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Histoire X : L'étudiante, l'enseignant et le piano

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    Histoire X : L'étudiante, l'enseignant et le piano

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Je m'appelle Lola, je suis étudiante en musicologie. Tout le monde me trouve sérieuse et bonne élève, mais je ne suis pas aussi sage que j'en ai l'air. J'aime séduire discrètement les hommes qui m'entourent, particulièrement les enseignants. Ils ne se méfient pas de moi puisque je suis une bonne élève. Ils ont à peine le temps de réaliser ce qu'il se passe qu'ils se retrouvent nus en train de me baiser.

    Je vais vous raconter comment je me suis fait Hans, le professeur d'histoire de la musique. Il est plutôt jeune pour un prof de fac. C'est un petit blond aux yeux bleus avec un adorable accent allemand. Depuis quelques semaines, je lui envoie des regards de braise pendant les cours. Il l'a remarqué puisqu'il rougissait chaque fois qu'il me regardait et un homme qui rougit est prêt à passer à la casserole. J'ai attendu la fin du cours, j'ai rangé très lentement mes affaires en jouant sensuellement avec mes longs cheveux bruns. Les étudiants sont tous sortis de la salle de cours qui n'est pas plus grande qu'une classe de lycée. Il y avait un piano noir à côté du bureau, les enseignants s'en servent durant certains cours. Je me suis retrouvée seule avec Hans, qui attendait que la salle soit vide pour partir et la fermer à clé derrière lui afin d'éviter que quelqu'un n'utilise le piano sans autorisation.

    « Vous ne sortez pas, mademoiselle ? Me demanda Hans avec son accent allemand.

    J'ai quelque chose à vous demander, prétextai-je.
    Eh bien, allez-y ! Je vous écoute, mademoiselle.

    Je me suis approchée de lui en déboutonnant le haut de mon chemisier.

    J'ai envie de vous, Hans, lui dis-je d'une voix suave.

    Hans rougit jusqu'aux oreilles. Il ne savait pas comment réagir et restait comme pétrifié. J'en ai profité pour m'approcher encore et mettre ma main à son pantalon, il bandait. Il se dégagea et se précipita vers la porte. J'ai cru pendant un instant qu'il allait sortir, mais il ferma la porte à clés en laissant celles-ci dans la serrure avant de revenir vers moi en déboutonnant sa chemise.

    Promettez-moi que vous ne direz rien à personne, mademoiselle Lola !
    Je ne pourrai rien dire avec votre bite dans ma gorge, rétorquai-je.

    Excité par mes paroles, Hans s'empressa de baisser son pantalon. Je me suis jetée sur son boxer comme une affamée. Il était bien membré et bandait comme un taureau. J'ai commencé à le sucer langoureusement en enfonçant sa queue de plus en plus profondément. Elle était si grosse que j'avais du mal à l'avaler, Hans m'aida en me prenant la tête pour me baiser la bouche. Il faisait de grands mouvements qui me faisaient beaucoup saliver. Sa bite se retrouva rapidement trempée et il pu l'enfoncer complètement dans ma gorge. Je n'avais jamais avalé une queue aussi grosse, je pouvais à peine respirer. C'était trop bon ! Hans continua à faire de grands mouvements jusqu'au fond de ma gorge, doucement d'abord, puis de plus en plus vite jusqu'à s'immobiliser en serrant ma tête contre lui quelques secondes. Il me relâcha pour me laisser respirer.

    J'ai enlevé mon petit chemisier pour qu'il vienne me bouffer les seins. Il glissa sa main dans mon pantalon pour caresser ma chatte déjà humide. Il mit un doigt. Je gémis. Deux doigts. C’est tellement bon. Trois doigts. J’ai défait mon jean pour qu’il fasse de grands va-et-vient avec ses doigts dans ma chatte. Je mouille de plus en plus.

    Lèche-moi la chatte !

    Il ôta sa main de mon sexe et me souleva pour me mettre sur le piano. Il retira mes chaussures et mon jean et plaça sa tête entre mes jambes. Il passa sa langue sur mon clitoris. Je tremblais de plaisir. Il prit mes lèvres à pleine bouche et me pénétra avec sa langue. Un bon cuni comme je les aime ! Il avalait ma mouille avec gourmandise tout en caressant ma petite chatte rasée. Je regardais sa grosse bite. Je ne pouvais plus résister, il fallait qu’il me pénètre, qu’il mette son gros engin au fond de moi et me défonce. J’aime être baisée brutalement par des grosses queues.

    Prends-moi sauvagement contre le piano !

    Très excité par mes paroles, Hans me fit descendre et me retourna pour me plaquer contre l’instrument. Il me prit debout en levrette et me pénétra vigoureusement la chatte avec son énorme queue. Il me tenait fermement par le cul ton en me donnant de grands coups de bite.

    Oh oui, vas-y ! Plus fort !

    Hans me baisa encore plus violemment en me tirant les cheveux. Ses cuisses claquaient brutalement contre mes fesses et ma chatte dégoulinait de mouille. Le piano bougeait sous la force de ses coups de queue. Nous faisions tellement de bruit que des étudiants devaient probablement nous entendre derrière la porte, mais nous prenions trop de plaisir pour nous en soucier.

    Je peux de sodomiser ? Me demanda Hans.
    Oui, lui répondis-je, éclate-moi le cul avec ta grosse bite ! »

    Il retira sa queue de ma chatte et une bonne quantité de mouille coula le long de mes cuisses. Il plaça son énorme gland contre mon petit anus et l’y enfonça doucement. Sa bite était tellement grosse et cul tellement serré qu’il avait du mal à rentrer entièrement. Il fit plusieurs va-et-vient pour me dilater le trou avant d’enfoncer entièrement sa queue. Je pouvais sentir chaque veine de son gros chibre. Il me défonça sans pitié et avec autant de violence qu’en me baisant la chatte. C’était bon et douloureux à la fois. Je criais de plaisir et de douleur à chaque coup de bite, j’ai cru que mon cul allait finir par se déchirer tellement il m’enculait brutalement. Hans prenait son pied en sentant mon anus serré sur sa bite. Il respirait fort et ses mains, qui me tenaient toujours fermement, tremblaient avec l’excitation. Soudain, Hans hurla. Il m’a rempli le cul de sperme. Lorsqu’il s’est retiré, sa semence chaude a coulé de mon trou bien dilaté.

    Nous nous sommes séparés en nous promettant de recommencer, en invitant un autre enseignant ou peut-être une autre étudiante. Nous avons quitté la salle en laissant derrière nous une étrange flaque blanchâtre au pied du piano.

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