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Histoire de sexe : Elle fait encore cocu son mari

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    Histoire de sexe : Elle fait encore cocu son mari

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Coucou tout le monde,

    J’espère que vous allez bien et que vous avez bien débuté l’année.

    Moi, après mon aventure avec le chauffeur de taxi savoyard, je me suis calmée. Car j’ai quand même fait fort pour le coup, et cela ne me ressemble pas trop de faire du rentre dedans au premier venu. En règle générale, mes adultères c’est toujours avec des collègues de boulot ou des gens que j’apprends un minimum à connaître. Et puis comme je l’ai déjà dit, je ne cherche pas le plan cul absolument. Cela se fait tout seul par rapprochement naturel entre deux personnes qui se désirent.

    Et là j’ai récidivé avec Arnaud. Vous vous souvenez cet ancien collègue avec qui j’ai travaillé un moment et qui me faisait du gringue. Je n’avais jamais marché dans sa combine mais 1 ans plus tard, alors que nous ne travaillions plus ensemble mais toujours dans la même boite, j’ai eu une mission dans son cabinet, nous avions finalement franchi le pas. Il avait beaucoup changé et je m’étais laissée séduire sans trop de difficultés. Nous avions fait l’amour de façon torride dans son bureau.

    J’avoue que plusieurs fois ensuite, il avait essayé à nouveau de me contacter mais il était loin, à 70 bornes et ce n’était pas vraiment jouable. J’avais fini par lui dire que la distance était trop grande, que le boulot nous prenait beaucoup de temps et que surtout moi j’étais mariée, donc pas possible le weekend non plus.
    Mais je laissais une ouverture en lui disant que l’on serait sans doute amené à se retrouver pour le boulot.

    Avant les fêtes de fin d’année, j’ai reçu une invitation de mon ancien directeur de l’époque. Pour son départ en retraite, il conviait toutes les personnes qui avaient travaillé pour lui, à un apéritif dinatoire dans le cabinet le plus grand de la région, qui pouvait accueillir tout le monde dans la salle de réunion qui se situait au 2ème étage.

    Et bien entendu, j’ai eu une pensée pour Arnaud qui allait être présent. Cela m’a fait sourire car j’étais contente de pouvoir le revoir.

    C’était vendredi dernier et j’avais décidé d’y aller habillée comme je vais au boulot. Il ne s’agissait pas d’une soirée vraiment mondaine donc je m’y suis rendue en tenue de travail,tailleur rouge, escarpins noirs.

    Arnaud était déjà arrivé et j’ai eu l’impression qu’il attendait après moi. Il ne m’avait pas encore vu arriver et il fouillait l’assemblée pour essayer de me trouver. Quand il m’a vu, il m’a adressé un petit salut de loin, mais je devais d’abord sacrifier aux politesses d’usage. Serrage de mains, embrassades, je passais d’invités en invités sans trop me soucier d’Arnaud. Pourtant je sentais qu’il me surveillait d’un œil.
    Certains, je ne les avais pas revu depuis un sacré moment et j’étais ravie de les retrouver alors je discutais, prenais des nouvelles des uns et des autres, prenant mon temps en fait... Connaissant l’’impatience d’Arnaud, j’étais sûre qu’il devait fulminer intérieurement et ça m’excitait.
    J’ai d’ailleurs à plusieurs reprises, surpris son regard contrarié derrière son sourire de façade et ça m’a fait jubiler. Alors je me suis plu à en rajouter un peu. C’est son côté enfant unique impatient qui ressortait. Je l’ai volontiers imaginé trépignant comme un enfant gâté qu’il est…

    Au bout d’une bonne heure, je suis enfin arrivée au groupe avec lequel il discutait et là il a commencé à m’accaparer. C’était mignon mais en aucun cas, je ne voulais que transparaisse trop de complicité entre nous alors j’essayais tant bien que mal de discuter avec tout le monde. Les groupes se faisant et se défaisant, il a finalement réussi à m’isoler un peu.

    - Tu as signé le livre d’or pour Jacques?
    - Ah non pas encore. Il est où ?
    - Au rez de chaussée avec le cadeau. On y va si tu veux ? Je t'accompagne.

