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Histoire sexe : Histoire d'une nonne à tout faire
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15Histoire sexe : Histoire d'une nonne à tout faire
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 21/11/2017
Publié le 21/11/2017
Bonjour,
Ici Marc, bon vivant par excellence, âgé d’une quarantaine d’années et je vais vous raconter une anecdote véridique. Ca se passe à la terrasse d’un bar restaurant cet été. J’étais en train de siroter tranquillement mon soda lorsque je remarque une ombre noire se déplacer et se poster la table derrière moi. Je me retourne, et c’était une bonne sœur. On croise plus trop de nonne de nos jours, en tout cas en habit de gala. Elle était vraiment splendide, de grands yeux verts et une chevelure rousse, un visage fin avec de multiples tâches de rousseur. A couper le souffle. Je commence donc à la dévisager, intrigué. Et je vois qu’elle me dévisage également. En me souriant. Je me lève donc pour aller l’aborder. Mais difficile d’aborder une bonne sœur. Donc je sors la phrase la plus stupide que je pouvais trouver :
« Excusez-moi, mais vous êtes vraiment une bonne sœur, ou c’est un costume pour un happening quelconque »
Elle éclate de rire. La glace est rompue. Elle me répond que c’est une VRAIE bonne sœur, et pour me le prouver elle me décoche deux trois séries de prières qui m’assomment direct, des prières qu’on ne peut inventer. Je lui demande si je peux m’asseoir avec elle pour discuter, et elle accepte volontiers, puisqu’elle est seule jusqu’à son séminaire du soir.
Nous commençons donc à discuter, et la jeune Mathilde, qui a donc une trentaine d’années, apparaît beaucoup plus ouverte que j’aurais cru. Elle est entrée dans les ordres car elle avait envie de se rapprocher de Dieu ; d’étudier la théologie, mais sans pour autant apprécier le package entier de la bonne sœur ! Donc je ne me cache pas pour aborder l’aspect sexuel et l’abstinence et elle me dit sans détour qu’elle a déjà connu le sexe, que ce n’est pas pour elle un péché mais que bon, Bonnat ballant, elle fait avec les règles qu’on lui édicte.
On plaisante là-dessus et le temps passe, il se fait tard et elle doit partir à sa réunion. Je me propose bien entendu de l’accompagner, sans vraiment penser à mal ; car pour moi, rien n’est possible. Elle accepte.
Nous arrivons devant l’édifice ; il n’y a personne pour le moment à l’entrée et Mathilde est obligée de patienter dans le petit jardin couvert qui jouxte l’immeuble, nous entrons tout deux dans ce petit lieu exigu mais oh combien pittoresque de la ville. Je lui dis donc au revoir et m’approche pour lui faire une bise comme on en a l’habitude dans le sud de la France. Une joue, puis deux. Et là, Mathilde prend les devant et me dépose un baiser sur la bouche, à ma grande surprise ! Je reste stupéfait devant ce geste parfaitement interdit, mais devant la douceur de ses lèvres je ne peux que me laisser faire. Nos bouches se cherchent et le baiser se prolonge quelques minutes, nos langues s’enroulent et je ne peux m’empêcher de passer ma main dans son dos pour une étreinte plus forte.
Mathilde se recule alors et me dit tout simplement
« je veux faire l’amour avec vous, ici, maintenant, je sais que ce sera sans doute la dernière fois, et que je vais peut être le regretter, mais je veux »
Je ne sais pas quoi répondre, mais étant célibataire, je ne suis pas dérangé par cette proposition. Ce lieu me semble juste un peu inadéquat, mais renforce tout de même mon excitation naissante.
Nous allons donc ensemble dans les fourrés de ce jardin, à l’abri des regards. Mathilde soulève alors sa robe de bonne sœur et me dévoile une culotte toute simple, blanche, immaculée. J’ai très envie de me faire sucer mais je pense que c’est trop lui demander, et je me contente donc de faire ce qu’elle me demande. Lui faire l’amour. Le plus simplement du monde. Je défais donc la braguette de mon pantalon, et en sort mon sexe, bien gros déjà. Elle se tourne donc et se penche légèrement. Je comprends ce qui me reste à faire. Je retire une partie de la culotte de Mathilde, et dévoile un mignon fessier, et un petit abricot velu que j’ai bien envie de lécher. Hélas non. Rester simple. J’enfile donc rapidement une capote (je ne sais pas si une sœur prend la pilule, je ne crois pas !), et je présente mon sexe à l’entrée de son intimité. Elle ne parle plus et je sens à sa respiration qu’elle est en plein stress, en plein doute. A ce moment là, j’avoue, je ne pense qu’à moi et n’ayant pas envie qu’elle change d’avis, je ne lui pose aucune question et je la pénètre lentement. Mon sexe entre dans sa chatte sans difficultés, elle mouille à mort et je vois bien entendu qu’elle n’est pas vierge, qu’elle a bel et bien connu l’amour charnel avant. J’agrippe alors mes mains sur ses hanches fines et je la pénètre dans une semi levrette improvisée, essayant de la prendre doucement, tout en prenant quand même mon pied un minimum. Je vois son chapelet tapoter sur son corps, ça me rend dingue de me dire que je me tape une bonne sœur, j’accélère le mouvement et elle se tourne vers moi, une seule fois, et dans son regard je sens qu’elle me remercie de la baiser ainsi, et qu’elle a déjà envie de jouir. Son plaisir monte quasi instantanément et elle me tient les mains quand elle arrive à l’orgasme, mordillant ses lèvres pour ne pas crier plus que de raison. Le rapport a du durer cinq minutes, pas plus, et je n’ai même pas joui. A cet instant elle se relève et se rhabille et je comprends que je ne pourrais pas jouir avec elle, chose que je regrette toujours, mais que je comprends. Elle me dépose un baiser sur la joue, me dit merci, et je vois des larmes couler sur ses joues, et elle part, quasiment en courant.
Je ne l’ai jamais revu, même si je passe souvent devant cet immeuble.
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