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Histoire de cul : histoire d'une salsa du démon
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1Histoire de cul : histoire d'une salsa du démon
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 14/05/2018
Publié le 14/05/2018
Hello Dialogue 69,
Ici Clara, votre délicieuse coquine mature de 45 ans, qui ne se refuse jamais des petits plaisirs, même si je suis en couple, mais un couple certes marié mais totalement ouvert au monde du libertinage. Je ne trompe donc pas mon chéri puisqu’il est totalement au courant de mes petits écarts et qu’il en fait de même de toute manière ha ha ha ! Et vous allez voir à quel point il est ouvert !
La semaine dernière nous avons décidé lui et moi d’aller dans une soirée libertine dans notre club favori ; et cette soirée était réservée aux adeptes du déguisement coquin : infirmière lubrique, gendarme coquin et tout ce qui s’en suit ! On avait donc décidé de se créer un duo à la fois diabolique et sexuel : mon chéri allait se déguiser en diable et moi en belle diablesse salope. Direction donc un sex shop de notre ville afin de trouver chaussures à notre pied !
Nous entrons donc dans ce grand établissement, et ça faisait vraiment longtemps que je n’avais pas pénétré là-dedans ! Les choses, les rayons étaient vraiment beaucoup plus classes qu’avant, beaucoup moins sordides ; un vrai supermarché du sexe ! Très propre, très bien fourni, et à l’accueil impeccable puisque nous sommes accueillis par un sémillant jeune homme d’une trentaine d’années, au teint halé et aux biceps saillants. J’avoue avoir pensé en le regardant, quels bons coups de rein il pourrait me mettre contre le comptoir !
Mais trêves de plaisanteries, puisqu’il nous faut chercher nos déguisements parmi un choix impressionnant de costumes ! Si mon homme trouve tout de suite son habit de démon, constitué d’un slip et de fausses ailes, ainsi que d’un masque cornu ; j’ai plus de mal à me trouver une diablesse bien cochonne qui mette mes formes en valeur.
Je vais donc essayer deux modèles dans les cabines d’essayage, et me voilà le cul à l’air, en train de mettre mes bas résille rouges pendant que j’enfile le soutien-gorge assorti. Problème, j’ai pris trop serré et ma belle poitrine, un 95 c, déborde légèrement. Croyant que mon mec attendait près de la cabine, je me permets de l’appeler et de lui demander la taille au-dessus.
Et, alors que je me dresse pour m’admirer, voilà le rideau qui se tire et je me retrouve face à face, ou plutôt face à seins, à mon joli vendeur. Je suis choqué et je mets mes mains sur mes seins, presque automatiquement
« ah excusez-moi, je pensais que vous m’appeliez ! »
Un peu gênée, mais également excitée, je décide de retirer mes mains de mes seins et de laisser le jeune homme les admirer, tout en lui prenant l’autre modèle, et pourquoi pas, le dragouillant un peu en même temps.
« alors, il me va mieux, donnez-moi votre avis…. »
Je vois que son regard descend et qu’il observe que je ne porte pas de culotte, et que mon sexe est tout luisant pour lui…
« Oui, excusez-moi, j’espère que je ne vous gêne pas… »
Il n’a pas l’air tellement gêné à vrai dire, il semble même intéressé. Mais il y a mon homme pas loin. Je me permets donc d’ouvrir le rideau et je lance à mon chéri
« ça te dérange pas que le vendeur me donne son avis précisément ? »
Mon mec me connaît, il se met à rire et s’assoit sur le canapé, attendant que je finisse mes bêtises…
Et ma première bêtise, c’est de refermer le rideau et d’attirer le vendeur dans la cabine, avant de lui caresser le torse et retirer les boutons de sa chemise. D’abord étonné, le vendeur se laisse faire et dévoile ses muscles plus que craquants. Une fois sa chemise retirée, je descends jusqu’à son pantalon et bien entendu je le fais tomber afin de voir comment Monsieur est outillé. De bien belle manière ! Je sors une grosse queue de son boxer, il n’ose pas trop bander encore et je la mets tout de suite dans ma bouche pour la faire grossir, quel régal ! Il n’hésite désormais plus à la mettre bien au fond de ma gorge, me baisant les lèvres avec son pénis énorme. Je suce son gland, puis ses couilles, je me régale avec son sexe et je l’imagine bien en train de me baiser ma petite chatte, que je touche tout en le pipant. Je suis trempée ! Je dégouline de mouille littéralement mon dieu ! Je lui pompe le dard quelques instants, avant de remonter et de lui prendre la main, la posant sur mon petit minou mouillé. Il commence immédiatement à me doigter, les doigts entrent facilement et il retire mon soutif pour palper mes seins en même temps. Puis il bouffe mes tétons façon sauvage et je me mets à gémir comme une salope bien trempée….
Nous restons ainsi quelques instants, puis je décide de me mettre en position levrette, et l’invite à venir me baiser s’il a une capote. Pas sûr lui !
Je passe alors la tête et demande à mon mari d’aller en récupérer sur le comptoir, et de bonne guerre, il accepte !
Il revient avec le préservatif, me fait un bisou et je passe la capote au vendeur. Il la glisse sur sa bite et commence à me baiser comme une chienne, en levrette. J’ai décidé de rester dans cette position, et de me faire baiser en regardant mon homme. Mes seins ballottent devant lui pendant que le gars me pénètre sauvagement ; je n’ai plus honte de gémir et mon mec apprécie le spectacle sur le canapé. Le gars me donne de grands coups de queue et elle est si grosse qu’il me fait jouir en cinq minutes, puis lui-même je l’entends râler alors qu’il me gicle dans ma chatte de pute ; le sperme remplit la capote et il se retire, non sans claquer mon cul ! Il sort de la cabine et complimente mon mari…moi en nage, je récupère mon déguisement et nous partons tous les deux !
Un ange mon chéri !
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