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Histoire X : Histoire érotique d'un pèlerin du soir

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    Histoire X : Histoire érotique d'un pèlerin du soir

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    dieu baise pipe

    Bonjour lecteurs et lectrices,

    Je vais vous raconter une histoire véridique qui m’est arrivée cet été alors que je faisais le chemin de Compostelle. Qu’est ce que c’est tout d’abord : c’est l’itinéraire pratiqué par les pèlerins et le nom des villes qu’ils traversent, pour arriver à destination. Il y a quatre grands chemins, et on marche ainsi durant des semaines, pour se retrouver en paix avec soi même, faire des rencontres, et bien entendu prier. J’avais donc décidé de partir cet été pour ces trois raisons, une fois mon sac mis en place, je partais sur les routes début juillet, ayant pour ambition de parcourir a peu près 100 km dans mon temps imparti. Je voyageais seul, pour me retrouver, et ne mangeait que frugalement dans les auberges du chemin, qui accueillent les pèlerins. Ce soir là, l’auberge hélas était complète, car la tradition n’étant pas respectée, l’auberge accueillait aussi les vulgaires touristes. Tout ce qu’on pouvait me proposer, c’était de partager la chambre d’un certain Camille, chambre avec deux lits bien entendu. Il pleuvait des cordes au dehors donc j’acceptais sans gaieté de cœur, le soir je préférais ne pas faire la conversation et me retrouver pour faire le point de la journée et prier. J’arrivais donc dans la chambre, assez petite et à la décoration minimaliste comme les pèlerins l’exigent. Le gars devait prendre sa douche car j’entendais l’eau dans la salle de bain attenante et commune ; j’en profitais pour retirer mes chaussures et soigner mes nombreuses ampoules. Ce soir je ne mangerai pas, je voulais jeuner et dormir pour préparer ma longue route de demain. Je me mettais au lit quand la porte s’ouvrit et le dénommé Camille entra. En guise de pèlerin, je me retrouvai donc avec une jeune femme ; brune d’une trentaine d’années, surpris de me voir dans la chambre et qui referma instinctivement son peignoir, mais pas assez rapidement pour que je ne jette pas un coup d’œil à ses formes harmonieuses et généreuses.

    Je me relevais brusquement et nous bredouillons des explications, Camille étant un prénom mixte l’aubergiste n’avait pas du comprendre, ou se rappeler qu’elle était une femme. Et ma première décision fut de quitter la chambre. Camille refusa tout net ; elle trouvait ça stupide de sortir par ce temps, et elle n’avait pas tort, elle proposa donc de continuer ce partage entre individus civilisés ; et les présentations furent faites : elle était donc étudiante en religion et elle aussi parcourait le chemin, sans se considérer comme pèlerin. C’était un puit de science, et nous discutions durant une heure sans voir le temps passer ; elle était aussi agréable à regarder qu’intelligente. J’étais un peu sous le charme, même si je m’interdisais tout dérapage charnel.
    Les verres de vin nous aidèrent à briser la glace tout de même, mais c’était déjà l’heure d’aller se coucher. Minuit. Comme le temps passait vite en ces régions et en cette belle compagnie. Je me jetais alors sur le lit, seulement vêtu de mon boxer et torse nu, car il faisait une chaleur étouffante, et une fois la lumière éteinte, Camille pu ôter son peignoir dans l’obscurité afin de se glisser sous les draps, je présupposais dans le plus simple appareil. Nous nous endormons donc.
    Il est 3h du matin. Je me lève brusquement car j’entends du bruit. J’ouvre les yeux et la première chose que je remarque, c’est que Camille est debout aussi, droite comme un I, et entièrement nue, au bord de son lit. La lumière de la lune éclaire ses formes, je vois sa poitrine pointer comme si j’étais en plein jour, et je l’entends baragouiner des paroles intelligibles. Je l’appelle. Elle ne répond pas. Je comprends alors qu’elle fait un rêve et qu’elle est somnambule. Elle commence alors à gémir, et je sens de la détresse dans son sommeil. Je me lève donc et je m’approche d’elle pour la recoucher, tout simplement. Je pose ma main sur son épaule, pour l’inciter à retomber dans les bras de Morphée, sa peau est douce, tellement douce. Je descends alors ma main vers son sein droit, que je commence à caresser. Elle ne se réveille pas pour autant. Je continue ma caresse ; je ne peux pas vous dire pourquoi je fais ça, mais j’aime passer ma main sur son téton chaud, il est si doux que j’ai envie de l’embrasser. C’est à ce moment là que je pose mes yeux sur son visage et qu’elle me regarde, elle s’est réveillée. Ma main quitte rapidement son sein, mais le mal est fait ; j’attends une gifle et je commence à m’excuser. Mais là, tout ce qu’elle fait c’est de baisser mon boxer et dévoiler mon sexe, déjà bien gros. Et elle commence à le caresser doucement, son regard fixé sur lui, et elle ouvre lentement la bouche pour le sucer. Je me laisse faire et elle commence à le lécher, et à me tirer une pipe absolument délicieuse. Elle semble être dans un demi sommeil, je lui parle mais elle répond pas. J’ai honte. Puis elle s’allonge sur le lit, les jambes écartées, et m’invite à la rejoindre. Je me met donc sur elle, et guide mon sexe sur sa chatte ; je sens une légère humidité et lentement je m’enfonce en elle, poussant un râle de plaisir. Je m’enfonce jusqu’au fond et je commence à lui faire l’amour, nous gémissons ensemble. Dans la pénombre je distingue à peine son visage, seule la croix au dessus du lit est le témoin de cet acte peu commun. Je soulève ses jambes, les écartes et entre au plus profond d’elle, accélérant le mouvement pour venir en elle. Quelques minutes plus tard je sens la jouissance arriver et je décide de me retirer et de jouir sur son bas ventre, je vois mon foutre s’éparpiller sur lui tandis qu’elle pousse un long soupir. Plus rien. Je remonte son drap, et je remarque qu’elle s’est endormi. Je me recouche alors et me rendort.

    Quelques heures plus tard je me levai et trouvais la pièce vide, elle était partie durant mon sommeil. Pas une trace de son passage. Avais je rêvé ? Je me le demande encore. Le mystère reste entier.











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