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Histoire porno : maison close
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5Histoire porno : maison close
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 18/07/2018
Publié le 18/07/2018
Salut les amis coquins
Ici Thierry, célibataire depuis des années, d’une cinquantaine de printemps. Brun, assez grand, assez corpulent. J’ai toujours eu du mal à trouver des partenaires de jeu, mais malgré tout, si j’écris ici, c’est que j’ai trouvé des solutions.
Et ma solution favorite, je la trouve à la frontière espagnole, à la fameuse Jonchera ! Cette maison close, on m’en avait parlé durant des années, au boulot, dans des soirées avec des potes ; mais j’avais jamais vraiment été tenté de m’y rendre.
Et un beau jour, j’ai demandé à mon meilleur ami, marié mais libertin, de m’accompagner et nous avons pris la voiture pour nous y rendre. Quatre heures de route, en parfaite harmonie puisque lui et moi nous savions qu’au bout ça allait être l’éclate. Un petit tour au Perthus, faire le plein d’alcool, de cigarettes détaxées et nous filions dans un restaurant histoire de pouvoir assurer la suite !
Donc une fois fini, rendez vous à l’entrée du célèbre Dallas. On entre mon pote et moi, et nous découvrons ce que peut être le paradis du sexe. Du monde, de partout, et surtout des filles. Des filles comme j’en avais jamais vu avant. Ou à la télé dans les films de cul. Des blondes, des brunes, des rousses, des blacks, des asiats, de jeunes, des moins jeunes. Toutes, toutes, disposées à vous donner du plaisir. Moyennant finance bien entendu.
C’est donc l’heure du choix. On déambule avec mon pote et je choisis une belle nana, brune aux yeux verts, d’origine espagnole. Elle porte un débardeur rouge et un short en jean, elle a un cul magnifique et une paire de seins que j’aurais jamais pu imaginer. Mon pote préfère une nana type scandinave, blonde aux yeux bleus, plus grande, plus fine. Problème, il y a un tel monde qu’il y a de l’attente pour les chambres. Une se libère. On demande aux nanas si ça les gêne qu’on partage la chambre. Elles sont d’accord.
Nous montons donc tous les 4 dans une des nombreuses chambres de l’hôtel. Gigantesque. Avec un grand lit rond en plein milieu. Des chandelles disséminées un peu partout. Les nanas nous ont demandé d’aller nous déshabiller et nous doucher. Hygiène avant tout. Nous nous sommes lavés, l’un après l’autre et à notre retour les deux nous attendaient, elles avaient retiré leurs habits et elles étaient en dessous, les deux étaient sublimes.
Nous nous sommes donc avancés, en boxer, vers le lit, et ma promise m’a allongé sur le bord du lit, avant de se mettre à mes pieds, me retirant mon boxer et sortant ma grosse queue déjà en érection. Je n’étais pas à mon aise au départ, car je n’avais pas le physique approprié pour ce type de beauté. Mais une fois qu’elle me gobait le gland, tous mes doutes s’envolaient et je me laissais faire. De son côté, mon pote avait commencé à bouffer le minou de sa blonde, qui avait l’air d’apprécier sa langue, même si elle devait jouer sans doute bien la comédie.
Ma pute continuait de me sucer, elle me faisait des gorges profondes à loisir, et je prenais mon pied, appuyant sur sa tête pour prolonger mon plaisir. Puis, sentant que j’allais venir, Andréa s’arrêta, et alla chercher un préservatif, qu’elle m’enfila sur la queue. Puis, elle me demanda comment je voulais la baiser, dans un français approximatif. Vu mon poids, j’optais pour une levrette classique. Elle se mit à 4 pattes et je laissais donc le lit à mon pote, qui s’installait sur le dos avant d’accueillir sa nana.
J’astiquais un peu ma queue, puis je me mis derrière Andréa, et je la pénétrais lentement. J’avais envie de prolonger cet acte, même si Andréa était payée à l’heure. Elle se mit à gémir pendant que je faisais entrer ma queue dans sa petite chatte épilée, puis je commençais à la besogner ainsi.
J’évitais de regarder mon pote qui lui, ne bougeait pas et laisser faire la blonde. Elle était montée sur sa queue, et le baisait ainsi, montant et descendant sur sa queue. J’aurais jamais pensé voir la bite de mon meilleur ami un jour, même si fort heureusement on était loin l’un de l’autre.
Je me concentrai donc sur Andréa, que je fessais de temps en temps pour accélérer la cadence. Elle se retournait pour me jeter un regard lubrique, caressant ses seins, et titillant ses tétons en sortant sa langue ; me demandant de la baiser plus fort, plus loin. Elle faisait sa petite pute, dans l’espoir de me faire jouir le plus rapidement possible et passer à un autre client. Du coup je me retirais, et avant de jouir, je la couchais sur le sol pour la prendre en cuillère. Andréa leva la jambe, pour mieux m’accueillir, et je pus enfin mettre la main sur son sein, malaxer son mamelon et pincer son téton à loisir. Je la bourrinais et j’étais en nage, la pièce puait le sexe et j’avais de plus en plus de mal à me retenir.
De son côté, mon pote prenait la nana en missionnaire, la blonde me regardait pendant que mon pote la baisait, elle souriait et j’avais envie de la baiser aussi. Puis il sortit sa queue de sa chatte et je le vis se branler sur son minou, aidé par la main de sa pute qui astiquait le bout de son gland. Il jouit dans sa main, et elle appliqua son foutre sur son ventre et son pubis.
De mon côte, ne pouvant plus me retenir, j’en fis de même, je sortais ma queue et je retirais ma capote, mais je visais le visage d’Andrea, déjà prête, elle sortait sa langue pour accueillir mon sperme qu’elle reçut directement sur la langue, elle reprit mon sexe en bouche et m’aspira le gland et le reste de mon foutre. Avant de tout avaler tranquillement.
Les filles nous remercièrent, avant d’aller prendre leur douche, non sans prendre leur salaire.
Je vous conseille cette expérience, c’est génial !
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Commentaires
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Thierry
L'été de mes 18 ans
Je m'appelle Claire et j'ai 19 ans. Je suis blonde, je mesure 1m68 pour 54 kg, j'ai les cheveux mi- longs, une peau assez blanche. J'aime bien mon corps, quoique je préfèrerais avoir davantage de fesses et de poitrine. Je fais un petit 85B, et mes seins ont des aréoles pales assez fines, mais très sensibles aux caresses.
66 6histoire d'un controleur sous controle
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 03/07/2019
Publié le 03/07/2019
Comment allier l'utile à l'agréable... On gagne toujours à faire une bonne action!
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire erotique en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
