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Histoire porno : Infidélité en famille, j'ai adoré être baisé par le mari de la cousine de mon époux !

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire porno : Infidélité en famille, j'ai adoré être baisé par le mari de la cousine de mon époux !

    Corrigé et résumé par david545758 le

    Publié le

    Un superbe samedi, journée idéale pour rendre enfin visite à la cousine de mon mari. Depuis le temps que je lui ai promis d’aller la voir. Je file sous la douche, me lave et m’essuie en vitesse. Le temps est magnifique, pas besoin de me sécher les cheveux, je les laisse pendre encore humide, ils sécheront avec le vent. 27° dehors, j’enfile une petite robe courte légère, ce sera bien suffisant. Je sors de la maison, rentre dans ma voiture, et me rend compte que je n’ai pas de sous-vêtement. L’oubli d’un soutien-gorge, pas de souci, je n’en porte pas souvent avec cette robe, et mon 80 C se porte encore très bien et j’en profite, mais par contre, pas de culotte, voilà qui n’est pas dans mes habitudes. La maison est déjà fermée, la voiture tourne, qu’est-ce que je fais ? Ça ne m’est encore jamais arrivé de me promener complétement nue sous une robe, et je dois bien avouer que ma fainéantise de devoir tout rouvrir et la chaleur qui devient de plus en plus envahissante m’encourage à rester ainsi. Et puis, je dois bien avouer que l’idée de me promener le sexe au vent n’est pas pour me déplaire. De toute façon, je ne fais que prendre la voiture et aller faire de la papote, rien d’autre de prévu au programme cet après-midi. Après une petite demi-heure de route, j’arrive en vue de la maison de Sandrine, la cousine de mon mari. Je me gare devant la maison et pousse la barrière d’entrée. C’est une très jolie maison, bien arborée, des haies tout autour pour couper les regards indiscrets, et joliment décorée tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Je sonne à la porte, et attends. Personne. Elle est peut-être absente. Je réessaye une fois, toujours rien. Je me prépare à m’en aller, quand je me dis, si ça se trouve, elle est sur la terrasse derrière en train de bronzer et n’a pas entendu la sonnette. Je fais donc le tour par l’arrière pour aller voir. J’arrive dans la pelouse et ne vois personne, ni sur la terrasse, ni dans la piscine ou ailleurs d’ailleurs. Je fais demi-tour et m’apprête à repartir quand j’entends derrière moi « ouh ouh, je suis là ». Je me retourne et vois arriver torse-nu vers moi Jacques, le mari de Sandrine.
    « Désolé, j’étais dans le cabanon au fond du jardin en train de ranger le matériel de contrôle de la piscine, je n’ai pas entendu sonner et c’est en sortant que je t’ai aperçu de dos ». Jacques, je l’aime bien. On dirait un gros nounours, pas le mec tout mince et musclé, non ! Plutôt un bon petit ventre, grand, jovial, qui aime vivre et profiter de la vie et de ses plaisirs, bien installé dans sa quarantaine. Ils forment un joli couple avec Sandrine, ce qui ne m’empêche de l’avoir déjà imaginé me faisant l’amour plus d’une fois. Je ne sais pas expliquer pourquoi, mais il m’attire, son regard, sa bonne humeur, on se sent bien avec lui.
    « Tu es venue pour voir Sandrine, je suppose ? ».
    « Oui, elle n’est pas là ? »
    « Tu as toujours une aussi bonne mémoire, je vois ! Elle est à Disney avec les enfants, tu te rappelles ? C’est ce week-end qu’ils y allaient. Je ne devais pas être là, en formation avec le boulot, mais ça été annulé hier après-midi, trop peu de participants, et comme il était trop tard pour réserver pour moi, j’ai dit à Sandrine de partir comme prévu, que je m’occuperais de remettre la piscine en ordre pour la semaine de vacances qui arrive ».
