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Histoire de sexe : Manon se tape l'ami de son père

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Code histoire 0113 - Durée : 13 minutes
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    Histoire de sexe : Manon se tape l'ami de son père

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    sodomie cunni baise 90D

    Bonjour, j'ai 20 ans je m'appelle Manon, j'habite à Liège chez mes parents. Je suis blonde cheveux longs , les yeux bleus, taille moyenne, fine et très légèrement musclée.
    Longtemps complexée par ma petite poitrine peu féminine, j'ai attendu ma majorité pour subir une augmentation mammaire. J'ai donc abandonné mon 85A pour un superbe 90D. Aujourd'hui je suis fière de cette jolie paire de seins fermes et bien ronds, que j'aime mettre en valeur par tous les moyens. Mes copines sont jalouses de mon nouveau décolleté qui attire les regards dès que je suis dans un lieu public et encore plus à la Fac ou les mecs sont affamés et à l'affût du moindre petit morceau de chair visible.

    J'ai depuis, pris de l'assurance en moi et suis devenue extrêmement coquette ; désormais je peux prendre le pouvoir sur les mecs quand cela me chante et les rendre fous de désir. Pour tester mon charme et me faire les griffes, j'ai jeté mon dévolu sur un collègue de travail de mon père. Je savais qu'il me collait aux fesses alors un jour que mes parents étaient absents et que Francis est passé déposer du matériel chez nous, je lui ait ouvert la porte et je l'ai fait rentré. Je savais qu'il passerait car mon père avait collé un post-it sur le frigo pour me le rappeler. J'ai passé un temps fou à me préparer.

    Profitant de l'absence de Maman j'ai été fouiller dans la penderie pour trouver un chemisier un peu transparent histoire de paraître féminine et plus âgée. La jupe courte en cuir noire je l'ai emprunté à une copine ainsi qu'une paire d'escarpins à talons hauts car Maman n'en porte jamais. Prête, parfumée et maquillée je me suis regardé dans le miroir de la salle de bains et ce que j'ai vu m'a plu : le rouge aux lèvres me donnait un air terriblement sexy, le noir aux yeux aussi. Pour le chemisier on voyait tout : à travers la dentelle noire les auréoles brunes de mes gros nichons étaient visibles. La jupe courte ne cachait rien de mes longues jambes et en me rappelant que je n'avais pas mis de culotte, j'ai mouillé d'envie..

    Vous l'aurez compris je suis encore vierge. Ma famille est d'origine portugaise et mon père est très stricte sur le sujet : pas de sexe avant le mariage. Bien forcée de respecter la Tradition car il serait facile pour lui de demander au médecin de famille de lui confirmer donc pas possible de faire autrement que de patienter jusqu'au mariage. Du coup, étant très frustrée de ne pouvoir m'envoyer en l'air avec le premier venu j’essaie tant bien que mal de m'amuser quand l'occasion se présente. Je sais que les hommes me trouvent charmante et encore plus depuis que j'arbore fièrement mes gros seins, je sens leurs regards cochons me désirer, cet été avec mes petits hauts sexy je me suis fais plaisir en provocant plein de mecs au hasard de mes sorties. Allumeuse oui je l'avoue et j'aime les sensations que cela me procure de faire baver les hommes sur mon joli corps tout frais de jeunette .

    Francis a déposé le matériel dans la véranda, ensuite il a fait mine de partir mais avant il m'a demandé si tout allait bien. Son regard me fuit, je le sens mal à l 'aise car jamais auparavant il m'avait vu maquillée et vêtue de la sorte. Il a cinquante ans, il me connait depuis que je suite toute petite. Je me jette à l'eau et lui propose une bière, je sais qu'il adore la Heineken. Il reste dans le salon pendant que je me dirige vers la cuisine. Je sens son regard me déshabiller pendant que je marche en faisant exprès d'onduler mon petite derrière rebondi moulé dans cette jupe indécente et je sais au fond du moi que je l'excite.
    Je reviens un sourire aux lèvres, deux bières en main, les trois premiers boutons du chemisier ouvert pour lui faire profiter de la jolie vue. Je lui tend la sienne, on trinque et je le fixe droit dans les yeux pendant que je porte le goulot épais de la bouteille contre mes lèvres et que je l'enfonce devant lui un peu comme le ferait une femme qui suce une belle bite.

