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Histoire erotique : Deux lesbiennes dans le train
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35Histoire erotique : Deux lesbiennes dans le train
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 28/04/2013
Publié le 28/04/2013
Bonjour/ Bonsoir, coquins et coquines de dialogue69,
Comme je ne me suis pas encore présentée, je vais le faire via ces quelques lignes. Je m’appelle Kim, j’ai 19 ans et vit en Belgique. Je ne suis pas très grande et possède une carrure sportive (taillée depuis quelques années par les séances en salle de sport). J’ai un peu partout sur le corps quelques tatouages et piercings que vous découvrirez sans doute au fil de mes passages.
Dans ma première histoire, je vous faisais par de mon expérience dans un parc publique. Cette fois, restons dans cette lignée, je vais vous parler d’une expérience beaucoup plus récente qui s’est passée dans un train.
Après une longue relation de trois ans, de mes 15 ans à mes 18 ans avec la même fille, elle me plaqua. Ça arrive, j’en suis bien remise et ce n’est pas le sujet du jour. J’ai eu malheureusement une longue phase de vide sexuel. Ça c’était beaucoup plus grave. J’ai rencontré quelques filles en soirées, mais ça ne s’est jamais réellement concrétisé.
Puis un jour, je fis la connaissance d’une charmante demoiselle qui fréquentait la même salle de sport que moi. Je ne sais pas comment j’ai fait pour la louper tout ce temps. Grande, brune avec des yeux à tomber à la renverse et un corps de rêve. Pendant quelque temps nous avons conversé et un jour elle m’a invité à dîner. C’est le début de notre histoire. Maintenant, cela fait cinq mois et je dois dire qu’elle cachait bien son jeu la coquine. J’en viens à ce que vous attendez toutes et tous, les détails croustillants.
Récemment, nous avons décidez de passer un week-end chez moi. Rien que nous deux. Je suis donc allée la chercher, vu que c’était la première fois qu’elle mettrait un pied à la maison. Nous sommes restées en ville un moment, nous avons mangé et avons fini sur un banc profitant de quelques rayons de soleil tant attendu. J’étais dans ses bras, ma main caressant son ventre (que j’adore, avec ses abdominaux naissant). Elle me prit par la nuque et vint m’embrasser, un baisé que j’avais peu l’habitude de connaitre. Un baisé chaud, plein d’envie. Je lui fis la réflexion en la taquinant un peu. Sa réponse ne se fit pas attendre, elle posa sa main sur mon intimité, par-dessus mes vêtements et me murmura au creux de l’oreille :
- « Tu vas voir si j’ai envie de toi quand on sera rentrée… Cette fois, tu ne pourras pas rester silencieuse ! »
C’était la première fois que je la sentais dans cet état. Il faut dire que la nature n’avait pas vraiment bien fait les choses et qu’à chaque fois que nous pouvions nous voir en privé, je ne pouvais que l’exciter encore un peu plus (ce que j’adore faire ;) ).
Je vins me mettre à califourchon au-dessus de ses cuisses, exhibant, au travers de la chemise bleue légèrement entrouverte, ma poitrine juste sous son nez. Je la regardai un instant dans les yeux, un air de défi, amusée, dans le regard. Soudainement beaucoup plus douce, elle posa ses lèvres dans mon cou, puis sur mon épaule, entre mes seins, elle me mordit. Ses mains sur mes fesses qu’elle massait tendrement, glissant ses doigts de plus en plus vers mon intimité, me firent frissonner. Nous avons continué un moment à nous exciter « gentiment » avant de nous diriger vers la gare, le ventre douloureux.
Le train arriva environ cinq minutes après notre arrivée, avec une petite idée derrière la tête, je pris le temps de voir où se situait le contrôleur. Une fois dans le train, je pris ma copine par la main et l’entraîna dans le fond, dans le dernier wagon, là ou une seule porte donnait sur le reste du train. Choisissant le dernier siège, je l’y poussai et vint me remettre encore une fois à califourchon au-dessus d’elle. À cette heure-ci, il y avait à peine cinq personnes de plus dans l’entièreté du train et le voyage durait plus d’une heure avec deux arrêts juste avant le nôtre.