    « Zut, c’est vrai, j’avais complétement oublié. J’étais toute seule ce week-end aussi et je voulais en profiter pour la voir. Ce sera pour le week-end prochain ! Je vais y aller, je vais te laisser terminer »
    « Tu as un peu de temps, non ? Tu n’as pas soif ? Avec cette chaleur ! Et puis, j’ai fini, la piscine est en ordre, plus qu’à plonger dedans ! »
    « Je ne veux pas te déranger et t’ennuyer »
    « Qu’est-ce que tu vas chercher là, viens t’asseoir sur la terrasse, je vais te servir quelque chose. Que veux-tu ? Il y a une bouteille de rosé au frais, ça te tente ? Ce n’est pas le genre de truc qu’on aime boire seul ! »
    « Je veux bien, merci »
    Je m’installe donc dans un des fauteuils de terrasse et profite des rayons du soleil en attendant le retour de Jacques. Il revient, la bouteille à la main ainsi que deux verres, et nous en sert chacun un. On se met à discuter de tout et de rien, à plaisanter, à rire et voilà que, sans qu’on y fasse attention, la bouteille se vide.
    Depuis un petit quart d’heure, je remarque que Jacques a souvent les yeux baissés, l’alcool lui montera-t-il déjà à la tête ? Ça m’étonnerait, il tient plutôt bien d’habitude. Et c’est là que je me rends compte que ma robe est quelque peu relevée sur mes cuisses, laissant apparaitre la naissance de mon sexe nu. Je suis hyper gênée.
    « Oups, pardon, excuse-moi, je n’avais pas fait attention, je suis confuse »
    « Il ne faut pas t’excuser, je n’aurais pas dû regarder non plus ! Mais je dois bien avouer que le spectacle était très plaisant, si je peux te dire ça sans que tu ne le prennes mal. »
    Le visage aussi rouge qu’une tomate, je m’entends lui répondre que ça ne m’a pas dérangé non plus. Mais qu’est-ce qui me prend aussi ?
    Jacques se lève, face à moi, et je devine sous son short son sexe en partie en érection, une bosse sous le tissu trahissant son état.
    « Je vois que ça ne t’a pas laissé de marbre non plus ! »
    Jacques s’approche encore un peu de moi : « Que veux-tu ? Comment ne pas désirer ce que j’ai aperçu il y a quelques instants. Tu es une femme plus que désirable, et depuis le temps que je t’imagine dans mes draps, tu ne peux pas imaginer le cadeau que tu m’as fait ! »
    Je me lève de mon fauteuil, m’approche de lui, plaque ma main contre son sexe et lui dit « sache que cette envie est réciproque et que si ton désir est toujours aussi ardent, j’aimerais que tu m’en fasses profiter ! »
    Ses yeux se plongent alors dans les miens et sa bouche vient à la rencontre de la mienne, nos lèvres se touchent, et nos langues se mêlent ensemble dans un baiser passionné. Ma main restée contre son sexe, je le sens grossir encore plus. Sa bouche parcoure mon cou, mes oreilles, m’embrassent. Je ressens des frissons me parcourir tout le corps. Je sens l’une de ses mains qui caresse un de mes seins à travers le tissu de ma robe. Cette situation m’excite énormément, et je ne suis pas la seule.
    Délicatement, il empoigne le dessous de ma robe, la relève, me l’enlève et la lance plus loin. Je suis nue devant lui, je sens ses mains partout sur ma peau, elles effleurent, caressent, palpent, touchent chaque bout de peau à sa portée. Ma main caresse frénétiquement son entre-jambe. Une de ses mains se pose sur la mienne, arrêtant son mouvement, il la déplace et baisse alors son short et son boxer, libérant son sexe tendu. Sa queue n’est pas déplaisante du tout, ni trop grosse, ni trop fine, ni trop courte, ni trop longue, juste ce qu’il faut pour donner du plaisir à une femme. Ma main caresse à nouveau ce chibre de chair chaude, il me semble qu’elle gonfle encore sous mes caresses, de petits râles de plaisir s’échappent de sa bouche, il a l’air d’apprécier.