    C'était plus un ordre qu'une proposition. Sacré Arnaud! Il ne perd pas une occasion.
    On a emprunté l’ascenseur et dès que les portes se sont refermées il m’a plaqué contre la paroi.

    - T’es vraiment chiante à pas vouloir qu’on se voit en dehors du boulot !

    Il s’est mis à me peloter les fesses et à chercher ma bouche avidement. J’ai détourné la tête en rigolant pour éviter le baiser mais j’adore son impatience quand il s’agit de sexe.

    - Arrête, on arrive au rez de chaussée !

    Je l’ai vivement repoussé quand les portes se sont ouvertes.

    Notre petit mot de sympathie écrit, nous avons discuté 5 mn avec les collègues présents puis nous sommes dirigés vers l’ascenseur.

    - Attends, on prend l’escalier cette fois. C’est bon pour les fessiers. Me dit-il avec un clin d’œil.

    Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire. Mais à peine arrivé sur le seuil du 1er étage, il m’a attrapée par la main pour m’entrainer au fond du couloir dans un des nombreux bureaux vides. Je n’ai pas osé l’engueuler de peur que les autres convives se demandent ce qu’il se passe. Il m’a poussé dans le bureau le plus au fond et a refermé la porte. Il a baissé les stores des baies vitrées pour ne pas être vu du couloir.

    - Mince t’exagère! On pourrait nous surprendre !

    J’étais un peu contrariée de ses manigances mais aussi amusée et terriblement excitée de son empressement.

    - C’est toi qui abuse ! Tu ne veux pas que l’on se voit en dehors du boulot et c’est pas tous les jours que tu viens dans mon cabinet !

    En disant ça, à nouveau, il m’a collée contre le mur et a recommencé à me tripoter. Ses mains sont arrivées à passer sous ma jupe hyper serrée qui me fait un si joli petit cul.

    - Putain j’ai trop envie de toi. Ça me manque de pas pouvoir te baiser. Tu sais je me branle souvent en imaginant ta paire de nichons.

    Ces mots me faisaient chaud dans le ventre et quand il m’a embrassé je ne l’ai pas repoussé. J'étais trop excitée. Au contraire, j’ai répondu à son baiser avec beaucoup de gourmandise. J’avais quand même l’appréhension que l’on soit surpris mais c’était en même temps terriblement excitant.

    Savoir les autres en haut dans les mondanités alors que je me faisais carrément peloter un étage en dessous… L’idée était monstrueuse jouissive.

    Alors ses mains ont relevé ma jupe et il m’a pétri les fesses avec force. Une douce chaleur m’a envahie. Ses mains ont déboutonné impatiemment mon chemisier et il a fait jaillir mes gros seins du soutien-gorge en dentelle blanche. Il les malaxait, faisait rouler mes tétons entre ses doigts et je sentais que je mouillais abondamment. Mon corps se cambrait, j’avais envie de lui.
    Il a délaissé ma bouche pour enfouir la sienne entre mes seins. Comme un petit chiot, il me les tétait, faisant durcir de plaisir mes mamelons érigés. Mes seins c'est son fantasmes! Je gémissais doucement. C’était bon ! Sa main s’est engouffrée en même temps dans mon string tout trempé. Il a titillé mon abricot et des décharges électriques m’ont irradié le corps. Il savait y faire le cochon !

    Puis vivement il a enfoncé deux doigts dans mon minou tout ému. Il entrait et il sortait de plus en plus vite. J’ondulais lascivement de la croupe pour me calquer sur les mouvements de ses doigts. Du pouce, il caressait toujours mon clitoris tout sensible. Je n'en pouvais plus, je devenais chienne avide de sexe. Alors j’ai attrapé son visage entre mes deux mains et je l’ai fait remonter brutalement jusqu’à ma bouche. Avant de l’embrasser voracement, je lui ai dit :

    - T’es un salop de me faire ça ici ! J’ai trop envie là! Baise-moi !

