Histoire sexe : Baisée pas son docteur
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Histoire sexe : Baisée pas son docteur
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 09/03/2014
Publié le 09/03/2014
Bonjour les gens,
Je reviens vers vous pour vous raconter un plan cul vraiment croustillant dans ma vie de jeune étudiante coquine qui m’est arrivé il y a 1 semaine.
Déjà sachez que j'ai adoré voir mon témoignage précédent publié sur le site...Dommage que vous n'ayez pas posté plus de commentaires pourtant vous avez l'air de l'avoir bien kifée.
Vous vous souvenez, j’ai 18 ans, brunette aux yeux bleus, un corps frais et menu mais pas farouche pour autant. Je suis du genre décomplexée avec le sexe et je vous avais raconté comment le fait de ne pas souvent mettre de culotte m’avait fait faire la connaissance de Nathan.
Il y a 10 jours j’étais malade, une bronchite de mon propre diagnostic, et comme cela ne passait pas, j’ai décidé de consulter mon médecin de famille. Il me connait depuis petite et c’est un toubib extra, dans tous les sens du terme. Mais c’est vrai qu’il a quand même une réputation assez sulfureuse de séducteur invétéré. Marié 3 fois, j’ai toujours entendu dire qu’il collectionnait les maîtresses et que sa patientèle était surtout féminine. Tu m’étonnes ! Je suis même pas certaine que ma mère n'ait pas déjà couché avec lui...Car un jour je suis arrivé à la maison, il était là et il y avait un truc étrange, quelque chose que je ne peux pas décrire, mais je crois bien qu'il avait fait des bêtises comme on dit :)
C’est vrai qu’il est bel homme: 45 ans, les cheveux très légèrement grisonnants, de beaux yeux noisette pétillants de malice et de séduction, toujours très bien habillé, avec recherche et beaucoup de gout, c’est un vrai don juan. Quand j’étais ado, j’ai eu une période où je fantasmais sur lui. Et puis en grandissant je me suis plutôt occupée des mecs de mon âge et mon beau docteur est passé un peu aux oubliettes. Faut dire aussi que la dernière fois que j’ai dû le voir, c’était il y a 2 ans pour un certificat médical pour la danse. L’année dernière j’avais eu affaire à sa remplaçante.
Donc j’attendais impatiemment dans la salle d’attente et j’étais curieuse de savoir s’il avait beaucoup changé en deux ans. J’avoue que j’avais quand même déjà des papillons dans le ventre rien qu’à l’idée de le revoir. Il est venu finalement me chercher et je lui explique que j’ai cette toux qui ne passe pas depuis bientôt une semaine. Il a vieilli un peu mais est toujours aussi attirant. Il me parle mais je sens qu’il me détaille des pieds à la tête, d’un œil approbateur. Après le questionnaire d’usage, il m’invite à m’assoir sur la table d’auscultation. Je pose mes pieds sur le petit escabeau et je m’assois sur la table.
Il me demande d’enlever ma tunique et là oups… j’avais bien pensé à mettre une culotte pour une fois en vue d’un éventuel déshabillage mais pas de soutif. Putain, une vraie blonde malgré que je sois brune! lol Je suis une vraie gaffeuse quand même! Je ne suis pas du genre timide, je vous l’ai déjà dit, mais là c’était mon doc ( il ne s’agissait pas de mecs de mon âge) et j’ai senti le rouge me monter aux joues.
C'est vraiment en trainant que j’ai enlevé mon haut sans oser le regarder mais j’étais vraiment toute chamboulée de me retrouver à moitié nu devant lui. J’ai tenté de garder contenance quand j’ai senti, du coin de l’œil, qu’il souriait légèrement et qu’il matait sans aucune gêne ma petite poitrine.
