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Histoire de cul : Baisée sans capote par son patron

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de cul : Baisée sans capote par son patron

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Coucou à tous,

    Je m’appelle Élodie et j’ai 23 ans. Je suis blonde, les cheveux longs raides et de beaux yeux noisette très doux. Mais il ne faut pas se fier à cette douceur que je dégage car je suis une vraie bête de sexe. J’aime faire l’amour de façon torride, imprévue et surtout dès que l’envie me prend. Je n’ai pas froid aux yeux ni ailleurs et comme la nature m’a quand même gâtée question physique, j’en profite.

    Je viens ici car je crois avoir un petit moment sympa à vous raconter, en espérant que je recevrais un sex-toy en échange...

    Je suis souvent en tailleur avec des jupes très serrées et assez courtes qui mettent mon petit cul rebondi et mes jolies jambes fines en valeur. J’en porterais de bien plus courtes si cela ne dépendait que de moi, mais je bosse dans une agence immobilière depuis 6 mois alors je ne peux pas non plus être trop provocante.
    C’est mon patron, qui, après m’avoir embauchée, m’a dit de façon très diplomate que je devais faire attention à ma tenue vestimentaire avec les clients. En gros ne pas être aussi aguicheuse. Il m’a dit que si mon côté très sexy devaient beaucoup plaire aux hommes (j’ai d’ailleurs compris à son sourire que cela n’était pas pour lui déplaire…), cela pouvait être un frein à la vente du côté des épouses qui pouvaient me voir comme un danger potentiel…

    Alors je me tiens plus ou moins à carreau, au moins quand les épouses sont là.
    Je suis une fille séductrice à l’extrême et j’aime jouer de mes charmes. Marc, mon patron, l’a compris de suite, lors de notre premier entretien. Ça se sent ces choses-là… J’ai le bagout et le physique pour ce boulot, même si parfois Marc est obligé de me rappeler à l’ordre. Je suis un peu évaporée comme fille j’avoue, mais c’est ce qui fait mon charme aussi.

    J’ai couché avec mon patron assez rapidement faut dire, cela devait faire 2 mois que j’étais dans l’agence. Au début je le suivais dans tout ce qu’il faisait, expertises, visites, prospection et cela a créé des liens rapidement, vous vous en doutez bien. Moi minaudant, toujours le plus pro possible mais pas du tout insensible à ses charmes. Ensuite il m’a attribué un collègue en binôme et donc je passais moins de temps avec lui. Au bout de deux mois il donc a voulu me mettre en situation concrète pour analyser mes progrès.

    Et c’est donc ce jour-là où il me faisait visiter une maison à vendre et dont les propriétaires étaient absents qu’il a fini par me sauter dessus. Faut dire que je cherchais ça depuis le départ. Il a 35 ans, bien bâti, toujours en costume, un sourire ravageur, un séducteur lui aussi. On savait tous les deux que cela allait finir comme ça. Mais c’est vrai aussi que la phase de séduction, c’est un truc que j’adore, savoir que l’on va finir dans le lit de l’autre mais sans savoir quand !lol Quand nous étions seuls je l’allumais insolemment, mais jamais je n’ai fait le premier pas. C’est mon patron et je ne suis pas bête non plus. Donc j’ai attendu patiemment qu’il vienne à moi.

    Ce jour-là, nous avions mangé au resto tous les deux et comme il avait fait une grosse vente la veille, on a fêté gentiment la transaction. Un petit apéro, un peu de vin pendant le repas, j’étais un peu euphorique et particulièrement allumeuse.
    Il avait prévu l’après-midi une visite durant laquelle il jouerait un acquéreur potentiel et je devais lui faire la visite en mettant en pratique tout ce que j’avais appris.
    J’ai vraiment pris la chose très au sérieux et en élève appliquée et charmeuse, je lui ai montré la maison de fond en comble, positivant les points qui auraient pu être un frein à la vente et en insistant sur les atouts. Il essayait de me déstabiliser avec des questions piège, mais je ne m’en suis pas trop mal sortie pour une première fois.
    Quand on est monté à l’étage, j’ai fait exprès de passer devant lui, pour qu’il puisse bien mater mon petit cul moulé dans sa jupe. Je dandinais des fesses, sentant son regard insistant posé sur ma croupe et ça m’excitait.