    Il a défait sa braguette et a sorti son sexe doté d’une belle érection bien vigoureuse. Il m’a attrapé une jambe et l’a coincée avec son bras contre sa hanche. Il a saisi sa queue bien dure et l’a fourrée dans mon petit minou tout poisseux de plaisir. Et il a commencé les va et vient. Il me pénétrait par des mouvements amples et brutaux. Plus il entrait loin en moi et plus la jouissance montait.Les mains crispées sur ses fesses, je guidais la cadence pour savourer chaque coup de rein. Je gémissais et j’étais obligée de me mordre les lèvres.

    - Tu vois que tu aimes que je te baise ! Dis-moi qu’on se reverra après !
    - Arrête de parler, fais-moi juste l’amour !
    - Je te fais pas l’amour, je te baise, ma petite vicieuse. Dis-moi que l’on se reverra plus vite ou j’arrête de te sauter.

    Ah le saligaud. Il ne pouvait pas me laisser sur ma faim! C’était lui qui avait le contrôle de la situation là et c’était terriblement excitant et frustrant aussi, de me sentir à sa merci. Mon dieu je mouillais comme une pucelle. Je n’ai pas répondu et du coup il a cessé de me pilonner. Il mettait sa menace à exécution.

    Alors j’ai essayé de me faire plus chienne. Je l’ai embrassé goulument et j’ai essayé, de mes mains, de forcer son beau petit cul à reprendre les va et vient. Je pensais qu’il ne pourrait pas me résister. Mais il est resté de marbre, sa verge immobile plantée en moi. La frustration était trop grande. J’étais au bord de la jouissance et il ne pouvait pas me laisser en plan. Mais il tenait bon, il ne bougeait pas, son glaive dans mon fourreau, imperturbable, son regard me fixant à la fois ironique et colérique.

    Mes baisers fougueux n’y changeaient rien. Tout d’un coup, il m’a mordu la lèvre et je n’ai pas pu réprimer un petit cri de douleur. Il voulait me punir.

    - Alors ? Tu me laisseras te baiser plus souvent ?

    J’ai fini par répondre, mon corps devait être soulagé par un orgasme coute que coute:

    - Oui, oui mais fais-moi jouir là, je n’en peux plus !

    Alors il a repris le rythme, plus vite, plus fort. Il m’a besogné avec frénésie.Je n'étais plus qu'une garce qui voulait jouir à tout prix. Il me prenait fort, ses coups de butoir de bucheron rustre décuplait mon plaisir et c’est dans une longue plainte étouffée que j’ai joui intensément. De m'entendre couiner comme une chienne en chaleur, Arnaud n'a pas pu résister longtemps. J’ai senti le premier gonflement de son sexe en moi qui m'indiquait qu’il allait éjaculer, puis les spasmes successifs de sa verge ont déversé son foutre abondant dans mon minou tout englué.
    En se réajustant il m'a dit:
    - Tu as promis!
    - Hum hum ...

    Je l’ai laissé remonter tout seul au 2ème étage tandis que je partais aux toilettes du 1er pour faire quand même un brin de toilette et ne pas sentir la chienne en chaleur.
    Nous avons ensuite repris notre place parmi les convives comme si de rien n’était, mais en se jetant de temps en temps de petites œillades coquines et complices.

    Je n’aurai pas, matériellement le temps de le voir en dehors du boulot. Enfin je ne sais pas à vrai dire si j'ai envie de le prendre le temps.... Je crois que ce qui me chagrine c’est qu’il veut faire de moi sa maîtresse attitrée, qu'il puisse me voir régulièrement. Or il y a une différence entre un plan cul à la sauvette qui ne mène pas à conséquence et une relation suivie où il faut programmer, calculer. Et ça je ne sais pas si je suis capable de le lui offrir…
    Baisers doux.

tel rose voyeur

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
Oh la la très excitant,il me plait de faire pareil Avec ton amant.bravo ma belle,t'as la chance.il t'a fait l'amour,il ne t'a pas baiser
Posté le par Amifredi :
C'est vraiment doublement excitant de par la description et le scénario décrit...Nous attendons encore plud de toi
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