Il a pris le stéthoscope et a commencé à m’ausculter. Il avait pris soin ( charmante attention) de réchauffer un peu l’objet avant de le poser sur mon buste. Je n’osais pas bouger. Sa main si près de ma peau, qui posait l’instrument avec beaucoup d’attention me donnait des frissons. Les poils de mes bras étaient tout hérissés. Il était debout à côté de moi et sentir son corps presque à me toucher m’a mise dans tous mes états. Je pouvais sentir son eau de toilette enivrante et presque la chaleur de son corps. Il me demandait de respirer fort pour écouter mes poumons et sans même m’en rendre compte j’ai eu comme un petit gémissement de bien-être. Mon corps était tout tendu mais tendu de désirs inavouables. Il me faisait toujours autant d’effet et je m’imprégnais de son odeur avec délectation.
Quand le tissu de sa chemise a frôlé mon sein juvénile, j’ai senti une bouffée de chaleur m’envahir. Mon téton a pointé d’un coup, je ne savais plus où me mettre. Je ne le regardais toujours pas mais je sentais son regard ironique peser sur moi. J’ai eu l’impression que cela durait plus que d’habitude. Qu’il prenait un malin plaisir à me torturer. C’était comme s’il jouait avec son stéthoscope, le posant de-ci delà, plus qu’il n’aurait dû et toujours ses frôlement du tissu sur mes seins qui me faisaient frissonner de partout, c’était presque des caresses. Mes tétons érigés par le plaisir ne pouvaient pas lui passer inaperçus. J’ai senti que ma petite chatte était toute excitée.
Quand il a enfin posé l’instrument j’ai eu un instant de répit. J’étais à la fois soulagée mais terriblement bouillonnante de l’intérieur. Tandis qu’il ausculté mes oreilles, il m’a demandé comment se passait mes études, si j’avais un petit copain. J’avais un peu repris mes esprits et j’essayais de lui répondre le plus naturellement possible mais avec quand même un léger tremblement dans la voix. C’est presque dans un souffle que je tentais de répondre, trop submergée par le désir que provoquait cet homme en moi. J’avais beau essayé de ne pas y penser, mais je revivais dans ma tête mes orgasmes de jeunes fille quand je fantasmais sur lui et que je me caressais en pensant à lui me faisant l'amour.
Dans un semi brouillard je l’ai regardé à la sauvette et je n’ai pu que remarquer l’éclat dans son regard. Un éclat à la fois charmeur, presque fiévreux et amusé à la fois. Il avait dû se rendre compte de mon émoi et du coup il ne me regardait plus comme la petite fille qu’il avait vu grandir. J’ai vraiment eu le sentiment qu’il me regardait comme une jeune femme attirante pour qui il éprouvait du désir. Je me suis sentie flattée, cela m’a plu de sentir cette convoitise dans ses yeux, cette envie à peine dissimulée. Son coté séducteur reprenait le dessus et j’y avais droit pour une fois et j’adorais ça. Il ne me considérait plus comme une petite fille. J’étais toute émoustillée de plaire ainsi à cet homme mur et si canon.
Quand il a ausculté ma bouche, avoir son visage si près, sentir son haleine chaude sur moi, a enflammé mon bas-ventre. J’avais une folle envie de lui. Puis il m'a dit :
- Tu est vraiment une jolie jeune femme
J'étais trop contente, qu'il me dise ça, ça m'a complètement libérée...
il s’est repris aussitôt.
- Excuse-moi, je n’aurais pas dû dire ça.
Il s’est écarté de moi mais j’étais trop bouillonnante à l’intérieur, j’avais trop envie qu’il me prenne alors dans une pulsion incontrôlable, presque brutalement, j’ai saisi son bras pour le ramener à moi. Et c’est moi qui l’ai embrassé passionnément. Il ne lui a pas fallu longtemps pour répondre à mon baiser. Il en avait autant envie que moi. C’était un baiser fougueux, nos langues qui s’emmêlaient, s’enveloppaient langoureusement, passionnément, c’était un pur délice. Je sentais ma chatte toute humide de désir. Alors c’est allé très vite. Une fièvre rageuse s’est emparée de nous. Nous n’étions plus nous même. Ses mains sont remontées sur mes petits seins avec rudesse. Il les malmenait, les triturait avec bestialité. J’étais aux anges, dévorée par le plaisir qui m’animait. Lui aussi semblait perdait le contrôle. Nos bouches se mangeaient, se dévoraient.