    C'est un homme à la carrure impressionnante, un géant brun massif, qui joue au rugby pendant ses loisirs c'est vous dire à quel point je suis une petite plume à coté de lui. On pourrait nous comparer à la Belle et la Bête tant nous sommes différents. Parfois l'été quand il donne un coup de main à mon père pour entretenir le jardin, il enlève son tee-shirt et la vue de la toison brune et épaisse qui recouvre son torse de taureau je ne peux m'empêcher de me mordre de les lèvres en imaginant la taille de son pénis coincé dans son grand short blanc d'été.

    Il se tient devant moi, dégustant sa bière, ne sachant ou mettre les yeux, gêné de voir la jeune fille de son ami se pavaner dans une tenue des plus provocante. Je me décide enfin à rompre le silence en lançant pour le narguer :
    - tu n'aimes pas ma tenue ?? on dirait que quelque chose te dérange...
    - disons que je n'ai pas l'habitude de te voir habillée comme ça. Je reconnais le chemisier de ta mère ... tes parents savent que tu t'habilles ainsi ??
    - ne sois pas rabat-joie s'il te plait, je ne suis plus une enfant pour demander la permission de porter une jupe et des talons, et pour le chemisier ne trouves tu pas que je le mets en valeur bien mieux que maman..?
    En disant cela, je fais deux pas vers lui et je joue la femme fatale qui cherche à séduire en rajoutant :
    - Je sais que je te plaît si c'est faux alors vaut mieux que tu partes...
    Prise d'un accès d'effronterie, je risque ma main sur son torse et murmure :
    - Je ne connait personne qui soit bâti comme toi..tu es un vrai homme...

    Francis respire à présent assez bruyamment pour que je m'en aperçoive, son pupilles se rétrécissent en fixant avidement mes seins lourds qui bougent légèrement sous le chemisier sexy. Ma main continue à se promener sur son large torse tandis qu'il commence enfin à montrer quelques signes d'excitation.. Je poursuis ma lente et sensuelle exploration et quand mes doigts glissent vers sa braguette il me supplie d'arrêter d'une voix rauque :
    - Je t'en pris ne fait pas ça !
    On dirait qu'il va s'étouffer, ses joues sont colorées et ses yeux brillants . Depuis trois ans je sais qu'il bande en douce pour moi même je suis persuadée qu'il s'est déjà branlé plusieurs fois en pensant à moi. Moi je l'ai fait si souvent en imaginant saisir son sexe à pleine bouche et me régaler de son odeur et de son goût. Des gouttelettes de sueur perlent sur son front et sans hésiter je me colle comme une chatte en chaleur contre son corps fort et bouillant, ma bouche cherche la sienne au début il résiste mais très vite mes courbes douces et pleines le forcent à réagir. Sa grosse bouche se plaque sur la mienne et ses bras me soulèvent pour me serrer étroitement contre son corps et là je ressens des frissons courir le long de mes reins pendant qu'à travers son pantalon je sens sa queue prendre une forme grosse et dure.

    Il écarte mon chemisier et je sens ses grosses mains d'ours caresser presque brutalement mes gros lolos. Je réponds à ses baisers fougueux en me cramponnant à lui. Ma mini jupe rejoins le chemisier à terre puis Francis qui se trouve à présent à genou à hauteur de mes jambes glisse sa langue le long de mes cuisses me forçant un peu à les écarter plus. Des frissons brûlants irradient mon corps quand la langue gourmande et chaude de Francis aspire mon clitoris gonflé par l'attente et le désir. Mon corps se balance et ondule sur ses coups de langue et je gémis de plaisir en sentant son index forcer l'intérieur de mon anus étroit.J'en peut plus d'attendre, l'ami de mon père qui me lèche la chatte, hummm c'est trop chaud !!! Il stoppe quelques secondes le jeu et se déshabille devant moi. Mes yeux s'agrandissent de surprise devant son sexe dur dont le gland est énorme ; Il attrape ma main et la pose d'autorité sur sa bite chaude, tendue, veineuse, et je m'en empare assez facilement pour d'abord la palper avec mes mains puis la porter tout naturellement à ma bouche. Je me mets à le pomper aussi sensuellement que je l'ai vu faire dans les films pornos qu'on regarde avec les copines en cachette.

