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Histoire de sexe : Elle se fait filmer
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26Histoire de sexe : Elle se fait filmer
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 08/10/2012
Publié le 08/10/2012
A 28 ans, je me trouvais plus désireuse que jamais de vivre de nouvelles aventures, de repousser chaque jour davantage mes limites. Brune, mince, avec une très forte poitrine, je multipliais les aventures sans lendemain dans le seul but de jouir de la vie en toute insouciance.
Un de mes camarade de jeux de l’époque était un jeune martiniquais qui était un véritable appel au sexe. Un corps d’Apollon, un sexe parfait, il connaissait les routes du plaisir et ne manquait jamais de m’inviter à le suivre dans ses périples. A chaque fois que nous nous voyions, nous ne tenions pas plus de dix minutes avant de nous sauter dessus et de nous dévorer. Il connaissait mon corps par cœur, savait les gestes qui me faisaient décoller : c’était un amant hors pair.
Depuis quelques jours, nous évoquions notre envie mutuelle d’inviter un autre homme lors d’un de nos ébats afin de nous filmer. Il n’était pas question que cet inconnu participe, il devait se contenter de cadrer. L’idée d’un inconnu se trouvant dans la même pièce que nous et me filmant dans l’exercice du plaisir m’excitait jusqu’alors secrètement.
Un soir, mon amant m’appela et me dit « C’est pour maintenant, viens ». Je n’ai pas demandé plus de détails, j’ai saisi mon sac, hélé un taxi, et j’ai filé chez lui. Sur le trajet, dans la banquette arrière du véhicule, je pressais fortement ma main contre mon sexe qui battait la chamade à l’idée de ce qui l ‘attendait.
Je suis rentrée dans le petit appartement. Il buvait un verre avec un jeune homme brun, mal rasé, genre bad boy. Je me suis installée avec eux, à peine gênée.
Très vite, mon sex friend m’a proposé de passer dans la chambre. Nous y sommes allés tous les deux. Il avait disposé des bougies tout autour du lit. Nous nous sommes déshabillés, et j’ai commencé à le sucer. Les boules d’abord, à coups de langue rapides, puis plus lents, jusqu’à les faire rouler doucement dans ma bouche.
L’autre jeune homme nous a rejoint discrètement, caméra au poing.
Il a commencé à nous filmer. Sans un mot.
Au bout de quelques minutes, alors que je jouais avec le gland de mon partenaire, je relevai la tête et remarquai que le cadreur amateur avait sorti sa queue de son pantalon. Il bandait fort.
Excitée par cette queue que je faisais bander, je commençai à frotter la bite de mon partenaire contre mon clitoris gonflé, et là, je sentis la main du jeune caméraman frôler le bout de mes seins, durs. Il me pinçait les tétons d’une main, et de l’autre continuait de filmer. J’étais plus excitée que jamais. Il n’était pas supposé agir ainsi, et c’est justement cela qui m’excitait.
Puis il poussa mon ami qui vint s’occuper de mes seins qu’il lécha tout doucement. Le caméraman se pencha vers moi pour me donner des coups de langue, encouragé par mon ami. Sa langue était chaude et habile, et je me sentais prête à exploser de plaisir.
Mon partenaire me retourna alors sauvagement pour me prendre en levrette. Alors qu’il s’enfonçait en moi, il tira d’une main mes cheveux, me forçant ainsi à pencher à tête en arrière. Je lâchais un cri de douleur. Il fit un signe à son ami pour lui indiquer quoi faire. Ils avaient visiblement tout arrangé avant ma venue. J’étais délicieusement piégée.
C’est à cet instant que l’autre saisit mon visage violemment, me forçant à ouvrir la bouche. Il y enfonça sa queue. Elle était assez courte, mais très large, avec un goût salé. Je le suçais au rythme des allées et venues de mon partenaire qui à présent me sodomisait.
Le caméraman amateur enfournait sa queue le plus profondément possible dans ma bouche tout en gardant la caméra en mains. Les hanches de l’un claquaient sur mes fesses alors que je faisais une gorge profonde à l’autre.
Puis les rôles s’inversèrent. Mon partenaire se mit en position pour que je le suce et son ami me prit les fesses. Il cadrait toujours, et de son autre main, il me donnait des claques sur le cul. Je ne pouvais pas crier, pas bouger : j’avais la bite de mon ami dans la bouche, et ce dernier, de ses mains retenait mes bras au dessus de ma tête afin que je ne puisse plus bouger. J’étais à leur merci.
Les deux hommes jouirent quasiment au même moment, me laissant à bout de souffle sur le lit. J’avais le sperme de mon ami plein la bouche lorsque nous nous relevâmes. J’avalai et essuyai mes lèvres, et aussitôt, nous visionnâmes la vidéo.
Je me voyais totalement soumise aux désirs de ces deux hommes, ce qui m’excita immédiatement. Je mouillais, et pris la main de mon ami pour la glisser entre mes cuisses afin de le lui prouver.
Nous n’avons pas attendu la fin de la vidéo avant de remettre ça une nouvelle fois.
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