Alors j’ai pris l’initiative de descendre de la table et de m’assoir sur le petit escabeau. Frénétiquement j’ai ouvert son pantalon et sorti sa belle queue qui bandait déjà fort. Ma langue s’est appropriée cette hampe majestueuse, je la léchais sur toute la longueur, je montais, redescendais laissant des trainées luisantes de salives. Je titillais le gland de ma bouche gourmande et puis j’ai englouti l’engin, prenant bien soin de l’enfoncer profondément dans ma gorge. J’ai aimé le gout de sa bite, son odeur, sa texture. Mes mains caressaient ses boules avec délectation. Ma bouche allait et venait voracement, avec gourmandise. Il a pris ma tête entre ses mains pour accélérer la cadence. Il grognait de plaisir et ça me faisait encore plus mouiller. Mon corps était incandescent de désir, c’est un brasier qui se consumait dans mon ventre. Sa queue continuait de baiser ma bouche à un rythme effréné.
Puis il s’est finalement écarté, est allé chercher un préservatif dans un tiroir et l’a déroulé fébrilement sur sa queue raide. Il était en transe, les yeux aveuglés par l’excitation.
Humm, il allait me baiser, je n’attendais que ça.
Il m’a plaqué contre la table, dos à lui. Il avait un regard fiévreux, je ne l’avais jamais vu comme ça mais faut dire que je l’avais bien cherché…
Je me suis penchée docilement sur la table d’auscultation, lui tendant ma croupe juvénile. Il a guidé sa queue dans ma fente et m’a pénétrée sans tendresse, bestialement. Puis il a saisi mes hanches frêles et s’est déchainé sur moi. L’orgasme montait en moi. J’aime tellement être prise comme une petite pute. Il me démontait royalement, sa respiration s’accélérait au rythme de ses coups de rein. Je gémissais doucement, essayant de faire le moins de bruit possible. Mais j’avais besoin de me lâcher.
- Oh oui, ouii encore, plus fort ! Défonce-moi la chatte !
J’étais tellement excitée que j’ai osé des mots crus avec mon docteur et que je l’ai tutoyé. J’étais au bord de la jouissance. Et je sentais que cela l’excitait encore plus. Lui me pilonnait si fort que par moment cela en était douloureux et tellement bon à la fois. Agrippé à mes hanches, j’ai cru plusieurs fois qu’il allait briser en mille morceaux mon corps menu sous ses assauts déchainés.
Mais plus il me faisait mal et plus j’en redemandais. Il a encore accéléré la cadence, j’en avais du mal à me maintenir contre la table. C’est monté et monté encore et j’ai senti les contractions de mon vagin annonciateurs de mon orgasme. Les spasmes de plus en plus rapprochés, la chaleur diffuse qui envahit tout le corps et enfin la jouissance libératrice. J’ai senti mes sucs intimes s’écoulaient le long de mes cuisses et d’en un râle, mon beau docteur a tout craché, excité par mes derniers gémissements de femelle assouvie.
Nous nous sommes vite rhabillés car d’autres patients l’attendaient. Il m’a fait mon ordonnance vite fait et il m’a fait promettre de garder le secret et que surtout il fallait voir ça comme un moment d’égarement, de pure folie. Que cela ne devait pas se reproduire. En l'entendant dire ça, j'avais l'impression qu'il avait prononcé cette phrase des dizaines de fois. Tempi, j'ai adoré....
J’ai acquiescé pour le rassurer mais il est clair pour moi que la prochaine fois que je serai malade, j’ai bien l’intention de me faire sauter à nouveau par mon beau docteur et je suis certaine qu'il sera d'accord.
Et j’irai sans culotte cette fois…
Au fait c’est quand même bien une bronchite que j’avais ;)
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le et fais-toi plaisir ;)
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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Corrigé et résumé par Dialogue69 le 20/12/2013
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