    On est redescendu dans le séjour en rigolant et tandis que je lui demandais ce qu’il pensait de la maison, il m’a pratiquement sauté dessus. Accoudés sur le bar, dans un geste vif, il m’a attiré à lui et m’a embrassé avec fougue. J’en frétillais de joie. Je n’attendais que ça et je me demandais quand il allait enfin se décider. Un baiser ardent, torride qui vous fait vibrer de tout votre être et semble ne présager que du bon pour la suite. Je le sentais ultra excité lui aussi, empressé, me pelotant les fesses de façon presque vulgaire. Mon cœur battait la chamade et je me suis sentie défaillir sous ses caresses. Ma foufoune était tellement excitée que je sentais mon string se mouiller de plus en plus. J’avais une envie sauvage qu’il me baise.

    - Tu attendais que ça hein ? m’a-t-il dit.

    Je n’ai pas répondu, toute concentrée que j’étais à gémir sous ses caresses pleines de fougue. Il a défait prestement mon chemisier pour découvrir mes seins et mes tétons déjà tendus par l’excitation. Il s’en ai emparé à pleines mains presque qu'à les mâcher tellement il les pétrissait puis sa bouche est descendue voracement de mes lèvres à mon cou pour finir sur mes seins. Ils les dévoraient littéralement. Tout mon corps se tendait vers lui. J’avais envie de ne faire plus qu’un avec cet homme. J’étais animée d’un désir bestial de me faire prendre.

    Il a glissé sa main sous ma jupe et a commencé à jouer avec la ficelle de mon string. Tirant dessus, il faisait frotter la ficelle tantôt sur ma chatte tantôt la faisait coulisser entre la raie de mes fesses. Ma fente se liquéfiait de plus en plus. J’étais ardente, folle de désir. Il a finalement remonté ma jupe jusqu’à la taille et d’un mouvement autoritaire m’a plaqué le ventre contre le bar. Dos à lui, je lui ai tendu ma croupe qui ne demandait qu’à se faire emplir.
    Vite fait, il a déboutonné son pantalon, sorti sa queue raide de son caleçon et s’est amusé un moment à me caresser l’anus et la chatte avec sa bite. Même pas il a pris le temps d’enlever son pantalon. C’était un coup à la va vite mais j’aime ça, le cul juste pour le cul. Il voulait me faire languir le salop. Je n’en pouvais plus. Je voulais qu’il m’emplisse bien profondément, qu’il me fasse jouir comme une chienne en chaleur. Il s’est enfin décidé à me fourrer sa queue dans la chatte. Humm mon dieu que c’était bon ! Il s’en donnait à cœur joie.
    Il me défonçait comme une brute épaisse et je couinais de plaisir d’avoir cette bite imposante dans mon ventre. Je gémissais, fermant les yeux pour savourer ce moment d’extase. Ma jouissance montait trop rapidement. J’aurai voulu savourer plus longuement cette ascension vertigineuse de l’orgasme. Il n’allait pas m’en falloir beaucoup pour jouir rapidement mais je sentais que lui aussi n’était pas loin de l’éjaculation. Nous avions trop attendu et l’accouplement en était bestial et féroce. Il redoublait de coups de reins de plus en plus fort, de plus en plus vite. Agrippé à mes seins comme un fou, cela en était presque douloureux. La peau tendre de ma poitrine subissait les meurtrissures qu’il m’infligeait dans un mélange de douleur et d’excitation extrême. Je n’en pouvais plus.

    - Oh oui c’est bon ! Encore ! Défonce-moi !

