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Histoire erotique : sexe : glory holes....
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13Histoire erotique : sexe : glory holes....
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 22/09/2017
Publié le 22/09/2017
Bonjour à tous
Je vais vous raconter une expérience unique que j’ai menée la semaine en club libertin, et que j’ai trouvé tout à fait surprenante !
J’arrivais donc samedi dernier dans un club que je connaissais pas, j’avais mis ma micro jupe en dentelles noire et mes bas résilles, et en haut tout simplement ma paire de bretelles et mon soutien-gorge assorti ; je savais que de toute manière je ne garderai pas ces vêtements longtemps. Je commençais à repérer les lieux, coins câlins, dance floor, bar, espace Balnéo, tout pour se satisfaire et satisfaire la communauté libertine. Mais un truc, un système piquait ma curiosité dans un coin reculé ; plusieurs trous derrière des parois m’intriguaient ; je les inspectais un à un mais je compris quelques minutes plus tard quand le DJ fit cette annonce au micro :
« hé les gars mettez-vous en place, c’est notre demie heure gloryhole et bukkake ce samedi soir ; y-a-il des amatrices, des petites coquines ? »
Ne connaissant pas le procédé mais voulant tout tester du cul, je décidais de revenir dans cette partie-là du club, accompagnée par deux autres nanas en quête de sensations fortes.
A notre arrivée, le glory hole était mis en place : les trous autrefois vides étaient ornés de queues diverses, qui frétillaient joyeusement ! Des petites, des grosses, des noires, des blanches, des molles et des bien dures. Toutes là pour nous. Donc le jeu est le suivant, sucer dans l’anonymat le plus complet le maximum de bites… voilà un concept qui m’allait très bien, n’ayant pas forcément envie de me faire remplir de foutre ce soir. Je choisis donc une première queue, comme mes camarades de jeu ; je choisis la plus molle histoire de la faire gonfler doucement. J’appliquais ma langue dessus et je remontai le long de la hampe jusqu’à découvrir le gland déjà rougi par l’effort ; puis je descendis et je capturai mes couilles, les gobant lestement pour les suçoter ; les avoir entière dans ma bouche. Au bout de quelques secondes la queue était au garde à vous et elle attendait que je la gobe, chose que je fis immédiatement en insistant bien sur le gland trempé ; c’était tellement bon de sucer de cette manière, sans se préoccuper de qui, de comment, de pourquoi. Ne voulant pas me concentrer sur une bite, je changeais régulièrement, essayant d’avaler la grosse noire quitte à m’étouffer avec, j’avalais totalement celle qui était toute fine, la gardant dans ma bouche de longues minutes ; c’était bon d’entendre les râles et les gémissements des mâles de l’autre côté, qui attendaient qu’on s’occupe d’eux avec impatience.
Je me risquais même à m’approcher d’une queue déjà bien prise par une copine, la rejoignant pour proposer à ce cher monsieur deux langues pour le prix d’une. Le veinard eut pour quelques minutes la joie de sentir nos langues sur ses couilles, puis de chaque côté de sa bite, le suçant frénétiquement pendant que l’autre crachait sur ses bourses velues : un délice. Le spectacle dura quinze bonnes minutes jusqu’à ce que le DJ crie la sentence finale : « bukkkkkkkkkake !!!! »
Je ne compris pas ce qui se passait, les queues rentrèrent immédiatement et mon amie m’entraina au milieu de la pièce, à genoux avec les autres nanas.
Là, les mecs débarquèrent, il y en avait une bonne vingtaine, des beaux, des moches, des musclés… des gars que j’aurais jamais sucé si je les avais vu ha ha ! Et là, ils se mirent autour de nous et commencèrent à s’astiquer le membre rapidement ; les nanas autour de moi sortaient leur langue et je compris qu’elle allait être mon sort….nous étions collées ensemble, je sentis une main qui retirait mon soutien-gorge et une autre nana vint m’embrasser, pour exciter les gars ; ça marchait à mort, ils avaient tous envie de juter sur nous !
Nos trois visages les uns près des autres, nous attendions patiemment. Le premier gars lâcha son foutre qui atteignit le visage de mon amie suceuse, elle ouvrit la bouche pour accueillir le reste et fut tartiné par la queue du gars. Et là, tout s’enchaîne : les gars jouissent les uns après les autres, ils tiennent nos visages dans leur main et visent notre bouche, nos yeux ; j’ai rapidement du foutre de 2-3 gars plein la bouche, que je recrache abondamment car je ne veux pas tout avaler, de peur de vomir. Du foutre dans les yeux, je ferme les paupières, mon visage est tout collant et mon maquillage coule littéralement, je n’attends plus que les râles de jouissance et les copines qui disent encore. Ca pue le foutre, y a déjà au moins six gars qui se sont vidés les couilles sur moi, j’en ai de partout et j’en redemande ; le foutre coule de ma bouche, des gars me font sucer leur queue sans ménagement, en me faisant hoqueter tant ils le font sans douceur, suis une pompe à queue, une vraie salope sur laquelle on gicle ; au bout de quelques minutes on est toute comblée, le visage ruisselant, l’œil collé et les nanas se lèchent le visage entre elle ; moi je me lève pour aller à la salle de bain et admirer le spectacle ; je sens très fort et quand je me regarde je ne me reconnais pas, une pompe à foutre. C’est tellement bon d’être traité comme une pute comme ça, une vraie expérience. Je sors de la salle de bain un peu nettoyé et je retourne dans le club, croisant des gars que je reconnais vaguement, ou des nanas qui maintenant se font défoncés la chatte ou le cul sans avoir même pris la peine de s’essuyer le visage : elles seront souillées encore et encore ; je rassemble mes affaires et ivre de foutre je rentre chez moi me coucher, repensant encore et encore à la chienne que j’ai été ; je ne pense pas recommencer un jour mais je vous conseille à toutes de tenter une fois l’expérience ; vous me direz !
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