattes et lui empile son pieu dans les fesses. On entend Nadia criait et gémir de plaisir, après quelques va-et-vient il fait couler son sperme sur son dos. Il s'allonge épuisé pendant que Léa et moi nous suçons sa liqueur appétissante. Jean nous laisse faire, Léa suce sa queue pendant que je lui présente ma chatte mouillée et excitée devant sa bouche. Il sort sa langue et me goutte le sexe, il joue avec mon clito ce qui m'excite terriblement. Il nous insulte, nous frappe les fesses et me dit en me regardant dans les yeux. - Je ne te savais pas aussi chienne, tu caches bien ton jeu ma belle, je vais te sauter comme une chienne que tu es et te faire avaler mon jus et après je ferai subir le même sort à ta copine. Aussitôt dit aussitôt fait. Je sens le sexe de mon ami se plantait profondément dans ma chatte, je sens la puissance de son corps contre le mien, le va-et-vient incessant de son sexe qui me pénètre et le bien-être qui s'installe dans mon corps. Je gémis de plaisir et on redemande. Il déverse sa liqueur sur mon ventre et mes amies se précipitent dessus pour lécher jusqu'à la dernière goutte. Ensuite il fait subir le même traitement à Léa qui n'en pouvait plus de patienter. Mes amies le feu éteint au corps doivent rejoindre leurs maris qui les attendent moi je décide de passer la nuit au lac. Je demande à Jean s’il compte rentrer chez lui, il me répond non, sa femme est partie pour quelques jours avec des amies, il a donc tout le temps pour s'occuper de moi si je reste. Je dis oui, je reste j'ai encore envie de ton merveilleux corps sur moi, de ta queue juteuse sur ma peau, dans ma bouche. Décidément, tu me surprends, je ne te pensais pas aussi chienne me répond Jean. Tu caches bien ton jeu et cette nuit, je vais te faire passer la nuit la longue de ta vie, la plus merveilleuse tu vas voir. En attendant, si nous allions prendre une tête au lac pour nous rafraîchir les idées. Oui merveilleuse idée que ce bain pour nous remettre les idées en place. On s'amuse follement dans l'eau, on s'embrasse, on se taquine. La passion est toujours là et l'envie aussi. Nous rentrons tendrement enlacés. Il est l'heure du souper, je décide de nous préparer quelques sandwichs, Jean me regarde faire et me dit j'ai une faim de loup. Je réponds – deux minutes mon chou, ça sera prêt dans un instant. Il me répond c'est bien trop long, il passe derrière moi, me plaque contre la machine à laver et me dit : - ma petite chienne, ma queue est affamée et ne peut plus attendre, il faut que je lui donne à manger et dans ta petite grotte il y a tout ce qui lui faut pour la nourrir. Il m’écarte les fesses, m'enfile sa queue et me pénètre d'un coup de reins. Je crie, il me fait mal je lui demande d'arrêter et furieux et déchaîner s'amuse à faire des va-et-vient de plus en plus fort. Plus je crie, plus il s'excite et me lance que je n'ai que ce que je mérite. Tu m'as chauffé petite garce, tu vas avoir ce que tu mérites et je vais te baisers toute la nuit. J'ai les fesses en feu, je lui crie que c'est un chien affamé et il me répond tu n'as encore rien vu. Il m'attrape par les cheveux et m'oblige à lui lécher son sexe dégoulinant et juteux. Je m'exécute et l'excitation est de nouveau là, je lape tout, je le branle, j'avale son gland. Je suis déchaînée. Il me dit stop, tu continueras plus tard, nous allons souper maintenant. Ce petit répit me fait du bien. On discute de tout et de rien. Le repas finit, je range, lave, essuie et part prendre ma douche. Je suis épuisée et compte bien dormir. Jean lui est d'un autre avis et me dit : - on va passer une nuit torride tous les deux j'ai encore une grosse envie qui me gagne. - Quoi ? Encore envie après tout ce que l'on a fait ensemble, mais tu es pire qu'une machine. Oui ma belle tu vas trinquer encore, ma bite est pleine d'envie que tu vas devoir éteindre. Non-Jean, moi je suis fatiguée et je vais dormir. Oui tu dormiras plus tard, pour le moment le boulot t'attend me dit-il on me montrant son pénis dur. Je regarde son engin et l'envie me tombe dessus. Je prends à pleine bouche son sexe et le suce doucement, je laisse la passion me gagner, je suce, je le branle, je joue avec ses bourses en écoutant le halètement de mon amant. Il me laisse faire, il gémit, m'attrape par les cheveux me bouscule dans le lit et me pénètre d'un coup de rein, ma chatte s'enflamme et ensemble d'un même mouvement de va-et-vient nous jouissons d'une même voix. Le petit matin nous surprend enlacé, le corps nu et tout en sueur et après un dernier baiser, nous nous quittons pour rejoindre nos familles respectives.

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