Recit porno : Elle suce et avale au cinéma
- 406 44
Recit porno : Elle suce et avale au cinéma
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 27/01/2014
Publié le 27/01/2014
Bonsoir chers lecteurs,
Je suis vraiment fan des histoires du site et il y a un truc que j’avais envie de faire depuis très longtemps... Des cochonneries dans les lieux publics et notamment dans un cinéma, c’est un vieux fantasme que je n’avais jusque-là, jamais osé assouvir.
Si vous vous souvenez je suis grande, blonde, 35 ans, sportive et complétement libérée depuis mon divorce et j’entretiens une relation purement sexuelle avec Marc, qui est toujours aussi désabusée de voir que je ne prends absolument pas au sérieux notre relation. Ce qui me plait chez cet homme, en plus de son corps à la plastique presque parfaite, c’est que, malgré son charme, il est toujours resté assez timide. Et j’avoue que je prends un malin plaisir à le provoquer, voire le choquer, ça m’excite ! Et je ne peux pas m’en empêcher.
Mardi soir, nous nous sommes fait un ciné pour voir Philoména, un film dramatique assez triste d’ailleurs qui a reçu une très bonne critique. Je ne sais pas si vous l’avez vu.
Et comme d’habitude, malgré le film qui était très intéressant, j’ai eu une bouffée de coquinerie qui m’a traversée l’esprit. C’est tout moi ça .
Nous n’étions que 4 dans la salle et je me suis dit que c’était peut-être l’occasion ou jamais. Installés au fond de la salle, les 2 pelés présents étant devant, les risques me semblaient mesurés. J’étais obnubilée par l’idée de le caresser, de le faire bander et pourquoi pas de le prendre en bouche. Humm l’idée me donnait des frissons de plaisir et j’avais du mal à me concentrer sur le film.
Alors, mine de rien, j’ai passé ma main sous l’accoudoir et j’ai entrepris de caresser ses bijoux de famille à travers son jean. Il a repoussé ma main d’un geste un peu brusque tellement il a été surpris. Son regard me grondait comme si j’étais une vilaine petite fille vicieuse.
- Arrête, pas ici ! Me dit-il.
Vous vous doutez bien qu’il m'en faut plus pour m’arrêter. Alors j’ai récidivé, et je sentais sa verge gonflait tout doucement sous la pression de mes doigts, bien malgré lui. J'adore! Hihi. Il m’a repoussé à nouveau.
- Marion, t’es pas possible ! Je t’ai dit non ! Tu sais bien l’effet que tu me fais et t’en profite. T’es vraiment une garce !
- Eh tu vas te décoincer un peu ! Y a personne dans la salle. Personne ne nous surprendra. Allez détend-toi ! Laisse-moi faire, j’ai envie de te faire bander.
En disant ça, j’ai fait mon regard de petite fille prise en faute mais avec mon sourire de salope. J’adore le mettre mal à l’aise et je me sentais moi-même déjà toute humide. Il a poussé un soupir à la fois de résignation, d’embarras et d’amusement. J’avais gagné. Je le connais bien.
Alors ma main s’est à nouveau faufilée sur son jean et je caressais son sexe qui, malgré ses dénégations, avait déjà pris un bon volume. Sentir cette queue qui bandait sous mes doigts, grâce à moi et rien que pour moi, son corps un peu crispé à cause du lieu public me faisait maintenant mouiller comme une jouvencelle. J’avais un fol désir de le faire jouir. Mais il me fallait y aller progressivement avec Marc pour ne pas trop le brusquer.
Mais le caresser à travers le tissu n'était pas suffisant. J’avais une envie irrésistible de toucher sa peau, sentir sa chaleur, faire glisser ma main le long de sa queue déjà tendue comme un arc. Alors j’ai ouvert sa braguette. Il a eu un sursaut. Il allait contester mais je lui ai dit :
- chutt, tais-toi.
Il s’est résigné. Il sait qu'il ne peut rien me refuser. J’ai sorti cette verge en érection qui était un appel à la luxure. J’ai commencé à le branler doucement, pour ne pas trop le bousculer. Ma main enserrait sa tige, montait et redescendait en pressant plus fort quand je m’approchais de ses boules. Je faisais coulisser lentement son prépuce, son gland étant déjà à découvert par l’érection. Son gland luisant et gonflé était une invitation obscène à le sucer. Je me regardais faire et l’excitation montait en moi de façon de plus en plus intense.
Ma chatte, excitée par cette vision, s’humidifiait de plus en plus. Mon vagin était secoué de spasmes que je n’arrivais pas à contrôler. Je le sentais dilaté, prêt à accueillir cette bite qui aurait pu me faire jouir en 3 secondes.