    On s'allonge à même la moquette pour être plus à l'aise et les bras de Francis me placent juste au dessus de sa bouche pour que j'y plaque ma chatte qui ruisselle de mouille. C'est tellement excitant de goûter au fruit défendu dans la salle à manger ou papa et maman regardent la tv le soir. Son sexe est si gros qu'il m'est impossible de le prendre en bouche entier alors je lèche, je suce, j'aspire et je peux vous dire que même si je suis novice, Francis se régale de ma bouche chaude remplie de salive. Il me suce les lèvres et le bord du vagin de telle manière que je ne peux plus me contrôler, il titille assez fort mes tétons ultra sensibles en même temps et Je jouis la première dans un déferlement d'émotions inconnues pour moi. Je me niche tout contre son corps puissant mais Francis n'en a pas terminer avec moi ; il connait le vœu de mon père de me livrer vierge à mon mari mais il me chuchote à l'oreille :
    - J'ai envie de t'enculer..
    Mon corps alangui par ce cunni de fou se réveille en entendant ses mots car la sodomie j'en rêve mais je n'ai jamais osé demandé à un de mes flirts de jouer dans mon anus.
    - Mets toi à quatre pattes, je vais te lécher le cul ma douce...
    J'hésite un peu car j'ai peur que dans l'excitation il me dépucelle mon hymen. Il doit sentir mes craintes car il me rassure en me disant de ne pas m'inquiéter, il sait que mon père pourrait me renier pour ça. Il me promet de ne pas me déflorer le vagin, seulement le cul, ce qui à le don de me faire remouiller si fort que je sens une lave brûlante s'infiltrer lentement dans mon minou contracté par des spasmes nerveux.
    Toute excitée de trouver un compromis, je me place à quatre pattes devant lui et sans aucune pudeur je commence à remuer mon petit fessier rebondi pendant qu'avec sa langue il se charge de le dilater tout grand ; jamais je n'avais ressenti pareil plaisir avant. Je ne peux plus penser car je sens une chaleur folle envahir mon cul, sa bouche mordille mes fesses, s'enfonce dans mon anus à présent ouvert et prêt ....

    Ses mains s'emparent de mes seins par en dessous, sa bouche se colle sur ma nuque continuant à me mordiller et là je ressens une première douleur assez intense, une autre suit, quelques minutes ou je me sens hébétée, et mon corps reprends le dessus. Francis me bloque avec ses bras et redouble d'énergie pour d'un coup d'un seul s'enfiler entièrement dans ma petite porte secrète. A ce moment mes muscles se détendent tous ensemble et un plaisir énorme déferle dans mon corps, pendant que Francis excité à mort de m'avoir dépucelé et enculé d'un trait donne des gros coups de reins, je sens ses couilles battre contre mes fesses qui claquent, et des sensations de plaisir m'envahissent. Le frottement de sa bite énorme qui fait des va et viens dans mon trou de balle me fait râler de bonheur. Sa main me branle la chatte en même temps et l'espace d'un instant je me concentre sur mon plaisir....Je ne souffre plus au contraire j'ai envie encore et encore qu'il m'encule tellement c'est bon de se sentir remplie. Je me sens merveilleusement bien et je jouis en criant avec lui lorsqu'il explose dans mon cul baignant mon intérieur de sa semence épaisse et chaude.....

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par danycat :
Moi aussi j'aime trop me faire enculer ,toute les femmes devraient le faire c'est que du plaisir
Posté le par gretito :
à sa place j'en aurai profiter pour glisser ma queue entre les gros seins de la fille
Posté le par asclépios :
Bonjour Manon, de Liège,
Ton histoire m'a bien fait bander et je t'assure que j'aurais bien voulu être à la place du copain de ton père. J'adore prendre les belles femelles comme toi en levrette, sentir mon corps peser contre le leur et prendre leurs seins par dessous. Je sens déjà une goutte de liqueur séminale mouiller mon slip.
Je bande… je bande pour toi.
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