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Histoire de sexe : histoire d'un dernier métro
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14Histoire de sexe : histoire d'un dernier métro
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 06/07/2018
Publié le 06/07/2018
Coucou amis coquins
Nous revoilà, les deux amoureux Téo et Alicia ; âgés de 23 et 24 ans, nous habitons Marseille et nous écrivons parfois ensemble pour vous raconter nos anecdotes coquines… nous avons envie d’expérimenter des choses, des situations et quel délice de vous en faire part…
En ce moment, nous sommes donc dans un nouveau délire, celui de baiser un peu n’importe où. Alors bien sûr, en voiture, dans un parking, au travail, dans la nature. Tout ça on avait déjà testé, mais ce qui nous plaît c’est de savoir qu’on peut nous surprendre la main dans le sac, donc du coup Alicia et moi on cherche à repousser les limites, prenant chaque fois plus de risques. Donc le délire est parti de la semaine dernière. On était tous les deux dans le métro et Alicia me caressait la cuisse, j’étais en short et elle a commencé à me murmurer à l’oreille des choses coquines, sur ce qu’elle aimerait me faire si on était seuls ici. Alors on s’est dit qu’on allait baiser ici. Mais comment faire ?
On a donc calculé un plan, celui de prendre le dernier métro, sachant qu’il est souvent très inoccupé ; et notre chance, c’est qu’une ligne était en travaux et ne desservait pas deux arrêts. Ca nous laissait plus de possibilités. On a donc attendu toute la journée et vers 23h45 nous étions sur le quai du métro. Alicia avait mis une jolie robe corail très courte, très moulante et elle savait qu’elle me faisait de l’effet habillée ainsi. Nous sommes montés dans le métro et nous avons choisi la rame où il n’y avait personne pour le moment. Nous nous sommes assis l’un près de l’autre, attendant que le métro démarre et fixant de temps en temps la caméra qui allait enregistrer toutes nos bêtises… c’était parti.
Nous avions donc une vingtaine de minutes entre cet arrêt et le terminus. Le métro démarrait et tout de suite, j’écartais les cuisses D’Alicia, caressant ses jambes puis m’aventurant entre ses cuisses. Je sentis de la moiteur et remarquait que bien évidemment elle n’avait pas mis de culotte. Elle s’allongeait sur les fauteuils et je viens me mettre entre ses cuisses. Elle surveillait donc le wagon, et moi je commençais à lui brouter le minou, qui était donc déjà bien trempé. Je passais ma langue sur son clito, soulevant un peu sa robe, puis descendait vers ses lèvres charnues pour y déposer un baiser, puis plusieurs coups de langue. Elle tenait ma tête et quand le métro s’immobilisait à un arrêt, elle me confirmait qu’il n’y avait personne et que je pouvais continuer. J’avais donc poursuivi en lui doigtant la chatte car elle adorait ça et cela la faisait grimper aux rideaux que ça se passe dans un lieu public, d’ailleurs elle filmait tout avec son téléphone ; elle commença à couiner de plaisir et je m’arrêtais, pour ne pas la faire jouir trop vite. Puis ce fut à son tour. Toujours personne. Elle s’accroupit et sortit ma queue de mon short, avant de commencer à me la pomper doucement, me léchant partout et me branlant en même temps. C’était trop bon, elle me suçait toujours super bien, comme une experte l’aurait fait. Nouvel arrêt. Un gars monte dans le métro dans notre wagon, je baisse la tête d’Alicia, la forçant à avaler ma queue en gorge profonde, pendant que le gars s’assoit à l’autre bout du wagon. Il me regarde et je le regarde en souriant, pendant qu’Alicia me gobe mes couilles et manque de me faire juter tellement elle est bonne en pipe. Reste donc l’essentiel. Nous attendons et la chance nous sourit car le gars, visiblement aviné, s’endort, juste avant que les arrêts non desservis arrivent. Il faut en profiter.
J’attrape donc Alicia et je soulève assez sa robe pour voir son joli cul rebondi ; puis je dégage ma queue et je l’enfonce dans sa chatte trempée d’un coup ; elle crie de plaisir mais ne réveille pas le saoulard ; et je peux donc commencer à la besogner ainsi. Dans le wagon on entend plus que nos gémissements étouffés et son cul qui tape contre ma queue. Ça me rend dingue de me dire que je la baise à 10 mètres d’un gars. Ca m’excite et j’ai envie de la remplir.
Les arrêts défilent vite et je dois accélérer le mouvement pour la faire jouir, je claque ses fesses et je vais de plus en plus vite ; elle caresse son clito en même temps et ça l’a fait venir de plus en plus. Elle finit par jouir comme une salope, s’enfonçant bien, mettant ma queue bien au fond de sa chatte, sans que j’ai encore juté.
Reste un seul arrêt. Alicia s’est relevée, et le gars semble se réveiller. J’ai plein de mouille sur la queue, j’adore.
Le gars nous regarde, un peu interloqué. Mais Alicia se démonte pas, elle reprend ma queue en bouche et recommence à la pomper rapidement, pour me faire jouir. A voir ma tête grimaçante, le gars comprend qu’il se passe un truc et il se lève de son fauteuil, et voit ma copine me pomper le dard, il sourit en applaudissant et moi je me laisse faire, me concentrant sur sa langue qui fait des merveilles sur mon gland. Elle n s’arrête pas de me pomper et le métro arrive enfin au terminus ; elle me branle alors de plus en plus vite et me demande de juter, de jouir comme un cochon. Le mec est tout prêt, le métro s’immobilise et je sens le jus monter, elle sort la langue comme une cochonne et me branle si vite que je jouis sans le sentir au départ. Elle me fait alors gicler sur le fauteuil à côté, faisant jaillir mon sperme qui s’étale maintenant près de moi, comme un souvenir. Y en a partout et on éclate de rire, avant de vite se rhabiller et de sortir du métro, avec le gars.
Fantasme accompli !
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