    Ses mains caressent à présent mes seins, il les pétrit, les malaxent avec douceur. Mes tétons sont dardés de plaisir, ils pointent forts et durs. Il s’amuse à me les pincer délicatement, puis plus fort, les étirent ou les roulent entre ses doigts. Des gémissements de plaisir s’échappent de ma bouche. J’aime que l’on s’occupe de mes seins, sans trop les ménager, comme il le fait, j’aime le plaisir que cela me procure. Je sens ma chatte se mouiller toujours un peu plus au fur et à mesure de se caresses sur mes seins. J’ai envie qu’il me la fouille de ses doigts qu’il a longs et fins. Il me pousse vers le transat et m’invite à me coucher dessus, sa bouche commence à parcourir mon corps. Il n’oublie aucune parcelle de peau, je le sens qui hume mon odeur, je sens sa langue sur mes seins, il lèche mes tétons, les sucent, les aspirent dans sa bouche, je sens sa langue qui les agacent. Il descend maintenant vers mon sexe, le lèche tout autour, sans le toucher. Puis sa langue vient se poser à l’entrée de mon vagin, je sens son souffle sur mes lèvres. Il pousse sa langue entre mes lèvres, au plus profond qu’il peut et commence à jouer en moi. Elle remonte alors sur mon clitoris, le décalottant et commence à me le lécher doucement. Ses coups de langues sont agréables, ni trop fort, ni trop doux. Je sens lentement le plaisir monter. Sa langue me fouille toute entière, insistant sur mon clito qui se gonfle de plaisir sous ce traitement. Tout en continuant à me lécher le bouton, deux de ses doigts entre en moi et commence à aller et venir en moi. Mes gémissements se font plus forts. Il va me faire jouir avec sa langue s’il continue. Sa langue titille mon clito, le lèche, puis ses lèvres l’aspire et il me le suce, doucement, puis plus fort, le relâche et recommence son manège, deux de ses doigts me branlant toujours la chatte. Je n’y tiens bientôt plus, je sens l’orgasme arriver, mon corps se tend, mes muscles se bandent, et je jouis sur sa langue en gémissant mon plaisir. Mon corps tout entier en tremble, ma jouissance fut profonde, intense. Mes muscles se relâchent, je reprends mes esprits petit à petit. Il me regarde dans les yeux, et peut voir comme cela m’a plu. Je lui fais signe de se relever et d’approcher, il est debout, son sexe face à moi, tendu, dur. Je le saisi entre mes doigts, plonge mon regard dans le sien : « Maintenant, à ton tour de te faire sucer ! »

    Je saisi le chibre de chair entre mes doigts, et commence un lent va et vient. La pointe de son gland commence à apparaitre, je le décalotte et le regarde. Sa queue est belle, j’ai envie d’y gouter, et je me réjouis de le sentir en moi. Je pose délicatement mes lèvres sur le bout de son gland, je le vois fermer les yeux. J’ouvre ma bouche, sort ma langue et parcoure tout le tour de son gland avec. Son gland est chaud, excité. Ma bouche l’engouffre et se referme dessus, je l’emprisonne dans ma bouche et l’avale doucement toujours un peu plus loin. Je commence alors à le sucer, sa queue en va et vient dans ma bouche, ma langue bien humide qui s’enroule au passage sur son gland, l’une de mes mains malaxant ses testicules. Des râles de plaisir s’échappent de sa bouche, sa main vient se poser sur ma tête et accompagne mes mouvements sur son sexe. Cette situation m’excite au plus fort, ma main abandonne ses testicules et vient se poser sur mon sexe que je commence à caresser et a masturber doucement, au rythme de ma bouche qui va et vient sur sa queue dure et raide. Ses yeux sont plongés entre mes cuisses et regardent mes doigts qui s’occupent de ma chatte toute humide. Mes doigts glissent tout seul, tant je mouille. Le plaisir recommence à me submerger à nouveau. Mes doigts s’agitent sur mon clitoris qui gonfle à nouveau d’excitation, et ma bouche avale toujours son sexe gonflé lui aussi d’excitation.