    Mon plaisir était trop extrême, il fallait que je l’exprime!

    Il s’est mis à taper encore plus fort dans ma chatte en feu et c’est un feu d’artifice qui s’est propagé comme un raz de marée dans tout mon corps. J’ai joui, oh oui j’ai jouiiii dans un long gémissement de chienne en chaleur. Il a continué à me pilonner un petit moment mais il n’en pouvait plus lui aussi, il m’avait attendu et maintenant que j’avais joui, il pouvait se vider en moi.

    Dans un ultime assaut où j’ai eu l’impression qu’il m’avait déchiré les ovaires, tellement le coup avait été puissant et profond, il m’a craché tout son bon jus dans la chatte. J’ai senti la tiédeur de son foutre s’écoulait en spasme dans ma fente. Alors je me suis retournée, accroupie et j’ai léché voracement le sperme qui coulait encore un peu de sa queue, le tout mêlé à ma cyprine. Je l’ai léché pour bien tout recueillir jusqu’à la dernière goutte. En véritable petite dévergondée, je le fixais d’un regard de salope en procédant au nettoyage soigné de sa bite qui maintenant s’était ramollie.

    Quant à moi, j’ai senti entre mes cuisses couler ma mouille mélangée à son sperme qui s’écoulait entre mes cuisses et je suis allée vite faire un brin de toilette pour me nettoyer et ne pas sentir le sperme à trois km. Ben oui, quand on vient de faire l’amour, on dégage cette odeur de sperme et de mouille mélangés, si caractéristiques.

    Depuis nous nous sommes faits plusieurs plans culs en toute discrétion mais toujours à l’improviste. Sachant qu’il s’agit d’un bon père de famille avec 3 enfants, pas question que ça se sache. Et moi cela me convient très bien.

    Voilà comment je suis devenue la maîtresse épisodique de mon patron. Si j’ai le temps, je vous raconterais les autres fois un peu originales où nous avons baisé comme des bêtes.

    Bisous mouillés.

tel rose voyeur

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Fantasmeagogo :
Qu'est ce que j'aimerais me faire prendre à la sauvage bestialement tu m'a fait mouiller comme une grosse chienne !!!
Posté le par matt :
Merci chérie pour cette histoire
isa42 fais nous partager ton histoire en detail
Posté le par chatte en chaleur :
Ton histoire m'excite. Je suis trempée. Envie de me faire baiser comme une chienne tout de suite. Mais comme je suis seule je me masturbe. Trop envie de jouir ....
Posté le par Anonyme :
Je mouille en te lisant... Trop envie de sentir la grosse bite noire de mon amant au fond de ma chatte!!!
Posté le par isa42 :
hum petite dévergondé que tu es...
Y ta carrément craché dans la chatte...
Moi y mé arrivé la mémé histoire avec un ami de mon mari un boulanger qui aime ça... a la seul différence il ma craché sur les fesses...
Ton histoire ma trempé le string...
Je pense que je vais allé chercher le pain...
Posté le par mouillette :
Oui trop bon !!!! rien de tel qu'un bon coup dans une excitation extrême. J'adore baiser pour baiser !!!
Posté le par cochon17 :
vite une suite à bientôt de te lire
Posté le par gros seins :
hmmm j'ai troop aimé ton histoire à suivre... hein
Posté le par Coquine :
J'aurais aimé être à ta place Élodie..
Trop excitant, J'attends la suite avec impatience.
Posté le par Anonyme :
J'aurai aimer avoir une employée comme toi, chienne allumeuse, bandante et qui aime le sexe bestial
Posté le par Anonyme :
Tu es une belle petite chienne mais tu fais bander grave
Posté le par Anonyme :
oh oui raconte nous en d'autre !!!
Posté le par Anonyme :
Hummm j'adore je bande comme un dieu
Posté le par Franck 13 :
Trop bandant !!!!!!!!!!!!
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