Quand elle vit mon sourire, elle comprit bien vite ce que j’avais derrière la tête en l’emmenant si loin de tout signe de vie. Elle glissa ses mains sous ma chemise pour me griffer le dos en signe d’approbation. Je me décalai légèrement vers le début de ses jambes pour défaire son bouton et sa fermeture éclair, mais elle m’en empêcha. Je restai un instant surprise avant de me retrouver un genou sur le siège, debout sur une jambe et le pantalon légèrement baissé. Elle avait pris soin de me mettre de façon à ce que je puisse voir si le contrôleur ou toute autre personne arrivait.
Rien qu’à l’idée qu’elle me prenne ainsi dans le train me faisait encore plus mouiller. Ce qu’elle me fit remarquer en entrant deux de ses doigts en moi, qui me mordait la lèvre pour rester silencieuse. Elle commença un vas-et-viens doux et lent, très lent, trop lent. Je lui fis remarquer en insistant sur ses doigts avec mon bassin. Je la sentis se pencher sur moi en ajoutant un doigt.
- « Tu es impatiente de prendre ton pied on dirait, comme je n’ai pas trop envie de faire trainer les choses.. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je sentis ses doigts entrer et sortir beaucoup plus vite, m’arrachant un gémissement incontrôlé. Je devais me forcer pour ne pas fermer les yeux, pour rester à l’affut du moindre visiteur. Mais avec ses doigts qui allaient et venaient en moi si rapidement et avec force, j’avais énormément de mal.
Ensuite, elle enfonça un quatrième doigt en moi, tout en gardant ses doigts profondément pour les agiter. Elle me mordit les fesses, me faisant me cambrer un peu plus. Elle reprit ses vas-et-viens, plus lent, mais plus profond et puissant. De son autre main, elle vint caresser mon clitoris, le pincer et le faire rouler sous ses doigts. Elle accéléra la cadence, entrant et sortant presque entièrement ses doigts en moi. Ma jambe tremblait, j’étais agrippée à la barre du siège, les articulations blanchies. Elle jugea que ce n’en était pas encore assez.
Mes yeux se fermèrent tout seul quand je sentis sa main entrer en moi, très lentement. C’était la première fois qu’elle m’infligeait un tel traitement, jamais je ne lui avais dit que j’aimais ça et surtout à quel point je pouvais aimer ça. Je tournai la tête pour voir sa réaction et elle me regarda en se mordant la lèvre et en souriant. Elle accéléra le rythme, mon vagin s’étant habituée à la taille de sa main. Je me mordais la main pour ne pas crier, je n’en pouvais plus.
Quand soudain, au loin je vis le contrôleur arriver. D’un mouvement de bassin, je fis sortir sa main de mon intimité et remis mon pantalon, ressentant une drôle de sensation en me remettant à la place. Je cherchai dans mon sac et sortit les deux tickets de transport. Une celui-ci passé et la porte refermé, ma copine me regarda et me dit :
- « Si j’avais su que tu aimais ça a ce point, je t’aurais donné ce plaisir plus tôt. Allez, remet toi en position, il nous reste vingt minutes et nous sommes enfin tranquille.. »
Rougissant, je baissai mon pantalon, me mettant dans la même position que tout à l’heure. Elle enfonça ça main d’un coup, sans plus aucune préparation. J’étais tellement mouillée, qu’il n’y eu aucun problème.
Les minutes passèrent et le rythme de ses vas-et-viens eurent raison de moi. Je jouis, enfermant sa main à l’intérieur de moi en laissant échapper un cri aigu. Elle déposa de tendre baisé dans mon dos et me laissa me rhabiller.
Le train s’arrêta et je la conduis chez moi, pour un petit weekend en amoureuses. Nous avons bien profité l’une de l’autre pendant trois jours et trois nuits, évidemment.
Merci pour votre lecture coquins et coquines,
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Commentaires
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Kim-Lesbos
L'été de mes 18 ans
Je m'appelle Claire et j'ai 19 ans. Je suis blonde, je mesure 1m68 pour 54 kg, j'ai les cheveux mi- longs, une peau assez blanche. J'aime bien mon corps, quoique je préfèrerais avoir davantage de fesses et de poitrine. Je fais un petit 85B, et mes seins ont des aréoles pales assez fines, mais très sensibles aux caresses.
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Jeune couple de lesbiennes mignon
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 04/01/2013
Publié le 04/01/2013
Une charmante coquine nous raconte une soirée avec sa copine. Pour les filles qui aiment les filles, vous allez aimer cette histoire.
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