Ma main allait et venait sur ce membre turgescent avec délectation. Je caressais ses boules bien pleines de ce bon jus gluant que j’adore sentir couler au fond de ma gorge.
Marc avait du mal à se contenir et il gémissait doucement, haletant de plus en plus vite. J’aime voir monter sa jouissance.
Alors, n’en pouvant plus, brulante de désir, j’ai relevé l’accoudoir et je me suis penchée sur cette queue qui n’attendait que ma bouche. Marc, déjà un peu parti dans l’extase, me laissa faire sans broncher. J’ai lapé doucement son gland, récoltant de ma langue gourmande les quelques gouttes translucides qui s’écoulaient du méat. Puis j’ai enserré son gland entre mes lèvres, l'agaçant de ma langue vorace avant d' aller et venir sur ce chibre gonflé de sperme.
Humm un délice de le sucer et de l’entendre gémir de satisfaction. Plus rien ne comptait. J’avais beau être dans un lieu public, ne comptait que cette queue raide et épaisse qui m’attirait comme un aimant.
Je l’ai sucé et encore sucé, léchant ses boules si sensibles.
Puis j’ai happé sa bite à m’en étouffer. Je voulais à tout prix qu’il jouisse dans ma bouche.
Qu’il répande dans ma bouche de petite vicieuse son foutre poisseux dont je me délecte à chaque fois. J’en avais besoin, c’était trop bon. S’il avait cherché à me mettre un doigt, il aurait vu que j’étais tellement ouverte et mouillé qu’il ne m’aurait pas fallu longtemps pour jouir. Mais là, j’étais concentrée sur son plaisir à lui et je tentais de mettre en veille tant bien que mal ma propre excitation. J’aurai pu en essorer ma culotte tellement elle était trempée.
Tandis que je le branlais délicieusement, je salivais copieusement sur ses couilles pleines. Et tout d’un coup, j’ai senti que ses bourses se contractaient, signe avant-coureur qu’il allait jouir. Alors j’ai repris sa queue gonflée dans ma bouche et j’ai accéléré la cadence tout en continuant la branlette. Marc respirait de façon de plus en plus saccadé, se retenant de râler trop fort.
J’avalais sa queue le plus profondément possible dans ma bouche, à m’en étouffer. Je voulais avoir la bouche pleine de sa queue et le rendre fou de plaisir. Il se cambrait sur son fauteuil, levant frénétiquement son cul pour me pénétrer la bouche sauvagement. Ça y est, Il ne se contrôlait plus, il allait jouir.
Sa queue a gonflé d’un coup et son sperme a jailli dans ma bouche, à profusion. J’ai savouré son foutre poisseux, le mâchant, faisant tourner ma langue dans ma bouche pour mieux en gouter la saveur avant de le laisser couler par petites goulées au fond de ma gorge.J'aime tellement savourer ce nectar divin!
Marc était repu et je jubilais de l'avoir pousser dans ses retranchements. Nous avons quand même regardé la fin du film.
En attendant, depuis cette aventure, je revis la scène régulièrement dans ce cinéma et je mouille tellement en y pensant que j'en arrive parfois à devoir changer de culotte et me caresser si je le peux.
C’était vraiment un de mes fantasmes récurrents de longue date et de l’avoir réalisé, j'y ai pris un pied pas possible! La peur d’être surpris est un fabuleux aphrodisiaque. A la fois une terrifiante montée d’adrénaline et une excitation hors du commun ! Si j’ai un conseil à vous donner, essayez et vous comprendrez les sensations que nous avons pu éprouver…
Tu veux parler avec une coquine ?
Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.
Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.
Ou, compose directement le et fais-toi plaisir ;)
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
Les autres aventures coquines de Marion
Marion
Doigtée pendant son sommeil
Noële entreprend de déshabiller Muriel, et la met carrément sous la douche à peine tiède. Elle a un frisson qui lui donne la chair de poule. Noële découvre le corps de sa belle-fille, avec deux petits seins magnifiques. Elle l′enveloppe dans un peignoir et l′emmène à la chambre.
- 238 17
J’ai avalé son foutre avec gourmandise
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 03/12/2013
Publié le 03/12/2013
Marion est très joueuse avec son nouveau compagnon. Elle nous avoue ne pas être amoureuse de lui, mais qu'elle adore leurs moments coquins...espérons que ça dure :)
Merci Marion, ton témoignage est très sympa. - 352 32
Ma cyprine et son sperme ont dégouliné entre mes cuisses
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 03/11/2013
Publié le 03/11/2013
Nouvellement célibataire, notre quadragénaire a bien l'intention de profiter. Elle a rencontré par hasard un ami d'enfance et l'ami en question lui a mis son compte, c'est le moins que l'on puisse dire :)
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire X en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!