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Histoire de sexe : Marguerite, la femme de chambre

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    Histoire de sexe : Marguerite, la femme de chambre

    Corrigé et résumé par david545758 le

    Publié le

    baise avec une jeune salope

    Cela faisait deux semaines que moi et ma mère avions déménagé dans un hôtel un peu chic qu’on a pu se payer après son divorce avec papa. Ce con a été surpris directement par maman en train de faire une partie de jambes en l’air dans leur chambre avec sa collègue du boulot. Ma mère a pété un câble et elle a tout de suite mis en marche le divorce. En tout cas, même si je suis un peu triste que mon con de père ait baisé une autre femme que ma mère, cela va tourner à mon avantage. Moi je suis un garçon de 17 ans appelé Nicolas, je suis encore au lycée, et comme on dit, le lycée est vraiment à se plaindre. Le seul moment que je préfère au lycée, c’est quand j’arrive à voir les filles toutes nues dans le vestiaire des filles dans le gymnase. J’adore cet endroit, ma petite cachette à moi. Il m'arrive de me branler dans cet endroit exigu qui me sert de cachette. Comme tout jeune du lycée, j’aime le sexe plus que la bouffe que je dois manger tous les jours, mais j’ai beau avoir une grande gueule auprès de tous mes potes, je suis le seul à n'avoir jamais baisé une fille jusqu’à maintenant. Des fois, quand je rentre tôt du lycée, dès que je suis devant la porte de notre hôtel, j’entends une voix qui pousse un cri de jouissance, et je me dis que c’est la voix de maman. Elle baise avec son pote, Jacques, depuis déjà une semaine je crois et moi je sais déjà tout, mais je ne dis rien, car c’est normal, je crois. Tout le monde a le droit de prendre du bon temps, surtout après le problème avec mon vieux, il est préférable qu’elle s’amuse aussi de temps en temps. Mais bref, quand je l’entends derrière la porte, je descends dans le hall de l’hôtel et je m’assois sur le canapé de l’accueil pour mater les superbes filles qui passent. Je trouve ça cool, mais souvent je n’arrive pas à contrôler les pulsions qui naissent dans mon pantalon. Quand j’ai la bite en érection, je courre en haut parce que je n’ai pas envie qu’une de ces filles me voit ainsi et me traite de pervers. Je pense malgré cela qu’au fond d’elles, ces filles aimeraient bien faire une partie de jambes en l’air avec moi !! Et je me dis, c’est juste un rêve que je fais éveillé, puisqu’en ce moment j’ai juste besoin de 10 à 15 minutes pour me dépuceler. C’est tout ce que je demande. Après leurs cochonneries, maman raccompagne Jacques au bout de l’escalier et lui faisait un petit baiser sur la joue, c’est comme si elle le remerciait d'avoir enfoncé sa bite dans son vagin par lequel je suis sorti ! Merde ! Puis, moi et Jacques, on se croise dans le hall de l’hôtel et il me salue toujours comme si je n’existais pas.
    - Salut petit,
    Et il me sourit comme si je n'étais au courant de rien. Des fois, j’ai envie de lui dire ce que je sais de ses jeux avec ma mère. Je n’ai pourtant pas envie que maman perde sa petite part de bonheur, alors je me tais. Un samedi, alors que je n'avais pas cours, maman était partie au travail tôt. C’était donc la femme de chambre, Madame Marie, qui me réveillait en me disant que ma mère était partie à 7h et que je devais rester à la maison attendre qu’elle soit revenue pour que je puisse sortir trainer avec les copains. Mais ce jour-là, c’était une voix plus jeune, charmante qui disait bonjour et une main douce, délicate qui touchait mon visage et me réveilla. Je pensais que c’était un rêve dans lequel je voyais une jeune fille d’environ 22 ans. Elle était vraiment jolie. C’était la fille la plus jolie que j’ai vue de toute ma vie. Des cheveux longs et bruns, des yeux marron, des lèvres pulpeuses tamponnées de rouge à lèvres rose et un uniforme de femme de chambre qui me choquait à me faire tomber du pied du lit.
    - Je m’appelle Marguerite, et je remplace Marie qui est tombée malade.
    C'étaient ses premiers mots. Elle semblait stupéfaite de me voir m'écrouler du lit. Elle a pris l’aspirateur et commença son boulot. J’étais là, figé, comme si le temps s’était arrêté. Je la regardais manier cet aspirateur. Elle le tenait comme si elle avait une bite dans ses mains. Ses mouvements ressemblaient à de larges branlées pour extraire du sperme, le rêve. En nettoyant ma chambre, elle était tombée sur ma collection de magazines pornos. Je n'avais rien remarqué, enivré sur mon petit nuage. La chute était rapide quand elle avait rigolé en disant
    - alors t’es un gamin pervers et un obsédé du sexe
    Je ne trouvais pas quoi répondre, pris en flagrant délit. Était-ce seulement un délit ? Alors, j’ai répondu simplement tout en ayant peur qu’elle en dise mot à ma mère : ce sont juste des vidéos et des revues pour me faire plaisir comme le fait beaucoup de jeunes, avec mon manque d'expérience, c'est normal. Elle rigolait et me demandait si j’avais déjà baisé une fille. J’avais menti en répondant par un « oui je sais tout sur le sexe et de l’anatomie des filles". Elle semblait pourtant deviner que je n’étais qu’un puceau de rien du tout. C’était là qu’elle a pris mes deux mains pour les poser sur ses seins énormes. Encore une fois, elle rigolait.
    - vu ta réaction, c’est la première fois que tu touche les nichons d’une femme, alors le maitre, qu’est-ce que tu vas faire ?
    J’ai paniqué, révélant encore plus mon mensonge. Je voulais pourtant profiter de cette occasion qui ne se représentera certainement pas à l’avenir. Elle a mis sa main dans mon pantalon tout en m’incitant à continuer à tripoter ses seins. Si je le faisais bien, elle me branlerait la queue. Évidemment, je m’appliquais à malaxer ses seins dans l’espoir de tirer enfin un coup. Elle s’est miss à genoux et regarda de plus prêt mon engin. Même si cela me gênait, une sensation de plaisir m’envahissait. Elle commença à me faire une pipe d’enfer, du genre comme dans mes vidéos pornos, je n’arrivais pas à croire que cela m’arrivait pour de vrai. Après quelques minutes, mon visage se froissait. J’éjaculais sans la prévenir et à ma grande surprise, elle ne s’était pas dégagée. Elle a gardé la queue dans sa bouche pour avaler mon sperme. Elle m’a ensuite entraînée vers le canapé pour le chevaucher, comme si j’étais son cheval préféré. J’ai passé un moment magique avec cette fille.
    Maintenant, je comprenais ma mère et ses plans cul avec son ami. J’imaginais ce qu’elle devait ressentir et son besoin de sexe. En classe, je pouvais enfin raconter à mes potes mes histoires érotiques du samedi. Oui, Marguerite est restée pendant quelques semaines, à mon plus grand bonheur.

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