    Ses deux mains saisissent ensuite mon visage, et me dégage de sa queue. « Arrête-toi ou tu vas me faire exploser dans ta bouche, et j’ai encore envie de te voir jouir. » Sa bouche se pose à nouveau sur la mienne, sa langue se mêle à la mienne. Il remonte le dossier du transat, m’appuie le dos contre, et vient s’asseoir face à moi, sa queue tendue vers ma chatte. Il écarte et soulève un peu mes jambes, s’approche encore et vient coller son gland contre l’entrée de mon sexe, sans le pénétrer. Deux de ses doigts joue avec mon clito, l’agace un peu, le caresse. Il prend ensuite ma main, l’approche de mon sexe, et pose deux de mes doigts contre mon clitoris : « caresse-le, je vais entrer en toi ».
    Je m’exécute, mes doigts s’appliquent sur mon bouton, je vois son sexe entrer lentement en moi, son gland écarter mes lèvres et se retrouver dans mon intimité. Il s’arrête, laisse mon sexe s’habituer, puis reprend sa progression et s’enfonce doucement jusqu’à la garde en moi. Je pousse un gémissement de plaisir lorsque son sexe s’arrête, bien calé entre mes cuisses. Ses mains se posent sur mon visage, me caresse et il commence de lents mouvements de va et vient en moi. Ses mains caressent aussi mes seins, mes tétons qu’ils titillent de plus belle, les rendant encore plus durs, plus gros. Mes doigts continuent de caresser mon clito, je vois ses fesses légèrement surélevées bouger en cadence avec sa queue qui va et vient en moi. Je le sens bien en moi, ses allers-retours me donnent beaucoup de plaisir. Mes doigts sur mon clitoris aussi. Ses mouvements s’accélèrent en moi, mes doigts aussi, je sens poindre un nouvel orgasme, j’halète de plaisir, sa queue en moi est si bonne. Je sens ses testicules qui butent contre mes fesses quand il s’enfonce en moi. Ses mouvements sont de plus en plus forts et rapides. Mon orgasme est là, j’explose à nouveau, j’ai l’impression de sentir mon vagin s’inonder. Je crie presque mon plaisir, sa queue va et vient encore en moi, il se retire d’un coup et se relève. Sa queue entre ses mains, il la serre entre ses doigts, se retient. Il soupire de plaisir aussi.
    « Tu n’as pas joui, vient sur mes seins ! »
    « Non, pas encore, je veux encore te prendre, je n’ai pas fini avec toi ».

    Il est de nouveau debout devant moi, queue tendue. Je tends ma langue vers ses testicules et commence à les lui lécher pendant qu’il tient toujours son membre dans sa main. Il le soulève pour me faciliter l’accès à ses bourses que je suce et gobe entre mes lèvres. Son pubis est rasé, pas glabre, simplement tondu court, ses testicules par contre sont douces, rasées. J’aime jouer de ma langue à cet endroit. Je reprends son sexe entre mes doigts, le décalotte à fond, et je viens poser ma langue sur son frein que je commence à titiller de la pointe de ma langue. Je sais cette partie très sensible chez les hommes. Sa tête se renverse, il ferme ses yeux et savoure cette caresse. Ma langue roule sur son gland, sur son frein, sans jamais avaler son gland entre mes lèvres. Cela à l’air de terriblement l’exciter si j’en crois ses soupirs de plaisir. Son regard vient à nouveau se poser sur le mien, il m’attrape par mes cheveux qu’il rassemble pour en faire comme un chignon et retire doucement ma langue de son sexe en me tirant par les cheveux. Il me fait mettre debout, et commence à m’embrasser. Sa langue est toujours aussi chaude contre la mienne, je sens ses doigts qui viennent fouiller ma chatte encore trempée de mon précédent orgasme. Ses doigts s’enfoncent en moi et me branle le sexe, sa bouche descend sur mes seins dont il lèche et suce les tétons, les mordillant même par moment ce qui a le don de me procurer une sensation délicieuse. Il sait comment donner du plaisir et aimer une femme. La sienne à de la chance d’en profiter, du moins, je l’espère pour elle. J’entends à nouveau le clapotis de ma mouille sur ses doigts qui vont et viennent en moi, il me fait encore mouiller, le salaud.
    Je me sens comme une petite perverse qui ne cherche qu’à prendre son pied et jouir, et je dois l’avouer, j’aime ça ! Il me fait mettre à quatre pattes sur le transat. Lui, l’enjambe pour se retrouver jambe écartées juste derrière moi. Je sens son gland qui vient se poser contre mes lèvres. Il n’entre pas, il frotte sa queue contre ma chatte, effleurant au passage mon clito bien ouvert, comme mes lèvres d’ailleurs. Il doit avoir une vue splendide sur mon cul à présent. Tout à coup, je sens quelque chose d’humide sur mon anus, et un doigt qui vient le masser. Il a salivé et est en train de masser mon petit trou. Je sens à présent son gland qui force entre mes lèvres et commence à rentrer lentement en moi, centimètre par centimètre. Son pouce masse toujours mon anus et je sens qu’il s’enfonce par moment de quelques millimètres en moi. Sa queue est maintenant complétement en moi, il reste calé ainsi au fond de ma chatte sans bouger. Il salive encore sur mon cul, et enfonce doucement son pouce. Je grimace un peu, je n’ai pas l’habitude avec quelqu’un d’autre que mon mari. Il me rassure, et continue à s’enfoncer en prenant soin à chaque avancée de laisser mon cul se faire à son doigt. Je me retourne comme je peux et je vois son pouce entièrement dans mon cul, il ne le bouge plus. IL commence alors à bouger en moi, d’abord lentement, de longs coups où je sens toute la longueur de sa queue entrer et sortir. La sensation de mon cul pénétrer est agréable maintenant que je m’y suis faite. Le frottement de sa queue contre son doigt à travers la fine paroi de chair les séparant commence à me donner beaucoup de plaisir. Ses mouvements s’accélère un peu, je ressens à nouveau ses testicules butés contre ma chatte à chaque fois qu’il s’enfonce profondément en moi. Sa deuxième main se cramponne à ma hanche qu’il attire à chaque fois un peu plus fort contre son pubis, faisant claquer nos peaux l’une contre l’autre. Nous gémissons et soupirons tous les deux notre plaisir, ses mouvements sont plus fort, je le sens en moi. Il me semble que son sexe gonfle encore à chaque butée dans ma chatte. Son pouce dans mon cul bouge aussi en cadence maintenant, me procurant une jouissance différente, mais si bonne.
    « Je vais bientôt exploser, dis-moi que tu vas jouir aussi, je le veux avec toi ! »
    « Baise-moi encore plus fort, je suis prête à jouir, enfonce-toi en moi, bouge ! »
    Il accélère encore, je sens de nouveau cette sensation de jouissance qui commence à m’envahir, je sens mon corps se raidir sous l’effet du plaisir qui grimpe en moi. Jacques se démène comme un beau diable dans ma chatte, son pouce bouge toujours, je suis doublement pénétrée et ça va me faire jouir. J’explose quand mon orgasme me foudroye, je m’entends gémir comme une folle, c’est bon, trop bon. Puis j’entends Jacques lâcher des râles de jouissance aussi, il s’immobilise et je sens son sperme chaud qui se déverse en moi par grosses saccades. C’est vraiment magnifique, nous venons de jouir tous les deux à l’unisson, quels orgasmes ! Jacques se retire, et je vois le long de mes cuisses son foutre couler de ma chatte. Je sens son pouce qui se libère aussi de mon anus, doucement pour ne pas me faire mal. Je me retourne, m’assied sur le transat. Il vient s’assoir face à moi, et m’embrasse tendrement.
    « Merci pour ce délicieux moment que j’ai tant de fois imaginé » me dit-il.
    « Merci aussi à toi, depuis le temps que je fantasmais sur toi, je vois que je n’ai pas eu tort ! J’aimerais que l’on continue à se voir si tu es d’accord, j’ai envie de découvrir plein de choses avec toi »
    « Si tu en as envie, mais es-tu sûre de ton choix ? Tu ne me connais peut-être pas assez, j’ai peut-être des gouts ‘’spéciaux’’ ! »
    « Fais-moi voir, si quelque chose ne me va pas, je te le dirai ».
    « Parfait alors, je te promets de te faire découvrir et aimer plein de choses »
    « Je n’attends que cela ! ».


    FIN, ….. pour l’instant !

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